La Bête

chapitre 2

À la télé, l'on diffusait des images, des vidéos atroces des gens qui s'entre-tuaient sous l'effet du virus. Le virus faisait la "Une" des journaux télévisés
- non mais quel livreur allait se déplacer en cette période de la terreur? L'Internet et la télévision nous suffisait - généralement, les atteints s'en prenaient plus aux sains au lieu de s'entr'égorger (entre eux). Bref, c'était comme une sorte de film hollywoodien où les zombies ou les vampires si vous voulez s'attaquaient aux sains.
Les jours passèrent l'un après l'autre puis un beau matin, mon père, pendant qu'il était allé chercher de quoi nous nourrir moi et ma mère, fût attaqué à bord de son pick-up par des atteints assoiffés de chair. Grâce à Dieu, il s'en sortit mais ces bêtes humaines lui grifferent au dos. Au début, nous croyions que ces égratignures seraient sans effet. Mais au fil du temps, nous nous rendîmes compte que son état s'aggravait. puis il supplia malgré maintes et maintes protestations de ma mère de s'exiler dans son ex-bureau transformé en chambre pour "atteint" loin de nous. Je voyais ma mère pleurer des chaudes larmes à chaque fois qu'il voyait mon père se décolorer la peau à travers la vitre de la porte que nous avions verrouillée. Mais malgré ça, le virus ne tua pas mon père -comment ca?, soyez patient je vais vous livrer un secret que seul ma mère et moi  connaissons:

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Cela faisait deux jours que moi et ma mère n'avions rien mis sous la dent. Toutes nos provisions étaient épuisées et nous savions aussi que si mon père passait la nuit sans s'être transformé serait un miracle. Ma mère n'avait pas de choix, elle mourrait de faim et savait qu'il n y avait plus un radis à la maison pour nourrir son fils chéri. Voyant l'état de son mari s'aggraver, elle ne pût m'empêcher de m'en aller mais elle fît un discours que je n'oublierai jamais: - " Allisson, tu reste l'unique espoir de ce petite Famille. Je t'en supplie mon fils, n'échoue pas comme l'a fait ton père car cela entraînera la perte des Grays. Mais retiens à jamais une chose, quoi qu'il arrive, quoi qu'il se passe, durant cette époque de la terreur, on se reverra!"- "Ne dis pas des telles choses" - chialais-je tout en l'embrassant les larmes aux yeux.

Elle me tendit un pistolaser AR419 qu'elle avait elle même fabriqué auparavant afin que je puisse m'en servir en cas d'attaque. - Grrr!!! J'ai encore oublier de vous dire que ma mère était une grande scientifique travaillant autre fois au USLAB. Mais au fil des années, elle fût révoquée pour des raisons personnelles  qu' elle n'avait jamais voulu me relater. Donc elle passait la majorité de son temps à faire des expériences bidons( bon! Je n'aimais pas quand elle s'isolait dans son mini-labo nous  laissant seuls  mon père et moi. Donc vous comprenez pourquoi je les ai traitées de "bidons" ) D'ailleurs depuis que mon père fût atteint, elle se débatait jours et nuits pour essayer de trouver un antidote contre la bête.

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Excusez-moi pour ce temps perdu à publier le deuxième chapitre. parce que je suis trop occupé en ce moment. mais je ferais l'effort d'en publier au moins "un" par semaine vu mon emploi du temps. J'avoue que ces chapitres sont courts mais c'est ma manière de les répartir. Bye rendez-vous au chapitre 3 pour très bientôt.