Chapitre n°5

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Je prends mon téléphone qui sonne . Et bien sur la petite saute sur tout ce qui brille et fait du bruit et elle essaye de me l'arracher.

- Tranquila princesa!

J'essaye de décrocher mais mon cellulaire atterrit sur le sol. En le ramassant elle cogne sa tête contre la poignée de ma porte et commence à pleurer. Non pas pleurer crier.
Je m'affole. Sa respiration se bloque et son teint devient rouge, limite bleuâtre.
Je la secoue légèrement en la berçant. Et elle crie tellement fort. Mes tympans, ma belle.

Point de vue d'Antoine Griezmann

Le moment le plus bizarre de ma velle a grand ouvert ses yeux et restait perplexe...Et puis enfin elle m'invite gentiment à rentrer dans sa demeure.
Ce qui me rassure, elle est plutôt intelligente. Et puis je comprends sa réaction, on ne s'est jamais rencontré.

Ma fille tends ses bras vers moi. Et je m'empresse de la prendre dans mes bras la levant au ciel. Je l'entends rire et ca me fait un bien fou. Je dépose un énième baiser sur ses joues. Elle m'a tellement manqué . Être loin d'elle est insupportable.

Je m'assois alors sur un canapé dans
Son salon avec ma fille sur mes genoux.

La nourrice quitta la pièce en se permettant poliment. Son appartement est plutôt simple. Elle est un petit peu bordélique, tout comme moi d'ailleurs. Ca sent la lavande et du talc.




Soudain, j'entends des hurlements et des pleurs. Je pars en fusée cherchant ou est ce qu'elle est, puis j'ouvre la porte brusquement et trouve Bella son téléphone par terre, paniquée essayant de calmer Mia qui pleure.

- Mais, que s'est-il passé !

- Elle...elle s'est cogné la tête contre la porte

Je voyais un truc, je le lisais dans ses yeux.

Elle est paniquée, affolée. Mais elle essaye de ne rien laisser paraître. Mia reste bloquée, sa respiration se coupe, ce qui me panique encore plus qu'elle. Je la lui prends alors de ses  bras alors et lui chuchote alors « Chhh ma belle, chh princesse tout va bien, tu n'as rien, allez, calme toi bébé, chhh » Lui dis-je alors tout en regardant dans ses yeux et lui caressant ces beaux, doux cheveux ce qui lui fait relâcher sa respiration, ENFIN, je fus soulagé.

- J'ai failli croire qu'elle ne respirera plus. ! Dit sa nourrice en caressant la joue de ma fille. Je lui réponds alors avec un sourire tout en gardant Mia dans mes bras .

- Ne me refais plus ça on est d'accord ? Dit-elle à ma fille qui lui fait un magnifique sourire. Elle l'a hérité de moi d'ailleurs.

Elle a une relation très fluide avec Mia. Ce qui me tracasse . C'est, juste sa nourrice. Je veux dire que.. je ne sais pas vraiment . Ca me fait mal . J'ai l'impression de ne pas être si présent dans la vie de ma fille. J'ai l'impression de ne pas m'occuper d'elle correctement. Même si moi et Erika on s'est arrangé pour la garde. Librement. Mais j'ai l'impression que sa nourrice est plus présente que moi. Que je n'accomplit pas mon rôle en tant que père comme il le faut. Je regarde ma fille me raconter ce qu'elle veut avec regret.

Il faut que je me redresse. Elle est ma raison de vivre . Elle me comble .

- Te amo princesa!
- ti ao Bea!
- non mais! Je suis choquée. Je viens d'être ignoré par ma propre fille.
- Bravo Mia ! Elle rigole avec ma fille. Et je finis par céder.

- Allez, dis Te Amo papa! Ton père sera jaloux sinon et je vais perdre mon métier.

Nous rigolons de bon cœur et la sonnerie de la porte nous interrompt.

Bella Rodrigues

J'étais soulagée ! C'est la première fois que ça lui arrive, que ça m'arrive plutôt. Trois mois, bientôt quatre, que je la garde et jamais elle m'a fait ce coup. Je fait toujours attention. il faut des efforts pour la calmer.

Erika est venue. Rayonnante aujourd'hui.

- Maman! Cria-t-elle en prenant sa fille.



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Salut les amours ! J'espère que vous allez bien :* #PrayForItaly

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Prenez soin de vous ! Bisous <3

Blue Princess Où les histoires vivent. Découvrez maintenant