Chapitre 7

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PDV Allisson
    
       J'entrai brusquement dans le labo qui était complètement saccagé:  Il y avait des dispositifs chimiques ça et là complètement éparpillés par terre. La fumée avait tellement  provoqué mon poumon que je mis à tousser en avançant. Cette fumée me picotais les yeux et provoquait des écoulement involontaire  des larmes. C'était un capharnaüm invraisemblable, il y avait des substances bleues,rouges,vertes,noires....qui coulaient provoquant une odeur suffocante. Bref en voyant cet endroit, j'avais à première vue, l'idée qu'il eut un affrontement corporel violent. Je m'avançais tout de même, tournant les yeux remplis des larmes à cause de la fumée dans tout les sens cherchant ma mère sans succès! J'écrasais certains tubes en avançant et là quelque chose de très très grave m'intrigua le blouson blanc de ma mère était par terre! Je m'agenouilla complètement ébahi tenant son blouson que je tâtait pendant une fraction de seconde malgré ces picotement et ces odeurs nauséabondes tout en ébauchant un geste de frustration - vous vous demander sûrement pourquoi un simple blouson par terre pourrait autant me siderer? - Eh bien! C'est parce que ma mère, scientifique chevronnée de nature, n'enlevait jamais son blouson à l'exception des soirées festives où quant elle voulait se coucher. mais le 3/4 du temps quotidien, elle en avait sur elle.

     
        Je sortai du labo affaibli, les yeux rouges et piquant comme un ivrogne, toussant à plusieurs reprises comme un tuberculeux les cheveux en bataille, le visage rougie par ses substances toxiques. le blouson de ma mère à l'épaule, je cogitais. Non mais j'avais  visité toutes les pièces le long de ces deux corridors sans résultats concrets. Je pouvais m'en aller pour continuer mes recherches dehors, dans la nature mais le fait que la chambre de mon père était déverrouillée m'intriguais de plus en plus. Je revoyai toutes ces scènes et me rendis compte que je n'avais  pas visité l'endroit le moin sûr de la maison où pouvait se trouver ma mère:  la cuisine. ( En fait, la cuisine était pour ma mère un casse-pied, ce n'était pas son lot quoi! Mon père cuisinier de formation faisait l'affaire. Je n'ai pas dit qu'elle ne cuisinait pas mais à chaque fois mon père et moi faisions une de ces têtes avant de tout recracher sous ses yeux, la pauvre! Mais au fil des années, elle comprit qu'elle n'était pas appelée à mélanger le lait et le chocolat mais plutôt le cuivre et le carbone)

       J'accouru vers la pièce fantôme de ma mère. Déjà la porte était grandement ouverte. Je pouvais l'apercevoir au loin à cause du reflet de la lumière que regorgeait cette pièce. Je m'approchai et me rendis compte que la porte vitrée avait des éclaboussures de sang. Merde! Criais-je en entrant en pagaille dans ladite pièce. Il y avait des éclaboussures de sang partout: par terre, au plafond, le long des murs, les ustensiles étaient couverts de sang.

      J'ecarquilla mes yeux en voyant au coin de la cuisine, mon père déjà en état d'atteint le dos tourné, etranglant ma mère gravement blessée et tenant dans sa main le couteau que lui avait offert un chef italien plusieurs années auparavant.
- Sérieusement, je ne sais pas c'est que vous ressenter à travers cette lecture mais imaginez un peu une famille qui était autrefois heureuse, en union parfaite et à cause d'un certain virus Armstech où la bête était obligée de s'entre-tuée. Je ne sais pas par quelle expression je peux vous relater la ténacité de ces événements tragiques et malheureux. -

     Ma mère se débattait et en m'apercevant elle cria:  "Nooonn, Alli rejoint les autres, barre-toi d'ici avant que ça ne soit trop tard, vas-y mon fils "  avait-elle chevrotée.

   Pan!Pan!Pan! J'appuya sur la gâchette du pistolaser B5C12 que j'avais ramassé par terre.

PDV Théa

  La main qui m'etranglait se dessera après les trois coups de pistolaser, l'autre qui tenait le couteau le lacha et le corps de mon mari tombant sous mes yeux bordés des larmes et de douleur et de malheur. Quel choc! Que pouvait ressentir Allisson à cet instant! Oui! Il en tremblait, il avait lâché le pistolaser que j'avais laissée par terre. Non mais qu'elle douleur le pauvre, il venait de tuer son propre père.  Malgré les malaises, je courus vers lui et le serra dans mes bras pour le réconforter.

      Une minute plus tard, nous sortïmes main dans la main, en détresse totale et nous montämes à bord du vaisseau où l'agent nous attendait un grand sourire aux lèvres ne sachant pas c'est qui s'était produit.

* Avis?
    

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⏰ Dernière mise à jour : Jun 01, 2016 ⏰

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