Os Hopemin; Mon Ciel

Avant le ciel me semblais "doux, accueillant, remplis d'espoirs, félicitant, joyeux."

Il me faisait me sentir bien .

Pourquoi avant ? Bha parce-que maintenant, quand je le regarde, par le fenêtre du dortoir, je le trouve "dégeulasse". Il semble me narguer, avec ces teinte rosées, au loin. Il semble me dire :" Regarde moi, je n'es pas changer, alors que ta vie entière a basculé". Ce ciel la est "impitoyable, triste , mélancolique, nostalgique". Voir les nuages qui flottent tranquillement, ce laissant guider par le vent , m'énerve.

Je ferme la fenêtre, et les volets, pour être sur que mon regard ne ce possera plus dessus.

. -Ça vas pas Hoseok?

-Si Jiminnie , le ciel m'énervé c'est tout.

Oui j'ai permis a cet enfant , de passer outre, les formalités tel que "hyung" . Au point ou nous en somme ensemble...

Jimin est pour moi, comme un substitut de "bonheur" , enfin bonheur est un bien grand mot, plutôt espoir.

Est-ce que je l'aime? Non.

Est -ce que lui m'aime ? Non.

Pourtant, nous nous offrons l'un à l'autre. Nous en avons besoins, de ces contacts physiques, de noyer mutuellement notre souffrance morale , par des actes, que nous ne regrettons jamais.

Nous somme meurtri, comme le ciel pollué par ces traces blanche, que laisse les avions après leur passage.

-Hoseok, j'ai envie de toi maintenant.

Je sais très bien , que si il dit ça , c'est uniquement, parce-qu'il vois que je ne vais pas bien .

sa voix ne reflète aucunes émotions... Rien que du vide , du Néant.

Je sais que si je refuse, il le prendra mal , qu'il en sera que plus meurtri.

Un refus signifierais pour lui, que j'essaierais d'avancer, en le laissant seul derrière moi. Alors que ce n'est pas le cas.

Le jour on je m'extirperais de ce ciel mélancolique et hargneux , je le sortirais en même temps, pour sur.

-Tu ne veut pas Hoseok?

-J'ai pas dit ça Minnie, Jamais...

Il me lance un regard alanguis.

Je ne peut résister plus longtemps.

Je fond sur ses lèvres, si cou , ses oreilles. Laissant parfois quelques marques bleuâtre. Je me fau violent dans mes propos, et mes gestes. Je sais qu'il aime quand je suis comme ça . De toute façon nous ne somme pas assez habitués à la douceur, pour savoir comment l'utilisé. Nous somme "pourris" , et nous le resterons certainement.

Mes hanches viennent ce coller au siennes, et je commence à frotter ma virilité couverte, contre la sienne à peine recouverte du tissus de son boxer. Il gémis , bizarrement, l'entendre avoir du plaisir ne me fait rien. Mes mains sont passées sous son T-Shirt , et mes doigts on trouvé de quoi se distraire . Alternant ainsi les caresses entre ses abdos et ses boutons de chair.

Ma langue, qui à maintenant eu l'accès de mon substitue d'espoir , malmène ma sienne.Je sens son souffle devenir irrégulier. C'est le moment. J'enlève mes vêtements, et les balance, à l'autre bout de la pièce. Je le retourne , et fait glisser son unique vêtement à ses chevilles. Je plaque sa tête contre la vitre de la fenêtre fermé.

Je tend ma virilité éveillé, devant sont entré. D'un coup de butoir profond et violent, je le pénètre. Il cris sa douleur.

Je commence alors , des coup plis violent les uns que les autres. Ses larmes coulent, et ne semble pas vouloir ce tarir . J'atteins alors l'endroit magique, sa prostate.