PDV Isis
J'étais dans le bus qui me ramener à la maison, les gens ne cesser de me regarder avec insistance, enfin plutôt la mine d'une fille qui a passé une mauvaise journée qui a de plus verser toutes les larmes de son corps.
Pourtant, hier après-midi avait été parfait, j'ai regardé des films avec ma mère et on a fait une séance vernie maison entre nous. Elle m'a même raconté comment elle avait rencontré papa.
-Flash-Back dimanche après midi-
Maman était en train de m'appliquer du vernis blanc avec des motifs dorés, pendant ce temps, on riait de tout et de rien, depuis tout à l'heure une question ne cesser de tourner dans mon esprit.
« Comment as-tu rencontré papa ? »
À cette question un sourire tendre naquit sur les lèvres de ma mère, j'aime voir son sourire, il m'a toujours rassuré depuis la première fois que je le vis quand mes parents m'ont trouvée errant dans les alentours de ma maison.
- Je m'en rappelle comme si c'était hier, je venais de fêter mes dix-huit ans, c'était les vacances et mes parents avaient décidé de rendre visite à de vieilles connaissances qu'ils n'avaient pas vues depuis ma naissance et qui habitaient très loin de chez moi, elle se mit à rire. Leur fils n'était qu'autre que ton père, il n'était pas celui que tu connais maintenant, non, il ressemblait à Estéban en moins pire, chuchota-t-elle la dernière partie de sa phrase peut être dans l'espoir que je n'entende pas, mais j'ai entendu.
[Ma famille et moi étions arrivé depuis quelques heures ma petite sœur Annie discutait avec le cadet de la famille Wood, Martino. Son frère ainé Alaric n'a pas daigné faire acte de présence, ses parents ne cessaient depuis notre arrivée de s'excuser de son absence.
Je suis sûr que c'est un petit con arrogant, et sûr de lui qui se croit tout permis, je ne l'aime déjà pas, alors que je ne l'ai pas encore rencontré. Je jalousais ma meilleure amie qui avait le droit d'avoir un petit ami même si celui-ci n'était pas son âme sœur, pourquoi je viens d'une famille aux vieilles traditions.
Chez nous, il est formellement interdit de sortir et encore moins d'avoir des relations sexuelles avec quelqu'un qui ne sont pas notre moitié d'âme.
J'entendis une porte claquer, et une personne se dirigeait vers le salon où nous nous trouvions, ma part tigresse commençait à devenir agiter à mesure que cette personne se rapprocher.
- Te voilà Alaric ! Le réprimandait sa mère. Je te signale que nous avons des invités va les saluer et t'excuser !
Il grogna.
- Saluer oui, mais m'excuser surement pas, répliqua-t-il froidement et de manière tranchante.
Quand son frère nous a parlé de lui, il n'avait pas tort, quels sont ses mots déjà ? Ah ! Oui !
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Of All My Being...
RomanceQuand tes yeux se sont posés sur moi, mon monde a retrouvé ses couleurs... /!\ Âmes sensibles/ !\ abstenez-vous de lire cette histoire qui pourrais être à contenu comportant de la violence, des passages à caractères sexuel, des mots cru, et des vu...