Je courai vers l'engin tout en esquivant les papiers journaux et autres débris qui étaient éparpillés par ce coup de vent violent. - Ah! Moi qui croyais qu'ils allaient me foutre la paix - les atteints restant qui avaient résisté à l'envol suivirent mes faits et gestes donc ils étaient encore à ma poursuite. mais malgré leur manigances, j'avait quelque 75 centimètres d'avance. Une fois près de l'engin, je fis un rebond splendide et je m'accrocha mais l'engin ne vola pas. - C'est quoi ces bêtises? Dans quelle affaire me suis-je fourré? - Trente seconde, quarante cinq seconde, une minute, rien ne se passait, le fameux énorme avion furtif m'avait laissé en suspension tenant un fil. Un atteint robuste qui était à ma hauteur me tena fortement la jambe gauche m'attirant avec idée de me ramener au sol. J'avait dû lutter pendant une bonne minute pour ne pas se laisser faire - mais je ne sais pas pourquoi il fallait attendre- une minute supplémentaire et le vaisseau s'en vola enfin - il était temps! - malgré son envol, l"atteint ne me lacha pas pour autant. Nous étions tous deux en suspension en l"air. "Fous-moi la paix" lui criais-je en le tapant au visage avec mon pied droit. Nous avions atteint une certaine altitude et je ne pouvais pas continuer à me battre bêtement avec ce monstre donc j'eus une idée géniale. Je me balançais et Bam! Grâce à mon balancement , l'atteint se heurta contre un immeuble mais il résista. Bam! Une deuxième fois, Bam! Une troisième fois et de toutes mes forces Baaammm !!! Une dernière fois. Yes! Il finit par succomber. J'avais réussi mon coup mais ce fils de pu** - Excusez-moi pour ce langage vulgaire mais imaginez ma colère à cet instant là! - cet atteint, pendant qu'il tenait ma jambe gauche avait emporté avec lui ma nouvelle paire " Addidas Golden Premium " fait sur mesure à Turin. C'était l'un de mes baskets préférés dédicacés par mon basketteur favoris. Bon! pfff! Que pouvais-je faire? Je l'avait échappé bel et c'était ça l"essentiel - la vie d'abord -
Le fil m'aspira à l'intérieur du vaisseau mais une fois à l'intérieur, je vis une foule de plus de milles personnes tous yeux braqués sur le nouveau venu. La section où nous nous trouvions était très moderne et sophistiquée possédant diverses technologies complètement maniaque de la dernière génération. Je ne savais pas où je m'étais fourré mais peu importe où je me trouvais, l'essentiel était que ces gens m'avais sauvé la vie.
En voyant les têtes qu' ils faisaient, ils avaient tous l'air d'avoir reçu un choc. Il y avait des hommes et femmes de tout âge et toute race. Il y avait un groupe d'adolescente recroquevillé qui grelottaient malgré qu'ils étaient recouvert des écharpes, la majorité des individus mâle et femelle confondue était assise à même le sol, certains entrain de pleurer des chaudes larmes pendant que d'autres étaient entrain de s'embrasser comme une sorte de retrouvaille. Bref, nous étions tous comme des réfugiés secourus in extremis. Mise à part cette mine maussade, nous avions tous un point commun: Nous étions tous des New yorkais fourrés dans on ne sait quoi.
" Avant dernier new yorkais sauvé, direction la rue...." fit une voix féminine provenant d'un ordinateur intégré. Cette information m'avait tiquée car l'adresse donnée était sans discourir la mienne. Moi qui était d'ici peu assis me leva spontanément afin de confirmer l'information présupposée portée par l'ordinateur car je me rappelait avoir laissé ma mère seule à la maison avec un atteint qui était supposé être mon père.
J'étais là debout, dans l' impossibilité de m'asseoir tellement les choses prenaient une mauvaise tournure. Et je pouvais voir à travers ce gros écran transparent, le GPS indiquer la destination future qui était la résidence des Grays. J'étais évidemment le seul à le savoir car ces milliers des gens autour de moi ne comprenaient pas ma subite réaction. La porte juste devant qui était à disons deux mètres de l'écran s"ouvrit et de là, sorti un bonhomme plutôt balèze dont la chevelure et la barbe étaient teintées du blanc, habillé d'une combinaison noirâtre en cuir comparable à celle d'un agent secret. Il s'approcha rapidement de moi et m'adressa: " Allisson qu' est-ce que tu fais encore ici! Tu dois sauver ta mère maintenant où jamais, ne perd pas le temps bêtement" - Comment connaissait-il mon nom? - je n'eus pas besoin de le savoir car la suite de la phase me poussa à ne pas poser ne fut-ce qu'une question... Je descendai du fil le cœur battant la chamade et longeait aussitôt la maison.
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La Bête
Ficțiune științifico-fantastică2045: le monde est envahie par un virus surnommé "la bête". Nous étions tous des citoyens normaux mais depuis la venue de la SPADE et sa fameuse" traque à l'homme" nous sommes obligés de tenir des armes et nous défendre. La Bête à fait plusieurs mor...