1834 , Paris .
Ça fait cinq ans que Rosalie n'a pas vue ses parents, pas parce qu'elle ne veut pas, mais parce que la ville n'est plus ce qu'elle était!
Aujourd'hui elle a vingt cinq ans , son mari n'est pas là, il est à la mairie.
Elle se fait un gâteau et reste devant la télévision pour attendre qu'il rentre. Elle parcourt les chaînes, soudain une chaîne l'interpelle.
- Parlons de l'affaire du travail, Aujourd'hui des gens ont protesté à la mairie et ils ont causé neuf mort et douze blessé mais le ministre du travail à pu s'en sortir , selon nos informations c'était lui qui était visé ...
Rosalie se précipita vers le téléphone et appela la mairie.
- Bonjour ici c'est Rosalie Orson , mon mari travaille à la mairie ...
- madame Orson , c'est Ben , dit l'homme au téléphone.
Ben est l'ami d'enfance du mari de Rosalie, ils ont fait leurs études ensemble au États Unis.
- Ben ... Ben dis moi que Jack est vivant , dit-elle en prenant rapidement son sac à main.
- Rosalie ... ce n'est pas facile à ... ton mari est mort , dit-il en pleurant.
Rosalie s'effond .
- Rosalie ... Rosalie, appelle ben au téléphone.
Une semaine plus tard .
- Nous sommes ici pour enterrer Jackson Orson , un homme qui a donné sa vie pour sauvé bien plus, dit le prête.
Rosalie ne portait pas de noir ce jour là, parmi tout les invités qui était tous habillé en noir , elle était habillé en blanc, car pour elle la mort de son mari n'avais jamais eu lieu. Certains disaient qu'elle était devenu folle, que l'amour qu'elle avait pour son mari lui a rendu folle, mais Rosalie s'en foutait de ce qu'ils disaient.
- Rosalie tu dois jetter la fleur que tu as dans le cercueil , dit Ben.
- Je sais, dit froidement la jeune femme.
Rosalie répond si froidement à Ben, car depuis la mort de Jack, Ben n'arrête pas de la séduire. Elle trouve ça décevant se la part de celui ci , car Jack considérait Ben comme son frère et ne l'aurais jamais trahir de la sorte .
Elle ferma les yeux et lança la fleur dans le cercueil , puis se retourna et partir. Sa mère ne l'ayant jamais vu comme ça se mit à pleurer, Rosalie entendit ses pleurs, mais elle ne se retourna pas, aucune douleur ne pouvait être comparé à celui de Rosalie.
Elle alla s'assoie dans un parc et tout les larmes de son corp se versa, puis une femme très belle , d'une taille moyenne au magnifique yeux, s'approchait d'elle.
- Bonjour madame , dit-elle en posant sa main droite sur Rosalie.
Rosalie se secha les larmes, puis leva les yeux. Elle vit cette magnifique jeune femme qui lui regardait avec ses grands yeux bleus.
- Désolé, vous m'avez abordé dans un mauvais moment , s'excuse t-elle.
- à non ne vous inquiétez pas ... je savais bien que vous étiez en train de pleuré ... j'étais venu pour vous consolez, dit la femme.
- merci, c'est très gentille cher madame , dit Rosalie en affichant un grand sourire.
- tenez , dit la femme en donnant une serviette broder à la main .
- merci ... il est très beau, je n'aimerai pas trop l'abîmer, dit Rosalie en remettant le mouchoirs à la jeune femme.
- non garder le , le redonne la jeune femme a Rosalie, votre enfant en n'aura peut être besoin un jour, continue t-elle en se levant.
Rosalie lui pris à la main , la femme se rassit, puis elle fit un sourire à Rosalie.
- un enfant ? Demande Rosalie supris .
- oui , un enfant , lui confirme celle ci en lui touchant le ventre , votre mari doit d'être drôlement heureux, rajout - elle.
Rosalie baissa la tête, la jeune femme compris que le faite d'avoir aborder le mari de Rosalie lui a attristé.
- désolé, s'excuse t-elle.
- ne vous excusez pas ... vous êtes la seule qui a pu me faire parler, me consoler ... vous m'avez même annoncer que j'avais un enfant et cela est plus que gratifiant, je vous remercie.
- ne me remercier pas , dit la femme en serant la main de Rosalie dans les sienne .
Elles se levèrent et se firent une bise, chacun partir de son côté.
Rosalie était vivante pour la première fois depuis qu'elle avait appris la mort de son mari, elle se sentait heureuse et personne ne pouvait lui gâcher son bonheur , même si son mari est mort , que l'anniversaire de ses vingt cinq ans n'a pas été fêté , elle avait gagné bien plus... un enfant de Jack .
Elle rentrais chez elle , la tristesse qui lui consumait n'était plus là. Quand elle arriva, elle vu Ben qui était devant la porte en train de l'attendre.
- Ben ... que faites vous là ?
- j'étais venu pour te parler ... pourquoi aujourd'hui tu me vouvoie, cela a toujours été tout naturel qu'on se parle en disant " tu ".
- heu ... oui , veuille à m'excuser ... entre , dit Rosalie en ouvrant la porte de sa demeure.
Elle sentait bien que Ben n'était pas venu pour une petite raison , à vrai dire elle s'attendait à ce qu'il lui demander de l'épouser et sa réponse était déjà assuré, elle savait déjà qu'elle dirait " non ".
- tu t'es remi de toute à l'heure ? Lui demande t-il.
- oui ... enfin bien après que j'ai appris que j'étais enceinte de Jack, se réjouit - elle.
Ben prit une tête supris.
- tu es enceinte de Jack , hurle Ben .
- oui, dit-elle avec une voix douce.
- okey ... cela ... depuis combien de temps ?
- je sais pas je l'ai appris après l'enterrement.
- et comment peux tu en être sûre ?
- je le sens ... et cette personne qui me l'a dit est une personne fiable.
Ben s'assit et ne dit rien pendant une trentaine de secondes , puis il se releva, fit des centaines de parts , ce qui stressait Rosalie. Elle se demande se que Ben était en train d'images dans sa tête .
- Rosalie ... vous savez quoi ?
- quoi ?
- épouser moi ?
- vous épousez ?
- qu'est ce que je t'ai déjà dit arrête de me vouvoyer, hurle Ben.
- je suis désolée... excuse moi, dit-elle avec une larme qui était sur le point de couler, mais elle fit tout pour l'empêcher de couler.
- alors pour le mariage ?
Rosalie ne reconnaissait plus son amie Ben. C'est vrai qu'il avait souvent montré des sentiments à son égard, mais elle ne pensait pas que cela allait aussi loin , qu'il serait capable de lui demander de l'épouser après la mort de son mari qui est aussi le meilleur ami de celui ci.