...Le luxe sera leur perte...

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Moi : D'accord mais comment allons-nous créer ces entreprises ?
Alvaro : C'est simple tout d'abord il nous faudrait des actionnaires donc nous trois bien sûr Asraa serait l'actionnaire majoritaire , Inez et moi nous serions les actionnaires minoritaires. Nous détiendrions tous les deux , vingt pour cents des actions tous les deux et Asraa détiendrait les soixante pour cents des actions . Ce qui ferait d'Asraa le cerveau de cette entreprise . Après avoir créé cette entreprise , nous pourrons la commercialiser sur le marché puis l'internationaliser .
Inez : Mais à part le fait qu'Asraa soit le PDG de l'entreprise , qui sera notre chef cuisinier ? Comment on parviendrait aux Dos Santos ?
Alvaro : Ça seul Dieu le sait , mais ne vous inquiétez pas , plus on sera puissant plus on pourra se rapprocher d'eux .
Inez : - en se moquant - Ah et comment tu penses que l'on peut s'en sortir si l'argent que tu vas utiliser pour cette entreprise est de l'argent sale voire illégal ?
Alvaro : - en soufflant - On va le blanchir , il n'y pas d'autres issues !
Moi : Hum bon et comment on va quitter ce pays sans passeport ni rien ?
Alvaro : Ce qui est sûr c'est que nous ne pouvons pas prendre l'avion car il y a la douane puis on a pas de passeports .
Inez : - avec un ton ferme - Ah oui ? Et tu proposes quoi Monsieur le génie ?
Alvaro : Hey bien comme nous sommes des fugitifs maintenant nous allons devoir nous enfuir avec des moyens drastiques...Le bateau !

Dans la peau de la dame à la coupe au carré :

Merde mon établissement avait brûlé à cause de ces demeurés ! Et le pire c'est que cette petite effrontée et sa sœur s'étaient enfui... Qu'allais-je dire à Faiza ? Quoi qu'il en soit jamais je ne devrais lui dire qu'elles s'étaient enfuit sinon elle me tuerait de ces propres main , cette femme est complètement folle ...
Donc je décidai de l'appeler :
Faiza : Qu'est ce que tu veux ?
Moi : Toujours aussi aimable à ce que je vois , c'était pour te prévenir que mon établissement avait brûlé dans un incendie...
Faiza : Et ? Tu veux que je te paie pour ton boulot ? Pas de soucis , je t'enverrai un chèque ...
Moi : Quelle bonne femme ! Mais je voulais aussi te prévenir de la mort de ta petite protégée et de sa sœur dans cette incendie enfin pratiquement tous les patients sont décédés .
Faiza : Très heureuse de cette nouvelle , tu as bien fait ton boulot et pour cette nouvelle , tu recevras une compensation très spéciale de ma part...
Moi : Je ne savais pas que la mort de ces femmes te rendraient davantage généreuse !
Faiza : Tu te trompes ma chère , j'ai toujours généreuse ! Bref quoi qu'il en soit , félicitations pour leur mort .
Moi : Remercies plutôt cet incendie .
Faiza : - tout sourire - Bon je te laisse , je vais fêter ça avec mon amant - puis elle raccrocha -

Bon j'espère juste que cette garce et sa sœur ne reviendraient pas d'aussitôt sinon j'aurais affaire à Faiza...

Dans la peau d'Erendez : ( ça fait longtemps n'est pas ... )

Donc je venais d'embrasser Inez ou plutôt mon ex belle-fille et pour être honnête ça m'avait plu , jamais auparavant une femme ne m'avait autant d'effet ; ni même Faiza , certes c'était une belle femme très désirable mais jamais je n'ai ressenti ce sentiment pour elle ; je m'étais marié avec elle par dépit et aussi parce qu'elle a beaucoup d'atouts en tant que femme . En l'embrassant , j'ai senti qu'elle avait apprécié ce baiser car elle ne m'avait pas repoussé bien au contraire , elle m'avait désiré autant que je l'avais désiré ... Mais depuis cet instant , je ne l'avais plus revu ni même Asraa bon pour cette dernière c'était normal car elle n'était plus avec Sahid mais Inez , je pensais qu'elle aurait voulu me revoir après ce baiser ...
Donc je demandai à Sahid :
Moi : Dis moi hijo ( fils ) tu n'as plus de nouvelles d'Asraa et d'Inez ?
Sahid : Ne me parles plus de cette garce !
Moi : Qu'est- ce qu'il s'est passé pour que tu sois énervé contre elle ?
Sahid : Rien Papa , ne te mêles pas de ma vie privée....
Moi : Dis-moi au moins où est Inez , je te le demande car je considère cette petite comme ma fille !
Sahid : - suspicieux - Hum , oui je suppose qu'elle va bien , de ce je sais elles ont déménagé dans une autre ville voire dans un autre pays mais je ne sais pas où ! - puis il partit -

Ils ne pensaient pas que je reviendrais ...-La Patrona-Où les histoires vivent. Découvrez maintenant