Chapitre 2

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Voici le 2ème chapitre bonne lecture



Chapitre 2 :

Quand le feu se déchaîne

– Mais où ais-je atterri ? dis-je à voix haute.

J'avançais voilà plus d'une demi-heure au milieu de la forêt, à la recherche de ma capsule. La forêt était plus dense que ce que je pensais, il faut dire que je n'avais pas le temps de tous voir sur le dos de cet animal. Une fois ma capsule trouvée, je me mis à chercher tout objet pouvant me servir pour me défendre, puis ... une pause ... une réflexion, devais-je les aider ou essayer de partir de cette planète de fou. Je m'installais dans la capsule pour réfléchir au meilleur choix, quand une boîte noir assez longue et épaisse attira mon attention. En l'ouvrant je trouvais un fusil à pompe, super mon arme préférée, me disais-je, et un boîtier noir que je pris. Je fus surpris de voir qu'il s'agissait d'un ordinateur. En l'allumant, une salle, où deux personnes de dos s'activaient à l'intérieur, apparue. Je ne pouvais rien faire de plus que regarder. Je continuais à regardais au cas où il y aurait plus d'informations mais rien.

– Que dois-je faire de cet ordinateur si c'est juste pour voir une vidéo, dis-je en criant.

– C'est toi qui a parlé ? demanda l'une des personne.

– Non professeur, répondit l'autre, ce n'est pas moi.

– Alors qui est-ce qui ? Ce qui était plus un reproche qu'une question.

Je compris aussitôt que ce n'était pas une simple vidéo, mais que je pouvais parler à ces personnes par l'intermédiaire de l'ordinateur.

– Ainsi ce professeur m'a fourni une webcam, murmurais-je. C'est moi derrière vous.

– Qui ? l'un d'eux se retourna et je le reconnus directement malgré ses rides.

– Vous ! criais-je

– Comment avez eu accès à ce réseau monsieur ? demanda-t-il

– C'est vous qui m'avait donné l'ordinateur que j'utilise, répondis-je. Par contre je dirais que vous avez quelques pertes de mémoire.

– Comment osez-vous ? demanda-t-il en colère

– Calmez-vous. Je dis ça parce que vous me connaissez. Par contre j'ai voyagé, je ne sais combien de temps dans cette capsule.

– Quoi ? C'est vous ? Je vous croyais mort depuis 30 ans. Je te demanderai de partir, dit-il en se tournant vers la deuxième personne

– Bien professeur, répond, ce qui semblait être son assistant.

– 30 ans ... j'ai dormi pendant 30 ans, dont 10 ans sur cette planète. D'ailleurs que s'est-il passé au moment de mon départ ? demandais-je.

– Je l'ignore, nos tests de démarrage étaient parfaits. Je ne sais pas ce qui a fait cette explosion, répondit-il, je pense à un sabotage, mais je n'en suis pas sûr. Mais l'importance c'est que vous soyez en vie. Normalement, si je n'ai pas oublié, vous avez trouvé un fusil à pompe, et à côté il y a trente cartouches contenant un acide très fort, cet acide attaque tous tissus vivant à porter de lui. Et sinon trente cartouches de napalm et trente classiques.

– C'est bon j'ai le tout, en tout cas vous n'y êtes pas allez de main morte sur les cartouches. Quatre-vingt-dix cartouches c'est pas mal et de plus certaines au napalm ou à l'acide je vais faire des ravages, affirmais-je.

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