Chapitre 3

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       Sous cette atmosphère nébuleuse, je faisais déjà quelque cents pas sur la rue  Time square avec mon pistolaser enfuit sous mon lourd paletot. Il y avait, le long du chemin, des milliers d'objets abandonnés à l'instar surtout des automobiles. et je pouvais apercevoir une dizaine d'humain normaux qui comme moi en ce jour, marchant prudemment une arme à la main, s'étaient décidés d'affronter la réalité en face et admettre les choses telles qu'elles étaient.
      Tout au long de cette rue pratiq!uement déserte, 'j'entendai au loin des hurlements d'atteints assoiffés  mais le devoir me poussait à bout. Au coin de ladite rue, je voulais  virer vers la suivante à droite mais juste avant, j'entendai un sifflement qui frigorifia mon cœur tellement j'avais peur. -Non mais c'est normal que j'eus peur- il était cinq heures du soir et l'endroit où je me trouvais était moins éclairé par rapport aux autres. Pris de panique, je dirigeai et ma tête et mon fusil en direction de la provenance du sifflet à un poil près de moi.
     Ouf! Fausse alerte! En me retournant je me rendis compte que ce n'était qu' un vieillard recroquevillé à côté d'un feu qui voulait me souffler deux mots à l'oreille  -  pourquoi? Etait-ce un piège? Un sauveur? Un atteint camouflé en pépé?  - au lieu de me troubler avec ces questions, j'hésitai pendant une bonne minute puis je decidai de m'approcher de lui avec méfiance tout de même. En fait, le vieux me déconseilla vivement d'emprunter la prochaine rue car c'était le coin pouilleux de l'arrondissement le plus touristique de la ville : le fameux" Manhattan"(avant que la SPADE gouverne et bouleverse tout, il s'appelait ainsi). Mais je fis savoir à ce dernier qu'il fallait obligatoirement  le faire car je n'allait pas supporter voir mes parents mourir sous mes yeux. Un peu plus tard, je pris, le soit disant, coin pouilleux qui était la rue de Broadway, le pistolaser surchargé à la main en position de tir. 16 ans que j'avais, je ne savais pas vraiment comment m'en sortir avec Une telle arme.
     Cela faisait 147 jours que le virus dévastateur rongeait la population mondiale de bout en bout sans exception. Je marchais par ci, par-là, bouchant mon nez avec mon paletot à cause de l'odeur nauséabonde que dégageaient ces cadavres ensanglantés le long du trottoir, agripés à un immeuble, à un arbre, à l'intérieur des automobiles  et consorts. Je marchais tournant  mon fusil à la main à Chaque bruits aux enlentoures.
      J'avais pratiquement atteint le milieu dudit Broadway que j'entendai un cris vif et terrifiant d'humaine  accompagnant les sursauts des colombes noires qui s'éparpillerent dans l'air. Ce bruit provenait d'une ruelle ténébreuse à ma gauche. La dite ruelle possédait des poteaux à lumières publiques qui faisait des jeux de lumière. Cela signifie qu'à peine allumer, elles s'eteignaient à la seconde près.
   
     Je n'avais même pas tourné ma tête qu'en une fraction de seconde après le cris d'une femme et les sursauts des colombes qu'une barre de fer atteignant 60 cm complètement e ensanglantée se roula pile sous mes pieds. Cela me donna des frissons mais ce qui remis mon trouillomètre à zéro c'est le moment où je soulevai éperdument  ma tête car une atteinte à la peau grise s'approchant du vert était à un poil près de moi. J'avais eu une peur bleue et j'était troublé  sur le fait que j'allais finir comme mon père, confirmant ainsi le célèbre dicton: "Tel père, Tel fils".
      Pris de panique, mon premier réflexe à cet instant fut de tirer sur l'atteinte. Mais oui! bien sûr! Cette dernière mourut à la seconde mais je regrettai aussitôt ma décision car ce coup de pistolaser alerta la "meute" des atteints qui étaient cachés le long de ladite ruelle.

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Merci pour votre soutien et je souhaite que vous commentiez mes chapitre en cas d'erreur ou un truc du genre. Cela m'aidera énormément. Thanks

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