Chapitre 14

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-Point de vue Ashley:

    [...L'homme au visage toujours aussi flou remonte à l'étage, il se dirige vers la sortie de la maison en tirant sur tout ce qui bougeait. Mes pleurs de bébé se fesaient de plus en plus bruyants, l'homme n'hésita alors pas à me crier dessus et à m'insulter alors que je n'étais qu'un bébé...
    Nous voilà maintenant à l'extérieur. L'homme court à présent dans une ruelle étroite et sombre. Aucune voiture, aucune personne ne passait par là. La rue était effroyablement silencieuse et paisible. seul les pas de l'homme résonnaient dans le vide, brisant le calme religieux de la ruelle. il fesait froid, il pleuvait des cordes, et des coups de tonnerre éclataient ça et là, me fesant sursauter et pleurer toutes les larmes de mon corps.
    on sort enfin de cette effroyable ruelle. il fait sombre,  et je n'arrive pas à voir où est ce que j'avais atterri, et ce n'est que lorsqu'un coup de tonnerre éclata,  que je put enfin apercevoir la bâtisse qui se trouvait face à moi grace a la lumière de l'éclair. Mon coeur manqua de s'arrêter. je reconnaitrais cette bâtisse entre mille. un vieux bâtiment en pierre rouge, un perron pavilloné et un grillage tout autour du bâtiment. on aurait dit que c'était un hôpital psychiatrique qui enfermait les plus dangereux psychopathes du monde, mais en réalité, c'était un orphelinat, mon orphelinat, du moins celui où j'ai passé une partie de mon enfance.
    L'homme éclate de rire, un rire démantiel à vous en glacer le sang. il me dépose sous un arbre situé entre l'orphelinat et la ruelle sombre qu'on avait traversé tout à l'heure. il se retourne, me fixe du regard, me sourit, et pour je ne sais quelle raison, j'eus l'impression que le monstre qui était en face de moi m'était familier. mais le flou qui persistait sur son visage m'empêchait de m'assurer de cette thèse. il se retourne, puis repart dans la ruelle, me laisant seule, à mon triste sort, dans le froid et la boue...]

Je me réveille en sursaut, haletante et en sueur. Mon dieu, qu'est ce que j'ai bien put faire pour mériter ça sérieusement. et puis pourquoi CE rêve, je veux dire, j'ai déjà fait des cauchemars sur mon adoption, mais cette fois-ci, ça avait l'air tellement réaliste,  tellement vrai. Non Ashley ressaisis toi! Tes parents t'ont abondonné, un point c'est tout. Ils n'avaient pas les couilles de t'élever,  ils ne t'aimaient pas alors ils t'ont jeté hors de leur vie, donc pas la peine de commencer à imaginer des choses qui ne se sont pas passer. En tout cas, ce qui est sûre, c'est que l'histoire de mon collier commence vraiment à m'intriguer. je n'ai certes pas envie d'aller à la rencontre de mes parents biologiques, je leur en veux beaucoup trop pour ça, mais j'ai envie de savoir qui sont les sans - coeurs qui m'ont abondonner, laisser à mon triste sort, alors que je n'étais qu'un bébé.

Enfin bref, je m'assois sur le lit, et je reconnais directement la pièce où j'étais, la chambre de zayn. mais qu'est-ce que je fais là moi? la dernière chose dont je me rappelle c'est que zayn m'avait serré dans ses bras et avait tenter par tout les moyens de me calmer. Ce que ce mec peut-être vraiment bizarre. il commence par m'étrangler et deux secondes plutard, il me serre dans ses bras en me murmurant des petits mots doux à l'oreille, le mec le plus bipolaire que je connaisse quoi. Certes ses mots m'avaient vraiment rassuré, et bizarrement quand il me serre dans ses bras je me sens extrêmement apaisée, calme, mais je sais pertinemment que dès que je le retrouverai là maintenant, il sera encore plus froid que d'habitude. Zayn le connard fera sûrement son retour dans pas longtemps.

The Dark Zayn Où les histoires vivent. Découvrez maintenant