Agnès Sorel

Chapitre 2-Agnès Sorel

C'était en dentelle et corset que sa robe fort sublime soulignait sa beauté. D'une silhouette fine et à la droiture parfaite, elle avait une certaine grâce évidente. Elle avait de plus, une peau en peinture exquise et représentation utopique de tout homme. Ayant entendu la venu de Thibault, Agnès se retourna et put faire découvrir au marquis de Bourbon toute l'envergure de sa magnificence. 

ses lèvres paraissaient si douces, avec quelques teintes roses et rouges magnifiques, comme des coups de crayons d'un artiste sophistiquement inspiré. Son regard était sage, sa personne délicieusement féminine et son nez, encadré par de fins traits lui valait un profile de beauté grecque. Les tissus bleues et légèrement roses recouverts d'une précieuse dentelle s'accordaient à son teint pâle, telle que la neige avait fondu sur sa peau et l'avait marqué d'une blancheur fragile et subtile. Elle représentait un ange aux facettes lumineuses, un rêve de toute grâce et une illusion envié de tout homme. Sa beauté n'était d'égale, se raccordant à son physique unique comme la profondeur de ses yeux vert saphir et bleu émeraude. Puis ses cheveux, d'un noir intenses et profonds scintillaient aux soleil. Elle était si pure, n'ayant eu aucunes caresses ni même d'effleurements de la part d'un homme. Sa virginité était un trésor qui lui valait un charme irrésistible. 

Leur regards se rencontrèrent, s'entre-choquèrent et s'enchaînèrent l'un à l'autre, comme un lien étrange et incassable. Pour sa part, il contemplait ce qui était très certainement la plus belle femme qu'il n'ai jamais vu. Tout deux semblaient surprit, perdu dans un monde à part qu'ils avaient crée. Ils étaient figé, aucun des deux ne bougèrent... Le calme était la réponse à tout leur maux disparu. 

Cependant, Agnès finit par rompre le lien en détournant le regard et sa tête par la même occasion, le rouge au joues. Elle touchait frénétiquement du bouts des doigts ses lèvres. Quand à lui, il cacha aussitôt ses yeux par l'une de ses main, ne voulant qu'elle découvre la faiblesse qui l'animait. Il ne pouvait se répéter qu'une chose dans son esprit bouleversé : " Mon dieu... Elle est magnifique." 

Le silence l'ai avait prit tout deux, Agnès ouvrit la bouche mais aucuns sons n'en sortit. Elle se força une seconde fois mais c'était comme si elle était encore sous l'emprises de ses sensations d'il y a un instant. Elle déglutis avec difficulté pour finir par réussir à dire un petit bout de phrase ridicule : 

- Il nous faut... Nous asseoir. 

Elle détestait perdre le contrôle. Mais cet homme l'avait fixer si longuement qu'elle en avait perdu tout courage. C'était étrange... Ce qu'elle avait ressenti. Elle ne pouvait cesser d'en rougir, aucune personne quelle qu'elle soit ne l'avait regardé ainsi de toute sa vie. 

- Ho... Oui, bien sur. 

Thibault s'approcha de la chaise d'Agnès et la fit s'asseoir. Elle s'avança lentement et prit place. Il en avait toujours le souffle coupé, mais il devait engager la conversation. Il ne pouvait laisser le silence l'ai rattraper. Entre temps une servante arriva avec un service à thé, prenant soin de déposer la porcelaine qui devait appartenir à mademoiselle Sorel. En effet, elle lui avait été offert par sa mère lords de son seizième anniversaire. Elle prenait là un engagement symbolique au rendez-vous. à vrai dire, elle y avait pensé pendant toute la nuit, si tel était le choix de son père, elle le suivrait avec honneur et bienveillance. De plus, elle ne s'était pas attendu à un homme aussi jeune et charmant. 

- Laissez moi me présenter, je suis le marquis de Bourbon ( Agnès lui servit avec élégance le thé parfaitement chaud. ) et je me nomme Thibault. 

Elle reposa le tout, prenant son temps afin de ne pas avoir à rencontrer une seconde fois le regard du marquis. Elle en avait été bien trop déstabilisée... Ou était ce parce que lui même avait ressentit ces sentiments ? Elle n'en savait rien, elle désirait simplement éviter de rougir à nouveau. Cela était terriblement embarrassant, bien que lui était calme et reposé.