L'Histoire de Jeff et Jane The Killer

Partie 3 : Jane - chapitre 1 : Ils me manquent

Retour 1 semaine en arrière, dans la tête de Jane

Cela fais déjà presque 1 an que Liu et mort, et Jeffrey porté disparut. J'avais peur. De plus, mon père était policier, et j'avais peur que Jeff The Killer lui fasse du mal. Je me sentais seule sans eux. Et en plus, je gardais le secret depuis leur première rencontre. Elle aimait beaucoup Liu, Mais elle était amoureuse de Jeffrey. Elle comptait lui annoncer lorsqu'il sortirait de l'hôpital, mais elle n'avait pas put le revoir, ni avoir de nouvelles de lui après le message de sa mère : « Il s'est réveillé, mais je voudrai que tu le laisse tranquille le temps que son état se stabilise »

- Jane, ma chérie, tu veux venir descendre manger s'il te plaît ?

- Oui maman, j'arrive

- J'ai fais des macaronis, c'est ton repas préféré. Et Liane a appelé pour savoirs si tu voulais aller chez Antoine cette après midi.

- Dis lui que je suis fatigué

- Jane, tu devrais faire des efforts, ça fais déjà 1 an que cela c'est passé, et vous ne vous connaissiez depuis à peine 2 jours. Penses à autre chose.

Je ne dis rien, c'était trop injuste, ils étaient morts à cause d'elle.

Bond de 5 jours

Elle détestait l'école, il y avait toujours des rumeurs qui circulaient sur le fait que Jeff The Killer était en fait Jeffrey Woods, son, elle espérait, ex-futur-petit-copain. Son père avait été tué la veille, alors que les 3 garçons étaient sous surveillance. Se qui, l'avait fait réfléchir. Si Jeff était Jeffrey l'étranglerait elle on se jetterait elle dans ses bras ? Elle penchait pour la première solution mais n'en savait trop rien. La sonnerie retentit.

- J'aimerais que nous fassions une minute de silence mon les personnes décédés hier soir, dit le proviseur.

Tout les yeux se tournèrent vers moi.

Si je met tellement de parties, c'est pour me faire pardonner de ma longue absence. J'espère sortir une autre partie se soir, et peux être, si j'ai assez d'inspiration, une deuxième. J'espère vraiment que mon histoire vous plaît, et je m'excuse une énième fois pour mon absence, car moi même, je déteste attendre.