Les Mains Froides

Chapitre 1

 - Jackson, va nous chercher des bières et des hot-dogs silteplait »
 - Mais pourquoi ? C'est toujours moi qui y vais, pourquoi tu n'y va pas toi Gwen ?
 - Parce que je film le concert et dépêche-toi la boule d'Eve va descendre et on va bientôt commencer à compter le compte à rebours !
 - Demande à ton petit copain moi je reste !
 - Max est en train de tenir tous les sacs tu te fiche de moi ! t'es vraiment têtu !
 - Bon ok, je vais montrer que je suis le plus mature ! » Répond Jackson en rigolant.
Jackson alla vers un petit marché blindé de monde. Il prit les dernières bières du rayon, et attendit que la queue défile, mais du coup il ratait tout le concert. Il sortit, acheta trois hot-dogs et lorsque qu'il revenu les mains pleines, les gens commencèrent à compter : « 10, 9, 8, 7, 6, 5, 4, 3, 2, 1... 0 !!! Bonne année !! ».
« je crois que je n'ai jamais vuTime Square aussi en folie pour un nouvel an » Pensât Jackson qui était dévalisé par  Gwen et Max en prenant les bières et les hot-dogs. Il faisait très froid, et Jackson avait mis les gants que sa mère lui avait offert pour Noël. La soirée se termina mais les lumières de New-York restaient allumées. Les trois amis prirent la voiture de Max, Mais c'est Jackson qui prit le volant, Max était soul et prêt à s'effondrer de fatigue. Gwen s'était mise sur le siège passager et Max était en train de dormir sur la banquette arrière.
 - Pffff quel navet cette soirée ! » souffla Jackson.
 - Quoi !? mais c'était une superbe nuit, qu'est-ce que tu racontes ! » répondit Gwen avec étonnement
 - Je n'ai même pas pu voir le concert ! J'étais occupé à me soumettre à vous en vous cherchant des trucs à manger !
 - T'en es encore là ?
 - Non, il n'y a pas que ça, pendant toute la soirée je vous tenais la chandelle, ce qui devait être un nouvel an entre meilleurs amis, est devenu un spectacle de roulage de pelles ! Je suis votre bouche trou comme d'habitude !
 - Arrête de penser ça ! » cria Gwen en colère « Des gens t'aiment et tiennent à toi mais Monsieur ne s'en rend pas compte et trouve qu'on lui devrait plus d'attention ! Égoïste va ! »
Les deux se turent d'un coup fâché contre l'autre. Puis, Gwen s'endormit sans étonnement, puisque la route était très longue pour arriver au studio de Max en raison des bouchons impossibles à franchir des rues de Midtown West. Jackson était quelqu'un de très impatient, il trouvait toujours le temps long. Ce qui était très ironique puisqu'il détestait rater quelque chose ! Le jeune conducteur en avait marre, il doubla illégalement quelques voitures par le trottoir, puis, il était en train de monter sur le trottoir quand une lumière l'ébloui soudainement et senti un choque sur l'avant de la voiture. Il pensât évidement qu'il avait tapé quelqu'un. Il sortit tout de suite de la voiture et regarda, il y avait une jeune fille, blonde aux yeux bleus par terre ; elle n'était pas blessée mais elle s'était évanouie. Elle était magnifique. Il ouvrit la porte de derrière, et poussa Max brusquement pour l'asseoir sur la banquette, mais il était tellement plongé dans son sommeil qu'il ne s'est même pas réveiller. Jackson reprit le volant et reprit la route mais plus prudemment.
Arrivé devant l'immeuble de max et Gwen, Jackson gara la voiture dans le parking et réveilla délicatement Gwen et Max.
 - Houlà ! Mais c'est qui celle-là !? » cria max avec beaucoup d'étonnement
 - Chut ! Ne crie pas comme un malade elle dort ! » répondu Jackson en chuchotant « C'est une fille que j'ai  dû percuté sur la route. Elle est juste un peu évanouie. »
 - Et tu comptes en faire quoi ? » demanda Gwen
 - Je ne sais pas, je pense que je vais l'emmener à l'hôpital ou la ramener chez moi si elle se réveille.
 - Bon, je ne veux pas me mêler de cette histoire, je suis crevé mais je te fais confiance je te prête ma voiture pour l'emmener à l'hôpital, mais après me ramène les clés, pas d'excuse. » prévins Max qui allait bientôt vomir. Gwen et Max sortirent de la voiture et arrivaient à peine à marcher.
Les deux zombies sortis, Jackson démarra et roula quelques mètres lorsque la jolie fille de la banquette se réveilla calmement. Elle dit doucement :
 - Où suis-je ?
 - Vous êtes dans une voiture, une voiture vous a renversé, je vous
emmène à L'hôpital le plus proche » répondit Jackson qui avait remarqué, qu'elle s'était réveillée, dans le rétroviseur. Il n'osait pas lui dire que c'était lui le conducteur de la voiture qui l'avait percuté
 - Vous n'avez rien ? « demanda-t-il.
 - Non, non, je n'ai rien. Je préférerai que vous m'emmeniez chez moi, j'habite dans le Broncks.
« Une fille comme elle qui habite dans le Bronks ! » cela étonna Jackson, puisque le Bronks est un quartier très pauvre de New-York. Elle lui indiquait les routes et les rues à prendre, et n'arrêtait pas de dire qu'elle connaissait cette ville comme sa poche. Au bout d'n moment, le beau jeune homme connaissait la route et la fille mystérieuse passa devant avec lui. Jackson lui demanda son nom. Avec une voie très basse elle lui répondit : « Emilie, juste Emilie. Je suis française et je vis depuis quatre ans dans cette ville. Mon père m'a abandonner quand j'avais quinze ans, et je vis avec ma mère  une vie très pauvre, c'est pour ça que je vis dans le Bronks au milieu des déchets et des ruines d'immeubles. ». Elle dit ça comme si elle déballait toute sa vie pour la toute première fois et que ça lui faisait un bien fou. Elle était assez timide, Jackson trouvait ça très mignon.
Arrivé à destination, la maison d'Emile était bien comme elle l'avait dit, entre deux immeubles de briques abandonnés au milieu de briques et de débris. Cette maison était petite, blanche et verte. Elle était un peu penchée, le bois était craquelé et imprimé d'eau, la peinture se dégradait, et il y avait des vitres cassées.
Ils descendirent tous les deux de la voitures et l'accompagna jusqu'au pas de la porte. A ce moment-là, Jackson se tourna vers elle et la regarda dans les yeux puis dit : « Bon, et bien voilà, c'est là que nos chemins se séparent. » Mais le grand jeune home ne pouvait lâcher du regard, les incroyables yeux bleus qu'avait Emile. Comme si il était plongé dans une mer écarlate qu'on ne pouvait ne pas fixer sans être sous le charme. Il lui prit les mains, elles étaient gelées alors Jackson enleva ses gants et les enfila aux mains de la magnifique jeune fille. Et lorsque qu'il releva sa tête pour contempler encore ses yeux pétillants, Emilie attrapa délicatement son coup et l'embrassa passionnément. C'était un moment magique, puisque au même moment, il commença à neiger. Ils en rirent tous les deux sans dire un mot, puis Jackson lâcha les mains d'Emilie pour retourner dans sa voiture sans la quitter des yeux, puis, il reparti. Mais il avait remarqué que pendant tout le long de son trajet jusqu'à sa voiture pour enfin repartir après, Emile n'avança pas plus près vers la porte qu'elle ne l'était déjà comme si elle attendait que Jackson soit parti pour rentrer.

