Un jour comme un autre, vraiment ?

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Ceci est un bonus de Lunatic Love mais on peut le lire sans en avoir lu le reste. (Même si je te conseille, oui toi derrière ton écran, d'aller illico lire ma fic xD....nooooooon ne pars pas ! je plaisante !)

Résumé : Une phrase, un café, un regard noir... pourquoi cela n'arrive toujours qu'à lui hein ! Pour une fois qu'il voulait aider !

Disclaimer : Tout m'appartient, les personnages, les lieux etc.... toutes ressemblances avec des personnes ou des situations réelles ou qui vous concernes sont fortuites.

La fameuse phrase par contre appartient à Y, un étudiant innocent qui ne se doute surement pas de l'usage qui a été faite de sa sainte parole !

Genre : Humour (j'espère)

Rating : M pour le vilain langage (et la vilaine langue et... *hum*) de Linrad

Note de l'auteur et précisions : Coucou, me voilà pour un petit bonus qui m'est apparu tel un pop-up pendant que je révisais (U_U ''), tout est partit d'une phrase entendue au hasard comme ça dans l'amphi et voilà... Linrad qui revient alors que je l'avais laissé tranquille pendant quoi un ? Deux ans ? (yep j'écris ceci en janvier 2014 alors que Lunatic love je l'ai fini début d'année 2013...) bref !

Pour replacer dans le contexte de L.L. ce One-shot :

Il se passe pendant la période de cinq ans du dernier chapitre donc Linrad à vingt et un ans et Jensen vingt trois. (Cela fait deux ans que Linrad est sortit du coma)

XXxXxXx

*pensées de Lain*

XXxXxXx

Un jour comme un autre, vraiment ?

« Dis ? Tu ne veux pas mettre la photo de ta sœur en fond d'écran ? »

Tout avait commencé par cette simple petite phrase sortie innocemment par son supérieur Jules. Enfin pas exactement. Il faut pour ça revenir à quelques temps plus tôt, un jour où son chef l'avait vu avec sa sœur jumelle dans un centre commercial chic de la ville.

Jules, trentenaire particulièrement bien entretenu et bien fait de sa personne les avaient alors accostés comme un cheveu sur la soupe. Sa chère sœur Heden –déjà particulièrement agacée par ses histoires avec son amant Jensen- les avaient alors tout simplement snobé tout deux et avait prit le premier taxi qui passait avec pour seul message sur le smartphone du blond « pas un mot sur moi à ce lourd où je fais en sorte que... ». Vous voulez savoir la suite ? Non, il n'y en a pas. Pas besoin, entre eux. Cela faisait presque vingt deux ans qu'ils se connaissaient après tout (ils étaient nés ensemble pardi !) et Linrad savait oh combien sa sœur avait l'imagination débordante quand cela concernait des punitions qu'il subirait.

Il n'avait pas dit un mot. Soyons honnête ! Tout le monde dans la boîte savait que Linrad Stephen Cole était une commère, une pipelette, une vrai poissonnière ! (et ce n'est pas pour rien que ces termes sont désobligeants !). Alors, bien entendu ce silence tout nouveau pour le commun des mortels avait attiré l'attention de tout le département ! Et –ce maudit- Jules était repartit à l'action ! Ne lui laissant pas une seule minute de répit !

Oh, je vous vois vous offusquer mais comment l'incarnation de la perfection sur terre pouvait avoir un supérieur ? C'est assez simple en fait ! Linrad n'ayant pas eu la force (l'intelligence ou la patience) de reprendre des études avait plutôt décidé de poursuivre un cursus directement intégré dans la boîte de son père. Mais en vu de ses frasques, il avait commencé tout en bas de l'échelle (livreur de café au bureau du premier étage !) et y était presque encore au bout d'un an à ses plus grands désespoirs !

My Lunatic AnthologyWhere stories live. Discover now