Ecrire, c'est avant tout une passion. Une passion que j'entretiens depuis très longtemps à présent. J'ai beaucoup évolué, progressé, mais je pense qu'il est important de s'entraîner tous les jours pour parfaire son écriture.
Dans ce petit livre je...
Mon ordi étant en panne et chez le docteur des ordis, je n'ai pas grand chose à vous proposer pour l'instant et Félin pour l'Autre -comme mes autres projets- sont en pause.
Du coup, je recopie un défi que j'ai fais il y a quelques temps ! Disons qu'il est au propre maintenant XD D'autres sont en préparation !
Le sujet dont j'ai fais la capture d'écran :
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Mon texte :
Mon nom est Mike.
Un prénom plutôt banal, me direz vous.
Je suis un agent secret du gouvernement.
Un peu comme James Bond, mais les belles femmes au corps de rêve en moins. La réalité est beaucoup moins alléchante que l'image donnée dans les films.
Aujourd'hui, pour mon travail, j'ai dû tuer un homme.
Mon patron m'avait refilé tout un dossier sur lui, mais je ne pris pas la peine de le lire. Je ne voulais rien savoir de lui, pour ne pas le connaitre, pour ne pas m'attacher. Pour ne pas avoir de pitié au moment de tirer.
Je n'en avais pas particulièrement envie, mais les ordres sont les ordres.
Et comme je suis un gentil toutou loyal, j'ai obéit. J'aurais pu refuser, mais l'idée ne me traversa même pas l'esprit. Car il fallait bien que quelqu'un le fasse. C'était un pauvre type corrompu jusqu'à l'os, personne ne regretterait sa disparition.
Alors j'ai pris mon courage à deux mains, je me suis rendu au domicile de ma cible, et je l'ai buté.
Comme ça, de sang froid. Mon regard à croisé le sien et j'ai lu dans ses yeux la peur de mourir. J'ai pressé la détente pour mettre fin à son calvaire. Ce n'était pas la première fois que je tuais un homme. Et certainement pas la dernière.
C'est un métier de psychopathe, pensez vous ?
Vous avez bien raison. Je n'ai même pas eu de remords lorsque j'ai traîné son corps sans vie dans le coffre de la voiture. Nous sommes formés pour n'éprouver aucun sentiments lors de nos missions. Pas de peur, pas de pitié, tout cela est inutile pour un soldat. Nous sommes réduit à de simples machines de guerre, tuant sur commande. Nous sommes des monstres.
Pourtant, à la fin de ma journée, je m'en vais, comme tout le monde, chercher mes deux enfants à l'école.
