The Baby-sitter.

Chapitre 1.

-Milla dépêche toi un peu, la baby-sitter arrive bientôt.

Celle-ci était encore en pyjama à deux heures de l'après midi.
Il faut dire que depuis que maman et papa nous on quittés c'est un peu difficile pour nous. Notamment pour Milla, elle a tout de même perdu ses parents à l'âge de trois ans , d'ailleurs je ne lui ai jamais avoués qu'ils étaient plus de ce monde.
Du coup c'est moi (en quelques sorte) qui l'éduque et je le vit plutôt mal. Plus de fêtes, moins de gonzesses, je ne peux plus me balader tout nu dans la maison, ni sortir au beau milieu de la nuit et revenir complètement déchiré à six heures du matin. Mais les avantages sont qu'elle est très adorable et qu'elle ne me mène pas la vie dure. Elle mange bien, se lave presque toute seule, s'habille seule et ne pose pas de question au sujet des parents.
Revenons à nos moutons, cette après-midi une jeune femme du nom d'Alisha Torrens vient surveiller Milla jusqu'au soir car je travail à l'épicerie du coin où je suis d'ailleurs très bien payé.

*Ding dong*

D'ailleurs la voilà.
Je m'approche de la porte et décroche le verrou que Milla s'amuse aussitôt à refermer.

-Milla, laisse moi ouvrir ce put... ce verrou.

J'arrive enfin à ouvrir le verrou et la porte . Devant moi ce trouve une jeune fille aux yeux très clair et aux cheveux très peu foncés. Elle est vêtu d'une petite robe blanche à manche trois quart et de converses bordeaux.

-Bonjour. S'exclame t-elle avec une certaine confiance en elle.

PDV Alisha Torrens.

J'écrase ma cigarette à l'aide de mes converses tout en sonnant à la porte des O'Lyn. Aujourd'hui je vais garder la petite Milla, d'après son frère elle est adorable et calme.
La porte s'ouvre après quelques minutes.

Devant moi se tient un jeune homme assez grand, je dirai 1m80, aux yeux vert et aux cheveux bruns, il a une peau assez bronzés comparait à la mienne qui est très pâle. Quatre-vingt centimètres plus bas se trouve une petite fille aux cheveux miel, frisés et aux yeux aussi clairs que les miens.

-Bonjour.Dis-je faussement enjouée.