*41: Une volière.

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Fya et Dargan s'installèrent bien, tout comme les membres du conseil.
C'était un bel après-midi, le blason de Saan flottait désormais dans le vent, une belle fleure noire​ aux pétales blanches​, sur un tissu marron.

Etiz était resté pour la nuit, quand il eu raconté à Saan ce que les consanguins avaient fait Saan l'obliga à reprendre 60 hommes avec lui.

Saan était dans le grand salon, d'où il voyait toute​ la cité, il regarda dans la cour où s'entraînaient Fya et Dargan avec Drys.

- Saan ?

Saan se retourna et marcha jusqu'à la porte, quand il l'ouvrit, il trouva son viel ami Scol.

- Bonjour, comment vas-tu ?

- Bien merci, j'ai trouvé quelque chose pour toi.

Scol sortit de son sac une grande bouteille en verre.

- Il y en a plein la cave, c'est​ une servante qui me les a montrée​s.

Les deux amis burent, en parlant du château, quand tout à coup Saan se leva.

- Et si nous allions faire un tour dans la cité, je dois aller voir le forgeron.

- Oui pourquoi pas, je n'ai pas encore eu l'occasion de me promener.

Les deux hommes descendirent dans la cour, en passant il fit signe à Drys qu'il sortait.
Quand il fut sortit​ du château, il pu observer des hommes, femmes et enfants, qui allaient et venaient dans tous les sens, c'était difficile pour Scol de se frayer un chemin.
Quand Saan arriva avec Scol dans la rue du forgeron, ils passèrent devant des hommes de Frical qui battaient une femme au sol.

- TOI ! ARRÊTES-TOI ! Hurla Saan.

- Regardez les gars, voici le roi.
Dit un homme en rigolant il était taille moyenne avec une petite moustache et une épée à la main.

- Oui lui-même, dis-moi veux-tu finir comme Frical ?

- Que vas-tu faire sal barbare !

Saan s'énerva et interpella un homme.

- Toi, prêtes moi ton épée !

L'homme acquiesça et la lui tendit.

- Alors, tu vas voir ce qu'un barbare a dans le ventre !

La foule s'écarta, il ne restait que Saan et le moustachu, un homme sortit de nulle​ part et cria.

- Je parie sur le roi !

Le moustachu fonça sur Saan avec l'épée droite devant lui, Saan contra son coup de justesse, le moustachu ne lâcha rien et tenta un coup de poing dans le visage mais Saan lui trancha la main avant qu'elle n'ait heurté son visage.
Le moustachu  s'accroupit au sol et supplia Saan de lui laisser la vie sauve.

Le conscerné, qui était partit relever la femme, donna l'épée à cette dernière. Elle s'avança devant l'homme et lui donna un coup de pieds puissant dans la tête, ce qui fit tomber le moustachu en arrière.

- Arrêtes... s'il... te plaît.

La femme lui planta l'épée dans le visage ce qui fit trembler le corps de l'homme, avant de s'arrêter à tout jamais.

- Je suis votre roi ! Je ne veux qu'une seule chose que mon peuple vive heureux, la première personne ayant un problème qu'elle vienne le dire au conseil.

Tous acquiescèrent, après avoir rendu son épée au garçon il partit​ à la rencontres du forgeron.

- Bonjour mon bon roi, votre épée est prête, je vous ai même graver votre blason sur la lame.

Saan prit l'épée, elle était à la couleur de son blason : blanche et noir.

- Merci vieillard, combien je te dois ?

- C'est​ que... J'aimerais plutôt que vous me rendiez un service.

- Dis-moi tout.

- C'est​ qu'il y a des hommes​ du village qui se font appeler les Serpents, et ils viennent​ voler des armes​ chez moi.

- Oui, deux gardes​ te suffira-t-il ?

- Oui bien-sûr mon roi.

- Très bien, je te ferai venir deux gardes dès demain.

Saan et Scol sortirent en direction du château. Une une fois​ rentré, Zebes couru vers eux.

- Qui a-t-il ?

- Rien de grave Saan, c'est​ que j'ai trouvé une volière, avec une centaine de pigeons​ marrons​.

Saan ne comprit pas le lui signifia.

- Tu comptes nous faire à dîner ?

- Mais non ! Ils​ sont dressés comme les pigeons noir que Koyl avait envoyé.

Saan acquiesça.

- Envoyes-en un à Etiz, dit lui qu'il nous le renvoie, fais pareil pour Colt et un dernier pour Agron je te donnerai le message à transmettre.

Zebes acquiesça et partit.
Saan resortit dans la cour et regarda Fya s'entraîner.

- Tu n'as plus que deux flèches​ ?

- Oui Saan, je suis désolée​ mais j'ai cassé les autres.

- Pas grave mon enfant, nous irons voir le forgeron, il te ferra de belles​ flèches.

Saan leva la tête est vit un pigeon blanc voler au-dessus​ de lui, après avoir réfléchi Saan en fut sûr, il n'avait que des pigeons marrons.

- Fya, tues-moi ce pigeon !

La petite fille ne réfléchit pas et lança de toutes ses forces​ la flèche, mais elle ne le toucha même pas. Sans perdre de temps elle arma à nouveau l'arc et avec une précision fulgurante elle fit tomber l'oiseau.
Saan se précipita dessus​, il y avait un mot du chef de Finliadest.

*Bonjour Saan, j'ai cru comprendre que tu avais prit Sudiasta, c'est​ gentil mais maintenant c'est​ moi qui vais reprendre ce pays ! *

Saan n'en revint pas, un pays entier allait s'attaquer à lui.

SAAN - Tome 1 [ Terminé ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant