With me? (Joker)

Chapitre 1

Il n'y a pas de mouvement pendant quelques secondes, jusqu'à se que nous entendions les bruits des mitraillettes, non non je ne rigole pas.

Tout les gardes et le policiers tombent un à un, transpercés par plusieurs balles. Ce n'est que lorsque j'entends quelqu'un crier mon prénom à l'autre bout de la salle que je réagis, l'issue de secoure.

Je me met à courir et à sauter par dessus les tables, manquant de tomber plusieurs fois. Plus je me rapproche, plus je vois mes amis à cette porte, me faire de grand signe pour que je vienne vers eux.

Je suis presque à mi chemin, lorsqu'on me plaque au sol.

Ho putain de merde.

Non ce n'est pas le joker, mais un de ses gardes, je vais mourrir. Je suis morte de peur, mais je ne le montre pas pour au temps. Le garde se relève en me tenant, avant de me relever à mon tour par les cheveux. Je retiens mes larmes de couler, bien que je ne craigne pas les cheveux, ça fais mal!

Le garde me met les deux mains dans le dos, une mitraillette contre la tempe, sympa non?

Un rire glacent nous parviens alors aux oreilles, son rire démoniaque, le rire du Joker.
Jusqu'à présent, je bougeais dans les bras du garde en espérant le faire lâcher prise, mais dès que j'ai entendu son rire, j'ai immédiatement arrêtée.
Je le vois, entrer par l'immense porte de la salle de réception, entouré de ses chiens, bon qu'a obéir à ses ordres.
Il fait face à Batman, qui lui ne bouge pas, épuisé de la situation tout en restant sérieux.

- Donne moi se que je veux. Dit le Joker de sa voix glaçante.  

- Il n'en n'est pas question. Réplique Batman.

- Très bien, dans se cas... Tien tien, mais qui est cette jeune demoiselle?   Demande t'il en me fixant.

Je dégluti péniblement. Je vois Batman avancer dans ma direction, mais il est coupé.

- Un pas de plus est tout les innocents présent dans cette salle mourons, tu n'es pas en bonne position il me semble.

Batman s'arrête dans son élan, et c'est maintenant le Joker qui vient dans ma direction, je recule et écrase les pieds du toutou de service qui me retient, mais il ne bronche pas.
Arrivé devant moi, il m'observe quelques temps de haut en bas, avant de rigoler. Son rire me glace le sang, un rire si sombre atteint par tant de folie ne devrait pas exister.
Il fais signe à son sbire, qui me lâche. Sans que je ne comprenne rien, je suis de un, à moitié assommée et de deux, je me retrouve dehors sur en sac à patate sur l'épaule du joker il me semble, car à l'envers, ce n'est pas pratique de s'avoir. Je bouge dans tout les sens, mais rien n'y fais, il ne me lâche pas.

Il me balance dans l'arrière de son hélicoptère personnalisé, puis monte à son tour. Il m'attache les poignets au plafond, génial...  

Les chiens de service rentre à leur tour. On peut voir, sur leur gilet pare-balles "JOKER" en gros. C'est la seule chose que je perçois avant de m'évanouir.

Je me réveille très mal installée, sur une chaise les mains attachées dans mon dos. Je tourne la tête à droite rien, à gauche, un garde qui semble dormir si trouve.

- Hum hum...

Il lève la tête et me regarde.

- On est où? Je demande.

- Là où on est.

Je souris d'un sourire bien faux cul.

- On est quel jours?

- Q'importe.

- Cool.

Le garde se lève et sors de la pièce si mal éclairé, je me dis même que c'est un miracle que j'ai réussi à le voir.
Quelques minutes plus tard, trois autres gardes rentrèrent.
L'un me détacha, et les deux autres me saisirent les bras.
Ils m'emmenèrent dans une autre  pièce. Dans cette pièce se trouver une table en métal, des seringues, des sangles, des menottes et des couteaux. La parfaite salle de torture.
D'apparence on pourrais croire que je suis une fille normale, mais loin de la, j'adore la torture. J'adore tout se monde de fou. Mais ce n'est qu'un rêve d'enfance...
Les chiens me placent sur la table, et je frissonne à se contacte, elle est gelée.
Ils l'attachent les mains, les pieds, et la tête, oui je sais cela peut paraître bizarre mais ils m'attachent la tête, avant de ressortir.

J'attend, je dirais une heure avant que quelqu'un entre. Je ne peux le percevoir, car je suis attacher.

- Alors chéri, cette salle te plais? Demande une voix roque.

- Le joker, quelle surprise....

- Une grande gueule. Qui vas regretter de trop l'ouvrir.

Je rigole amèrement.

- On commence par quoi? L'héroïne puis la torture où l'inverse? Me demande t'il.

- Si ça ne tient qu'à moi, je dirais la torture puis l'héroïne.

- Vois choix son des ordres. Me répond t'il avant de partir dans un fou rire.

J'entends des bruits de métal.
Je le vois alors dans mon champs de vision, avec plusieurs type de couteaux à la main.
Après qu'il ait fait son choix, il se place à coter de moi et me regarde. Il enlève sa veste violette, et est maintenant en chemise noir. Il relève la manche de sa chemise et place un couteaux sur son poignet. Il s'en taille profondément. Il me regarde avec un petit sourire, détourne le regard et lèche le sang qui coule.

- Un petit avant goût. Déclare t'il.

- Quels jeux de mots.

Il fronce les sourcils.

Il s'approche de mon visage avec un couteau, mais je le coupe.

- Je voudrais bien une carte de joker sur l'épaule droite.

Il fait les gros yeux pendant quelques seconde mais se ressaisit.

Il détache les sangles de ma tête et de mes poignets. Je m'assois et enlève ma veste pour me retrouver en débardeur.
Il vas chercher un autre couteaux, plus fin et maniable. Puis commence à entailler mon épaule droite. Il rajoute ensuite de l'encre. Puis repose ses couteaux sur la petite table à coter de lui.
Il prend une seringue remplis d'héroïne.

- À chaque mauvaise réponse, une dose. Me dit il avec un sourire, laissant dévoiler ses dents avec se truc en fers dessus .

Je rigole et lâche.

- Si on rendait les choses plus drôle... A chaque bonne réponse, une dose d'héroïne.

Il repart dans un fou rire incontrôlable.

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