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Le temps qui à durer entre le claquement de porte de Narcissa et le moment où j'ai à nouveau franchit la porte pour allez voir le maître, il ne s'est écoulé que quelques heures mais pourtant j'ai eut l'impression d'être prisonnière depuis plusieurs jours. C'est également le temps qu'il m'a fallut pour élaborer et mettre en œuvre des plans pour m'échapper, sans grand succès évidement. Entre faire une liane avec des draps, casser la fenêtre, essayer de trouver la porte d'entrée , proposer à Lydie de s'échapper avec moi, aucun n'a fonctionné.

Même à nouveau devant ses grandes portes, j'essaye toujours de peser le pour et le contre. Je ne veux pas réellement faire partit de sa secte mais je peux lui faire croire que oui et gagner sa confiance pour après pouvoir m'échapper plus facilement. Mais oui ! Pourquoi est ce que les meilleurs idées viennent toujours au dernier moment lorsqu'on a pas assez de temps pour les préparer correctement? Peut-être parce qu'une fois élaborés elles ne sont plus aussi bonnes.

Je décide de garder le plus de fierté et de convenance possible, avec l'humiliation que j'ai subit tout à l'heure je ne veux pas me faire passer pour le même genre de soumise que Bellatrix. A mes risques et périls j'entre donc sans frapper à la porte. Lydie marche à mes coté, mais quand même légèrement en retrait. Le maître lui ordonne de rester afin de servir le breuvage. Une fois que j'ai reprit place où j'étais en début d'après midi sans avoir dit un mot, l'elfe de maison monte sur la grande table afin de pouvoir attraper la bouteille.

Je regarde le maître qui me fait un sourire de victoire, comme-ci il m'avait gagné. Je me met donc à l'insulté d'horrible personnage dans ma tête. Tout comme je me met à l'insulté avec certains gros mots que je n'aurais jamais prononcé jusqu'à maintenant. J'essaye de me contrôler du mieux que je peux pour ne pas le dévisager. J'essaye également de calmer le petit diable qui parle dans mon oreille, car je ne sais pas jusqu'où vont ses pouvoirs magique, peut-être qu'il peut lire dans mes pensés.

Rien que le fait d'avoir pensé que ses fameux pouvoir magique peuvent exister, rien que le fait de penser que l'elfe n'est finalement peut-être pas une marionnette dirigé par le même magicien qui aurait détaché le lustre, provoque en moi un sentiment de terreur.

Le lustre a été retiré, des elfes de maisons ont du s'en charger. C'est comme-ci je n'étais jamais passé par là. Ais-je peut-être rêvé?

« - J'accepte. »

Le maître rigole avec une telle puissance, mais il a intérêt de vite se calmer si il ne veut pas avoir affaire avec mon venin.

« - Certainement pas. »

Une voix que je ne connais que trop bien provient de la porte d'entrée. Elle avance vers la table avec une classe que je ne lui connaissait pas malgré ses cheveux ébouriffé et son teint rougeâtre. Comment est ce que ma mère à pu entrer dans ce manoir alors que je n'ai moi même pas trouvé la moindre issu? Voldemort ne semble pas surpris le moins du monde. Au contraire, c'est comme-ci il avait planifié sa venue.

Des pensées terrifiante prennent alors possession de mon corps, de mon esprit. Ma mère aurait-elle fait partie de ce club de tarer? Non impossible.

« - Tiens donc Mylène, comme on se retrouve. » dit-il tout en rigolant.

Ma mère quant à elle, ne laisse pas paraître la moindre émotion, seulement je la connaît par cœur et je sais qu'elle est en colère.

« - Tu es venu te joindre à nous? » demande t-il sur un ton plutôt ironique.
« - Je viens récupérer ma fille. » finit-elle sans la moindre crainte de peur.

Ma mère n'a jamais vraiment été très courageuse, excepté lorsqu'il s'agit de ses enfants. Elle serait prête à tout pour nous, je le sais.

« - Tu te doute bien que je ne veux pas te la rendre. » Sourit-il avec l'air que je lui ai définis d'ironique.

« - Ce n'est pas une question Jedusor. »

Jedusor? Non elle doit faire erreur, il s'appelle Voldemort, ou m'a t-il peut-être mentit? Je n'ai pas le temps de réfléchir qu'elle sort de son manteau le même genre de morceau de bois que ce que Narcissa m'a tendu tout à l'heure. On dirait une baguette, mais celle que ma mère tient dans ses mains est un peut différente, elle est tout aussi sculptée mais la sienne est fait avec un bois claire où des chiffres sont soigneusement inscrit sur toute la longueur.

« - Stupéfix » dit-elle en pointant sa dite baguette en direction du maître.

Seulement d'un mouvement de cape il stop tout ce que ce sort aurait du lui faire. Enfin, je suppose que c'est un sort étant donné qu'elle ne voulait sans doute pas lui donner son bout de bois. Je ne sais pas qu'elles auraient dû être les conséquences, dieux merci, mais ma curiosité elle meurt de le savoir.

Druella se lève de son siège pour pointé sa propre baguette sur ma mère ? En cette instant présent, plutôt qu'intervenir, je me demande si chaque personne à sa propre baguette ou si c'est par groupe de personnes. J'aimerais aider ma mère, mais mon coté lâche l'emporte et me dit de rester à ma place si je veux pas me faire toucher.

Heureusement, Voldemort fait un signe à la femme blonde pour lui interdire de lancer quoi que ce soit. Au final c'est peut-être mieux ainsi, qu'il soit le maître. Enfin, du moment que ses ordres restent en ma faveur.

« - C'est tout ce que tu sais faire ? Pitoyable. » annonce t-il à l'assemblé pour qu'elle se mette à rire avec lui, même si à vrai dire, moi Allison, pro des blagues, trouve sa soi-disant blague bien plus que ridicule.

« - Endoloris ! » continue t-elle, mais le maître bloc à nouveau son sort, riant de plus en plus fort.

Ma mère commence à s'énerver de plus belle, c'est vrai que le rire de l'homme est assez agaçant. Il se tourne donc pour voir ses sujets rire avec lui. Ma mère en profite pour lancer un sort qui bloc ses mouvements. Je déteste quand quelqu'un attaque dans le dos d'un autre, mais là c'est notre seule chance de nous en sortir. Les membres de sa secte allaient riposter mais la voix de Voldemort n'a pas été retirée, il en profite donc pour ordonner à tout le monde de rien faire. Mais que cache t-il à la fin ? Elle en profite pour courir vers moi et me tendre sa main.

« - Prends ma main, on s'en va. »

Choice - [les maraudeurs] | Harry PotterOù les histoires vivent. Découvrez maintenant