Chapitre 2~ Chiens ?

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Alexis P.D.V


Quand je me suis réveillé, je me sentais bizarre. Je gardais les yeux fermés, mais quand j'ai essayé de bouger mes mains et mes pieds, je me suis vite rendu compte qu'ils étaient attachés.

"Mec, elle se réveille." Dit une personne.

'J'ai un nom vous savez' est la première chose à laquelle chose je pense..

Ce sont eux qui M'ONT enlevés ! Le moins qu'ils peuvent faire c'est d'apprendre mon nom.

"Il suffit de mettre un peu de ruban sur sa bouche si elle commence à faire des histoires», c'est un autre homme qui parle.

Mes yeux se sont ouverts et j'ai regardé autour de moi. J'étais encore dans la camionnette, dans une position très inconfortable.

"S'il vous plaît ... s'il vous plaît laissez-moi partir, personne ne saura ce qui s'est passé, juste s'il vous plaît ... laissez-moi partir ..."

"Tais-toi !" le gars aux cheveux blonds m'a tiré vers lui, et m'a mit du ruban adhésif sur la bouche.

"Laissez-moi partir!" Criai-je.

Les hommes ont éclatés de rire, m'énervant encore plus...

Je leur ai donné le regard le plus noir que j'avais, il n'eut pas vraiment l'effet espéré, à la place ils me regardèrent avant de rigoler avant de rigoler encore plus fort, tellement fort qu'ils se tenaient l'estomac.

Je voulais sérieusement les étrangler, mais bien sûr, je ne pouvais pas. Mes mains étaient attachées ! Je soupirai et reconnu ma défaite. Ils m'ont tout les deux regardés confusément, avant de se redresser et de redevenir sérieux. Le gars aux cheveux noirs a enlevé la bande de ma bouche etm'a demandé :

"Quel est votre nom ?"

"Pourquoi devrais-je te le dire ?" Lui répondis-je aussitôt.

«Parce que je suis sûr que tu tiens à ta vie."

C'est vrai. Bien sûr, que je tiens à ma vie. Je n'avais d'ailleurs jamais remarqué à quel point je tenais à la vie jusqu'à ce qu'il me le dis.

"A-Alexis" je bégayais

"Alexis... joli nom"

"Uhh ... Merci ?" C'est sorti plus comme une question plutôt qu'une affirmation.

Ce sont les derniers mots que j'ai prononcé pendant un certain laps de temps. J'avais trop peur de dire un mot ou de faire un bruit.

Finalement, je pris mon courage à deux mains et demandé :

"Pourriez-vous s'il vous plaît enlever, ou desserrer les cordes qui commencent vraiment à me faire mal?"

Il a commencé à desserrer les cordes, lorsque son visage a soudain perdu toute couleur.

«Merde, nous allons devoir les enlever. Je veux dire elle n'osera jamais courir ou se battre contre nous."

Il a pris les cordes et les à jeter sur le siège à côté de lui. Il me regardait intensément, comme pour dire «un faux mouvement et je te tue". Je tremblais un peu avant de me lever. Le gars aux cheveux blonds se leva instantanément et me repoussa. Je me suis levé et l'ai giflé au visage, si fort que sa tête est partie sur le côté. Il se retourna vers moi avec des yeux noir, avant de me jeter sur le sol loin de lui. J'ai senti une vive douleur dans mon dos, et n'ai pas osé bouger. Il m'a alors frappé au visage à plusieurs reprises, en me faisant un œil au beurre noir, un nez cassé, et en plus de ça j'avais le visage en sang. La camionnette s'est arrêtée brusquement, et nous avons entendu grogner de l'extérieur, comme des chiens ...?

Le gars a immédiatement arrêté de me frapper. Toutes couleurs quittant son visage alors qu'il se levait .

Il avait l'air terrifié !


Mon âme-sœur humaine. [PAUSE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant