Tout Mon Temps.

Premier battement

  
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Do not be intimidated. Just read 'till the end!
Good reading.

Le soleil se couchait à l'horizon et bientôt nous pourrons voir les lumière du petit village en contre-bas s'allumer une à une puis s'éteindre un peut plus tard. Dans ce début Octobre, le feuillage des arbre se préparai à l'hiver. Vêtu de leurs plus belles couleurs, elles virevoltaient tout autours de nous. Les craquement des feuilles sèche et des branches au sol, au rythme de nos pas, le vent fessait griser les feuilles encore dans les arbre et frissonner nos corps frêles de jeune adolescente. Sa main réchauffait la mienne et ni elle ni moi ne pillaient mots. Un silence planait entre nous depuis un moment mais le malaise venait juste d'arriver, il s'installait confortablement, prenait tout le temps qu'il voulait... je nais pas tout mon temps moi. Depuis toute petite on me répète les mêmes phrases "Prend ton temps.", "on n'est pas presser.", "ne te presse pas pour ça." etc. Je n'ai pas le temps d'éplucher des écrevisse ou d'enfiler des perles! Je n'ai pas le temps de perdre mon temps!

"Lya? Ça vas? Qu'est-ce qui se passe?"
Oh mon dieux, encore.
"Oui, ça vas, je, je vais bien..."
Je mentais... Je mentais toujours à ce propos... Le Docteur ma dit de ne pas m'inquiéter pour ça, mais je sais que le temps passe vite, qu'il n'en reste plus beaucoup, qu'il ne m'en reste plus beaucoup.
"Sure?" me demanda ma compagne un peu inquiète.
"Non, prend moi dans tes bras, dit moi que tout vas bien aller, s'il te plait." Dit-je d'un air piteux, je ne veux pas faire pitié, je ne veux pas qu'ELLE aie pitié de moi, mais ses crise de stresse qui surgisse n'importe quand pour n'importe qu'elle raison; ça me stresse encore plus! 

Elle lâcha ma main sèchement, j'eus un léger pincement au cœur, et prit mon visage entre ces deux mains, elle me regarda fixement dans les yeux pendent un moment qui me parue une éternité. J'enlaçais son petit corps de mes bras et laissai courir mes mains le long de sa colonne vertébrale. Un frisson la parcourue et la fit sourire, je lui sourie en retours. J'aime son sourire, elle me caressa la joue, puis passa une main froide dans mes cheveux cours. Je rapprochai nos corps encore plus. Elle s'accrocha à mon cous et je me rendit compte qu'en fait elle était ma bouée de sauvetage. On peut trouver mieux comme mots doux... pensai-je. Je plongeai mon regard dans ces yeux marron et me perdit dans la profondeur de son regard. Je veux l'apprendre par cœur, connaitre tout les secret de son être et savoir la dessiner qu'avec un souvenir. Je veux voir l'espoir, le désir et la passion dans ces yeux, l'ardeur dans son sourire et le flamme de son amour dans ces mouvement. Nos lèvres se frôlèrent, l'hésitation pris sa place, puis dans un commun accord visuel; mon premier baiser. Ces mains parcourait mon corps et mes main le sien. Nos cœur entrelacer, heureux et gourmand ne voulait plus se lâcher. 

Le soleil disparaissait à présent derrière les montagnes du nord, laissant place à un vent plus fort et une nuit illuminer par des millier d'étoiles regardant la scène. Du haut de la montagne, entouré de tout ces arbres protecteurs et vieux de plusieurs centaine d'année, il faudrait s'y mettre a 4 pour faire le tour d'un seul. Au loin on peu entendre la voix de Jordan, assis autour de son feu habituel sa guitare et les criquet l'accompagne et rende la nuit sombre déjà romantique encore plus chimérique.

To be continued!