Contemplant l'étoile qui brille dans les cieux
Je marche lentement sur le sable doré
Du désert infini, transformé, en marée
Qui attire mes yeux. Le Soleil, malicieux,
S'invite en mirages, illusions fanées.
Je pleure maintenant la fin de tant d'années
Pour ce long voyage. Je sens en mon cœur l'ire
Exploser en éclats. Alors j'en meurs. De rire.
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Maux d'or
PoesíaParce que les mots sont d'or et que le silence d'argent, parce que la poésie d'or dort et qu'en elle se mêlent les rêves et les maux, parce qu'il faut bien s'exprimer sur ses maux avec des mots qu'ils soient d'or ou d'argent, le poète qui sommeille...