La Bête

Chapitre 1

Pan! Pan! Pan!
  Trois coups de balle d'un kalachnikov se fit entendre. Je tressalli de l'endroit où j'étais caché.mon cœur battait à cent à l'heure. Que dis-je? C'est plutôt nos cœurs à nous tous ensembles qui avaient fait cet effet. Nous étions tous là, cachés derrière une voiture transpercée autrefois par des balles des différentes armes à destruction massive lors de l'opération "traque à l'homme",voyant tous comment le corps de notre ami gisait par terre. Nous nous rendimes vite compte que ces monstres assassins mi-homme mi-robot en voulaient vraiment à notre vie. Nous étions pour eux que des insurgés.

Katie communément appelé "kat"
, la copine de Simon, qui était derrière nous tous, poussa un grand crie de détresse qui nous alerta. Je fis un rébond de la où j'étais en fin de lui boucher la bouche avec ma main de peur que la "SPADE" nous repère.

Oh! Excusez-moi. ça m'arrive d'oublier de me présenter. C'est un peu mon péché mignon quoi! Bref je vais le faire:

Je m'appelle Allisson Gray en diminutif "Alli". J'étais New yorkais - Pourquoi j'utilise le passé? - c'est parce que ma ville natale s'appelait New york avant que la SPADE y débarque. Cette dernière l'a changé en "Cosvery".
Bon j'avoue que vous ne comprenez rien mais je vais  spécialement vous ramener là où  tout à commencer. En bref, je vais vous faire une sorte de flashback si on peut l'appeler comme ça:

                         ¤

Avant que la "Special American Division Entertainement"(SPADE) se crée et débarque à New York, nous vivions tous comme des citoyens normaux, vaquant a leur tâches, pratiquant leur sport préfèré,travaillant,étudiant,....Bref vivant à la normale.

Moi personnellement, j'étais passionné de Basket-ball comme tout autre ados en ce temps là. J'avais au sein de mon équipe du collège, un coéquipier super cool,génial, jovial, sobre,modeste, amusant....il avait plusieurs qualités que je ne peux m'en lasser d'énumérer. Cette bonne personne n'était tout autre que Simon Koller. La mort de mon ami sous mes yeux venait s'ajouter à celle de mon père une année et demi plutôt sans oublié celles d'autres innocents mort sous l'emprise de la bête.mais mon Simon fut assassiné par un humanoïde sous les yeux pleurant des chaudes larmes de sa copine et de nous tous quatre.

Toute cette succession de malheur à lieu à cause d'un satané virus exterminateur communément appelé la" bete"mais ayant un nom original: "le virus Armstech". Un virus dévastateur qui m'avais obligé à commettre la première plus grande faute de ma vie avant celle où j'ai permis malgré plusieurs refus de ma part, Simon d'aller se munir d'arme à l'autre coté de la cachette, dans un campement militaire humanoïde. - Vous voulez connaître la première grande faute? - la voilà mais tout d'abord, je vous mène aux coulisses du virus:
.....Comme par malchance, la première personne qui fut atteinte du virus fut un new yorkais du Nord-est précisément de Brooklyn qui contamina toute sa famille. Chaque membre de ladite famille avait des proches par-ci par-là donc synonyme de contamination. Bref c'est de là après plusieurs enquêtes que le virus est né et s'est répandu.

Il y a trois ans de celà, le USLAB(United State laboratory) nous informa que le symptôme commençait par une fièvre ondulante ou fièvre Malte puis une sorte de rhume qui était la clé de l'histoire car c'est de ça qu'était transmis le virus, - suivi d'une série d'étape que je ne peux expliquer- Puis quatre à cinq jours après, la personne atteinte devenait folle. Une folie sanguinaire, la transformant en une tueuse pendant que la bête rongeait ses viscères jusqu'à la tuée.

Il y a un an et demi, le USLAB se rendit compte que le nombre des atteints s'intensifiait jusqu'à attendre la moitié de la population américaine et partout ailleurs. Pour nous protéger de ce rhume rageur, Il nous fournit une sorte de dispositif couvrant le nez et la bouche et contenant des produits pharmaceutiques, médicinales - Que sais-je encore?- Bon! En bref, ce dispositif protecteur contenait des trucs intellos que je ne suis en mesure d'expliquer. La ville était dès cet instant là dans une insécurité virulente.