Chapitre 33

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Il me tenait toujours fermement dans ses bras. Son souffle était chaud dans mon cou. La musique s'était arrêté. La magie avait disparut. Le désespoir était revenue, toujours plus fort, dévorant mon cœur, comme de l'acide.

Julian avait du me sentir me raidir.

-Qui a t'il ma chérie ? Me demanda t'il.

-Je... Non, ce n'est rien.

-Je vois bien que tu es malheureuse.

Il m'invita a venir me joindre avec lui à m'assoir sur le canapé.

-Parle moi, mon trésors. Je t'écouterais. Dis il.

Je décidais de rentrer dans son jeu, et de dévier la conversation.

-Je.. ne me sens pas très à l'aise. Je n'ai quasiment jamais embrassé de garçon, donc...

J'avais employé tout mon charme.

Julian parut étonné par cet aveux. Il ne se rendit pas compte que je lui mentait.

-Est ce vrai ? Une fille aussi belle que toi ? Cela m'étonne.

Je me raclais la gorge.

Le silence s'installa.

-Bon, reprit Julian. Je vais te laisser t'installer un peu, et te mettre à l'aise.

Bingo ! C'était parfait. Il me laissait seule, je pouvais mettre mon plan à exécution.

-Merci.

Il m'adressa un clin d'œil discret et sortit de la maison.

Ouf, enfin. J'attendis quelques instant, le temps de reprendre mon souffle et le temps de m'assurer qu'il était belle et bien partit. Je me changeais. Ben oui, courir en robe n'allait pas être facile. Je troquais donc ma robe avec un ensemble plus pratique:

 Je troquais donc ma robe avec un ensemble plus pratique:

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J'ouvris la porte de la maison. Je scrutais les environs. Personne. OK, c'est partis. Je fis quelques pas en marchant, puis de plus en plus vite, je finis par courir. Je ne cessais de me retourner, de peur de voir apparaitre un visage familier. Puis, je fonçais dans quelqu'un, je faillit tomber, mais il me rattrapa par la taille.

Il me chuchota à l'oreille.

-Tu croyais vraiment pouvoir t'enfuir ?

Je ne répondis pas. Julian ricana.

-Jamais je ne te laisserais partir, Susurra t'il.

Des larmes de frustrations coulèrent le longs de mes joues.

-Tu pensais que j'allais te croire ? Ce faux numéro de la jeune fille innocente, crois moi, je le connais par cœur. Maintenant, tu viens. On rentre.

-Non. Murmurais je.

-Tu es sur ?

Je ne répondis pas. La réponse était évidente.

Il prit mon poignet. Il le serra fort. Très fort. Je hurlais.

-Mais oui, c'est sa. Va s'y, hurle. Sa n'empêchera pas que je t'emmène.

Il serra encore plus fort.

-Tu veux toujours faire ta rebelle.

Il relâcha la pression.

Je me retournais. Maintenant, j'étais face à lui. Je lui jetais un regard noir.

-Je prend se regard pour un oui. Tu ne peux rien faire, ma chéri. Tu es à moi.

-Je n'appartient à personne. Peter va venir.

-Peter ? Es tu vraiment sûr qu'il t'aime réellement. Il ne fais que jouer avec toi. C'est évident. Il ne viendra pas te chercher.

Je me mordit la lèvre.

-Donc, tu viens avec moi.

Ce n'était pas une question. C'était un ordre

-Hors de question.

Il me gifla. Si fort que je valsais parterre. Je ne l'avais pas vu venir. Ma joue était en feu.

Puis, mes yeux se fermèrent.

Et ce fut le trou noir.





Bonjours tout le monde ! Vous allez bien ? Perso oui, je suis en vacance !

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Bisous


Peter Pan ForeverOù les histoires vivent. Découvrez maintenant