Dans la peau d'Alvaro :
Je voyais dans ces yeux qu'elle regrettait mais rien à y faire , je voulais qu'elle me supplie , je voulais qu'elle me montre réellement qu'elle m'aime , mais je savais d'avance qu'elle ressentait des choses pour Sahid . Avec Alma ? J'étais froid mais étant célibataire , j'avais l'intention de jouer avec elle pour qu'elle devienne faible et qu'elle cesse d'être une garce . Auparavant , elle était pure , fragile mais maintenant c'est tout le contraire , elle est niais , superficielle , aigrie tout ça à cause de sa mère... D'ailleurs en parlant d'elle , j'avais d'or et déjà débuté cette vengeance . A partir d'un téléphone non localisable et sans numéro inscrit , je lui avait envoyé un message de courtoisie et tous les membres de sa famille se trouvaient devant elle... J'observais tous ses faits et gestes , sa réaction , et à la lecture de ce message , j'eus pu apercevoir que son expression du visage avait changé puisqu'elle celle-ci avait laissé place à une mine craintive ; de même qu'elle avait fait tombé son verre ce qui fait que tout le monde se retourna .
Sahid : Yemma tu vas bien ? Qu'est ce que t'as ?
Faiza : - en tremblotant ...
Israana : Vous allez bien ma chère ? Il faudrait peut être l'emmener à l'hôpital pour qu'elle passe des analyses...
Faiza : - en reprenant des esprits - Non ce n'est pas la peine , j'ai juste eu un vertige...
Alma : Un vertige ? Maman ne me dit pas que t'es..... ???
Faiza : Quoi ? Cesses tes balivernes Alma , je ne suis pas enceinte ! Je crois que c'est du à une chose que j'ai mangé... - en nous regardant tous - Veuillez m'excuser , je vais monter dans ma chambre , j'ai besoin de repos . Merci infiniment pour ce merveilleux cadeau et vous êtes ici le bienvenue .Elle partit en posant sa main sur son front , pobre mujer ( pauvre femme ) . J'attendis environ quinze minutes pour lui renvoyer un message , j'adore jouer avec les émotions
.... : Alors comme ça on se sent mal ? Vous avez raison de vous sentir ainsi après tout le mal que vous m'avez fait mais patience , vous le paierez de votre propre vivant...AsraaJ'émettais un petit sourire à la suite de ce message , la pauvre elle avait tellement peur qu'elle pouvait nous un arrêt cardiaque ce soir même... Quelques secondes plus tard , Alma se dirigea vers moi , MIERDA ( MERDE ) :
Alma : Permettez-moi de vous poser une question personnelle ?
Moi : Je vous en prie...
Alma : Par pur hasard , vous êtes en froid avec Israana ?
Moi : Qu'est-ce que ça peut vous faire ?
Alma : Simplement par curiosité...
Moi : - en m'approchant d'elle - Alors cessez d'être curieuse Mademoiselle...
Alma : - en me regardant profondément - Vous me rappelez quelqu'un
Moi : Je sais j'ai un visage familier on me le dit souvent - en lui saisissant ces poings - mais jamais je ne vous ai vu...
Alma : - en s'approchant davantage de moi - Par manque de chance ...On se défiait du regard quand je
sentis un regard persistant sur moi , c'était elle Asraa donc je la regardais avec un ton glacial et me retourna vers Alma :
Moi : Maintenant partez !
Alma : - en me chuchotant à l'oreille - A vos ordres !
Puis elle émit un rire enfantin pour ensuite partir , quelle allumeuse pensais-je , je pivotais de nouveau ma tête vers Asraa quand je pus percevoir qu'elle avait les larmes aux yeux , parfait...Dans la peau de Faiza :
Après ce choc , je montais seule dans ma chambre pour me remettre de mes émotions . Mon corps était devenue pale et j'affichais une mine fiévreuse ; c'est impossible pensais-je elle ne pouvait pas être revenue , ni elle ni sa maudite sœur . Pour tranquilliser le stress , je pris un calmant mais quelques secondes après , j'eus reçus un nouveau message :
.... : Alors comme ça on se sent mal ? Vous avez raison de vous sentir ainsi après tout le mal que vous m'avez fait mais patience , vous le paierez de votre propre vivant...Asraa
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Ils ne pensaient pas que je reviendrais ...-La Patrona-
RomanceJe ne m'arrêterai pas tant que je n'aurais pas atteint mon objectif , ils m'ont fait du mal mais aujourd'hui ils payeront peu à peu ... et surtout , je jure de ne pas me reposer ni de flancher devant leurs menaces .