Chapitre 1

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- Emma ! Lève-toi tu vas être en retard pour aller en cours!

Je me levais tant bien que mal après la nuit de révision que je venais de passer. Tout en jonglant au téléphone avec ma meilleure amie, qui est une truffe en maths. En plus d'un petit contrôle de maths sur nos acquis, nous en avions en en physique et un en anglais, la poisse car cette fois la truffe c'était moi.

Tout en m'habillant je cherchais mes bouquins pour aller en cours sinon, je ne pourrais pas attraper mon bus, donc j'allais devoir écouter ma mère me répétée que l'école est tés important pour la suite si je ne voulais pas finir comme elle, ou encore un de ces discours sur le fait que le futur est très important pour les vieux mais jamais pour les jeunes comme moi; dans ces moment-là je met à compter les minutes qui me sépare du lycée de chez moi. Enfin prête, avec un peu de chance le bus n'est pas encore arrivé. Eh bingo, au moment où je me rapproche de l'arrêt le bus arrive, nous sommes synchro. Je vais pouvoir m'accorder une dernière séance de révision avant d'être au lycée et commencer le premier contrôle, celui de la matière la plus redouté j'ai nommé l'anglais.

A peine arrivée au lycée, Leslie, ma meilleure amie se jette à mon cou.... c'est ça façon bien à elle de me remercier de l'avoir aidé en math; même si on sait toutes les deux que ça notes ne volera pas bien haut.

A peine la sonnerie retentit que la profs d'anglais nous attend, des fois elle a un don pour vous percer à jour et vous donner l'angoisse; ce matin-là elle porte un chemiser tout blanc rentrée dans sa jupe noire droite, elle porte ses habituel lunette en cercle qui lui donne le regard persan, ses cheveux qui commence à tirer sur le gris plus que sur le blond était regroupé en un chignon très stricte, de plus elle a une voix très cris-âtre à me faire irisé les poils.

Après l'anglais, vienne les maths qui sont toujours un bon moment. en effet, ce chère profs de maths, M. Guilverne est un homme bedonnant qui a un don pour vous faire aimer les maths même quand on les déteste. Cependant la longue continuité de cours de finissait pas les derniers contrôle de la journée avec physique et son horrible profs rapide sans explication et par-dessus tout, hautain. Mais bon cette journée plutôt pourrie était enfin fini, je vais pouvoir aller m'enfermer dans la salle de musique et enfin être au calme. Comme à mon habitude je m'installe au piano, même si je n'ai jamais pris de cours Leslie dit que je suis vraiment doué.

De façon à me dégourdir les doigts je joue un morceau que j'affectionne particulièrement : Pirate des Caraïbes. Ce thème permet de m'évader un peu, quelque temps, je m'imagine toujours au coude à coude avec Jack Sparrow, en train de dérouiller ses ennemis. A peine ai-je finis se morceau que j'essaye un morceau classique: La lettre à Elise; un morceau très jolie mais qui permet de faire travaille sa technique. De cette façon mon après-midi lycée se termine.

Je sors du lycée sans remarquer la silhouette qui m'observe de loin, ce n'est que trois rues plus loin lorsque que je m'arrête devant le passage piéton que je la vois. Elle est grande, à appartient un garçon brun, qui a les mains dans les poches de son jeans; ce garçon m'intrigue au plushaut point. Au plus profonds de moi j'ai envie d'aller lui parler lui poser plein de question, mais je me rappel très bien que l'on m'a toujours dit de ne jamais parler à un inconnu, ce qui augmente mon attente en vers ce stupide feux qui ne passe toujours pas vert. Du coin de l'œil je l'observe, il essaye de se rapprocher de moi... quand à tout a coup le feux passe au vert, je commence à marcher et ce gars me suit, j'accélère l'allure il me reste que quelque mettre et je serai arrivée à destination. Il marche toujours derrière moi, sans pour autant se rapprocher, je vois mon portail. il ne me reste plus qu'une centaine de mètre et je serais dans l'espace rassurant de mon jardin; mais ce type continue à me suivre, c'est comme si ces pieds ne touchait que très rarement le sol... Plus que dix mètres, et ouverture du portail, même si je sais que je suis en sécurité à l'intérieur de mon jardin je monte en courant la volé de marche qui me rattache à la porte d'entrée et m'engouffre chez moi comme si le diable me suivait.

-MAMAN!!! PAPA!!!

Aucune réponse personne n'est rentrée, génial je suis toute seule avec un pur inconnu à ma porte. Prise de curiosité je tente un coup d'œil à la fenêtre et ....Rien...nada... personne, comme si ce mec ne m'avait jamais suivit.    

AiglwainOù les histoires vivent. Découvrez maintenant