5 tribus tome1: les épreuves

Lydie

  -C'est aujourd'hui !!!

  La femme sur qui j'avais d'hurler me regardait avec des yeux ronds.

  -Tu n'étais pas au courant ? Dit elle sans quitter son aire choqué.

   -Oh vous savez moi et les informations ça fait deux.

  Je fixais le sol quelques secondes le temps de me remettre du choc. C'était aujourd'hui. Je déglutis difficilement. Cette femme avait raison. J'aurais dû le savoir. Je n'étais vraiment  qu'une fille stupide . La dame qui m'avait mise au courant partie sans un au revoir. Elle avait beau venir me dire bonjour tout les jours elle s'en fichait de moi. Elle voulait juste avoir l'air de la gentille voisine qui s'inquiète pour l'ado déprimée du deuxième étage. Je refermais la porte de mon appartement en me concentrant sur ma respiration. Il fallait que je me calme. Cette nouvelle m'avais mis hors de moi.

Je m'assis lentement sur mon canapé tout en regardant la télé. Ma mains tremblais tandis que je passais les chaînes pour trouver celle des informations. Je fini par la trouver et le regrettais déjà. Le présentateur , un homme de la cinquantaine avec quelques cheveux blancs, commença à parler:

  -bonjour à tous et à toutes , aujourd'hui comme tout les deux ans nous exécutions un ordre bien précis qui nous fais prendre des choix extrêmement compliqués.

  "Et voila le debout du discoure que l'on entend tous les deux ans dans chaque maison." Pensais je."Il ne pourrait pas tout simplement dire le prénom des cinq filles des le début? Ou alors faire preuve d'imagination et changer le discours chaque année. Tiens comme je suis voyante je prédis que la suite est: Mais avant d'annoncer ces choix je vais vous rappeler les raisons de tout cela."

  -Mais avant d'annoncer ces choix je vais vous rappeler les raisons de tout cela.

  "Qu'est ce que je disais?!"

  -Il y a 12 ans des maladies mortelles, des guerres et des catastrophes naturelles ont ravagé notre terre. Un jour, lors d'une tempête, un portail c'est créé et un message nous à été laissé comme quoi nous devions faire passer par ce portail cinq jeunes filles de notre petite ville. Il fallait que ce soit les plus fortes possibles afin de maintenir l'équilibre dans notre monde. C'est pourquoi les filles sont retirées de leur famille à la naissance et ne possèdent pas de noms de famille . Hélas nous ne savons pas ce qui se trouve derrière le portail. Mais nous n'avons pas le choix... Il nous faut exécuter les ordres, la survit de l'espèce humaine en dépend. Alors aujourd'hui à mon grand désespoir je vous annonce que les jeunes filles choisit sont : Allison,

  Une photo de la pauvre fille s'afficha immédiatement afin que toute les autres Allison soit rassuré. Celle ci était jolie. Ses cheveux blonds foncés étaient parfaitement coiffés et tombés sur ses épaules avec de légères ondulations. Ses yeux étaient couleur noisette et semblaient refléter la joie de vivre. Je ne pus m'empêcher de ressentir de la peine en l'imaginent perdre cette lumière dans le regard dès qu'elle avait entendu son prénom. C'était déjà trop tard pour elle.

  Le présentateur repris son discours et la photo de la fille choisit disparue.

  -Della, Rosalie, Andy et ...

  Je retient respiration . Il ne restait qu'un nom. Impossible que ce soit le miens. Ils y a tellement de filles plus fortes que moi. J'étais nul à la course, au jeu de ballon... À tous les sports imaginables. Ça ne pouvait pas être moi. Pourtant il fallait bien que ça tombe sur quelqu'un. Pitié pas moi.

  -Lydie.

  Une photo de moi s'afficha et ma gorge se serra. Je cherchais en vain un détail pour me prouver que ce n'était pas moi mais ne trouvais rien. C'était mes cheveux blonds vénitiens. Mon sourire. Mes yeux verts. C'était moi. Je fus prise de nausées. Le temps sembla s'arrêter et autour de moi et la pièce se mit à tanguait. Non... Tout sauf ça. Une larme glissa sur ma joue. J'avais envie de crier. D'hurler mon désespoir au monde entier. De faire un procès au malheur pour cet acharnement contre ma vie. Je fini par me laisser tomber à genoux , la tête dans les mains. Je me mis à sanglotai comme un bébé. La voix du présentateur qui disait aux choisi de ne pas s'inquiéter, qui me disait de ne pas m'inquiéter, semblait appartenir à un autre monde. De toute façon je ne voulais plus entendre la voix de cet homme. Il m'avait déjà trop de fois apporté le malheur. Tout ça était tellement injuste.

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Voilà pour le chapitre trois.

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Mila