c'était une simple journée le soleil se levait et fut venu caresser mon visage. je sentais alors une boule dans mon ventre. quelque chose qui m'oppressa. quelque chose qui me mangeais de l'intérieur. je le savais, cette voix dans ma tête me le répétait sans cesse, ma vie était limité à un compte à rebours et quant a mon coeur, il brûlait de plus en plus pour finir en cendre. je n'étais pas heureuse.
je devais me lever, rejoindre des amies sûrement. après toutes ses préparations superficielles qui ne feront que masquer ma peine intérieur, je sorti alors les rejoindre.
dans la rue, je ne vis que des âmes vagabondes à la recherche de joie, d'argents, et de reconnaissance. c'est lorsque la mort vous ouvre les bras que vous vous rendez compte que l'être humain d'aujourd'hui accorde trop d'importance à des futilités au lieu de s'intéresser sur les vraies valeurs. je vis également beaucoup d'adolescents de mon âge voulant grandir de façon précoces : ils se bousillaient avec des conneries communément appelés cigarettes et drogues sous prétexte que la vie est courte sans savoir qu'ils la raccourcissait encore un peu plus à chaque fumée inhalés. quand on est un adolescent on veut tester ses limites, on se croit tout permis.
je rentra alors dans le métro. une fois encore, combien de personnes tristes cachant leurs peines dans le travail vis-je ? combien d'adolescents fraudant le metro sous l'applaudissement de leurs amis vis-je ? un nombre incomptable. je ne voulais plus y penser. je mis mes écouteurs, me posa contre la vitre et ferma les yeux en espérant me reveiller dans un tout autre monde.
YOU ARE READING
Un compte à rebours.
Romanceil était ma lueur d'espoir quand je n'avais plu la foi de continuer. il était mon futur lorsque le présent s'écrouler sous mes pieds. et lorsqu'il parti, je voulu mettre fin a ma vie.