Jackson avait noté son adresse. Le lendemain, il n'avait qu'une seule idée en tête. Revoir Emilie, pour lui dire qu'il l'aimait. Gwen et Max dormait à point dans le studio qu'ils partageaient tous ensemble, alors, Jackson se fit beau et pris discrètement la clé de la voiture de Max et fila comme à la vitesse de la lumière.
Il arriva devant chez elle. Il frappa à la porte et une dame plutôt âgée lui ouvrit la porte.
 - Que puis-je faire pour vous ? » dit-elle avec tristesse et colère comme si on venait de la déranger alors qu'il n'était que 13h00.
 - Bonjour, je suis Jackson je viens voir Emilie je suppose que vous êtes sa mère ? dit Jackson avec gentillesse.
 - J'avais une fille qui s'appelait Emilie et qui vivait ici avec moi, son père nous avait abandonné pour de l'argent et une autre femme que moi ! » dit-elle en commençant à pleurer et à s'énerver. « Il y a deux ans, un enfoiré a écrasé ma fille le soir du nouvel an parce qu'il roulait sur le trottoir, honteux, il est reparti et on a jamais pu le retrouver. Aller vous-en de chez moi, laissez-moi tranquille ! » Jackson pris peur et s'en alla.
Il se posa des questions. Comment pouvait-t-il rencontrer hier une fille qui était déjà décédée il y a deux ans de cela ?
Il alla dans le cimetière du Bronks pour vérifier ce que la mère disait. Il chercha et il trouva une tombe avec des fleurs déçue il y avait marqué : « Emilie Clinton 1995-2012 ». Il était glacé de découvrir ça et il se mit à pleurer. Il la connaissait à peine et elle morte du jour au lendemain. Puis à la fin de ses pleurs, il remarqua qu'il s'appuyait sur quelque chose de moue et de doux. A son immense étonnement, c'était ses gants posé sur sa tombe...