Monsieur Petit Pas est haut comme trois pomme, il se fait toujours viré, car c'est un rêveur. IL n'est pas très beau, mais il a beaucoup de charme et un grand sens de l'humour. Malheureusement, les femmes ne le remarque pas. IL a la trentaine, son crane n'est pas encore visible, mais ça ne serai tarder, et aucune femme en vue depuis déjà longtemps. Quelque amourette ici et là mais rien d'assez fort , pour fonder une famille. Aucune relation qui ne vale la peine, depuis elle. En même temps, il ne fait pas tellement l'effort de trouver une, qui n'est pas elle. Une qui est prête à tout lacher pour lui.
IL habite seul, dans un grand appartement, bas de plafond, pour ne pas avoir a monter sur un escabo pour changer une ampoule. Oui, monsieur Petit Pas a le vertige.
IL a une photo d'elle dans le tiroir fermé à clé de sa commode à droite de son lit, quand elle avait 19 ans. Pourquoi l'enferme t-il dans un tiroir? Par peur qu'elle ne disparaisse encore une fois de sa vie.
ILs ne se sont pas parlé, ni vue depuis très longtemps. Un an après leur séparation, il l'avait croisé, mais elle n'avait même pas eu l'audace de poser les yeux sur lui. On ne va pas dire non plus que le lieu était très approprié pour ces circonstances. Mais, il en avait déduit qu'elle l'avait effacé de sa mémoire à tout jamais.
Mademoiselle Reste est d'une beauté saisissante, ses cheveux long et ondulé tombent sur sa poitrine, et sont comme ses yeux d'un noir profond. Elle se sent seule. Elle a eu une enfance difficile, toute les personnes de sa famille qu'elle les connaissent ou non sont mort les uns après les autres. Sa soeur follement amoureuse de son cousin ne put survrive à sa mort et se suicida. Sa mère, depuis la mort de pratiquement toute sa famille et le decès rescent de sa fille, ne cru plus en la vie et mis fin a ses jours. Dorénavent , mademoiselle Reste vit seule, avec son père. Elle s'occupe de lui nuit et jour, car il déprime, et meurt chaque instant un peu plus.
Elle passe le plus clair de son temps a espionner avec ses jumelles d'aventurier, ses voisins et des inconnus, qu'ils soient chez eux, entrain de déguster un souflé au fromage ou dans la rue rigolant avec leurs amis, ou encore les couples, dansant de bonheur, souriant a ne plus pouvoir. Elle regarde toute la vie entrer en eux par un simple signe de soutient, un simple signe d'amour. Elle ne sait plus ce que c'est d'être heureuse. Ca fait maintenant sept ans que sa mère est morte, sept ans sans soutient, sans amour. Son père passe son temps devant la télé, à s'évader de ce monde qui a arrêté de tournée. IL ne l'écoute surement même plus, il la voit mais lui fait son propre sénario.
