Des vacances surprenantes

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Après cette discussion nous restons avec Laurie et nous parlons de notre vie :
- Alors dis moi Laurie tu habites où ?
- J'habite dans le jura chez les vaches. Dit-elle avec un grand sourire. Et vous ?
- En Bourgogne dans Yonne.
- Alors je sais ou est la Bourgogne mais alors Yonne j'ai occune idée d'où sa se trouve.
- Nous sommes à la limite de la Seine et Marne enfaite.
- Aaaaah d'accord. Et vous êtes au Lycée ?
- Oui.
- Dans la même classe ?
- Non il est en Bac pro et moi en terminale L.
- Wahou en L...
- Et toi ?
- CAP esthétique.
- C'est bien sa.
- Ouai mais bon j'en ai marre d'apprendre à épiler des vieilles...

Nous explosons de rire tous ensemble puis nous continuons.

- Si tu veux dans la semaine je te ferai les ongles ou ce que tu veux. me propose Laurie.
- Ah oui se serai super !! J'ai hâte.
- Sa y ai sa par dans une conversation de filles bon ba je vais rentré. se pleins Max.
- Mais nooon arrête un peu on arrête c'est bon. je lui répond.
- Non mais si il veut je peu lui faire ses ongles à lui aussi il n'y a pas de problème.
- Non non ça va aller je t'assure.
- Ok comme tu voudras si tu change d'avis tu sais ou me trouvé.

Elle se lève et part. Nous nous retrouvons de nouveau seul a mon grand bonheur.

- Tu veux qu'on rentre au mobilome ? dit Maxime.
- Comme tu veux.
- Ba comme sa on sera tranquille.
- D'accord.

Nous partons et allons dans notre chambre. Mon père n'est toujours pas rentré de course donc nous pouvons en profité.
Il est allongé sur le lit et moi je reste debout devant lui sans bougé, comme pétrifié. Je ne sais pas quoi faire avec lui, si il va me repoussé ou non.

- Ba viens me faire un câlin. me dit-il en ouvrant ses bras.

C'est bon je sais ce que je dois faire. Je monte sur le lit et me fofille dans ses bras en posant ma tête sur son torse. J'entend son coeur qui bat. Il bat fort d'ailleurs, comme si le fait que je sois la dans ses bras le stress, en tout cas pas autant que moi... Je sens ses poumons se remplir et se vider d'air. C'est apaisant.

- Maxime je crois que je t'aime...
- Pas autant que moi.

A ces parole je souris de bonheur sans oublié le mal que nous fesons.
Je me mets à côté de lui et pose ma jambe sur la sienne. Il prend ma joue et s'approche de moi pour m'embrassé je le laisse faire pour apprécier la douceur de cet instant, nos langues se mêlent l'une l'autre et je monte au paradis. Voilà maintenant quatre jours que nous sommes arrivé dans ce camping et tout est déjà en pagaille dans ma tête. Mais je j'essais de ne pas réfléchir et de vivre ces vacances au jour le jour.

- J'ai faim. me dis Max.
- Et alors ? En quoi sa me conserne ?
- Ba va faire a mangé.
- Non mais c'est une blague alors la jamais de la vie ! Gros macho !
- Je rigole je rigole calme toi je vais le faire.

Il se lève et va dans la cuisine. Il regarde dans les placards mais il n'y a pas grand chose.

- Bon tu veux pas plutôt qu'on aille a la pizzeria ?
- Ouaiii mais... J'ai pas d'argent...
- Moi si aller c'est moi qui t'invite.

Il me montre sa carte bleu avec un sourire malicieux. Nous partons à la pizzeria, une fois arrivé je n'ai toujours pas choisi ma pizza. Bolognaise ? Reine ? 4 fromage ? Calzonne ? Saumon ? Je n'arrive toujours pas à choisir...

- Bon Jade tu as choisi ?
- Ba... Euh...
- Le monsieur attend tu sais.
- Ba... Reine !
- Ok sa sera près dans 20 minuites à peu près. Vous mangé sur place ?
- Oui.

Nous partons nous installer à une table et nous attendons.

- Alors ? me demande Maxime.
- Alors quoi ?
- Ba tu es contente ?
- Contente de ?
- Oh mais contente d'être avec moi voyons !
- Ba oui t'énerve pas Max.
- Oui mon amour.

Oh. Mon. Dieu qu'es qu'il vient de dire ? Il vient de dire "mon amour" ? Je n'ai pas rêvé. Mais qu'es que je dois répondre à sa...? Tout se que j'arrive a faire c'est sourire et rougir comme une idiote. Je suis vraiment bête.

- Tu es trop mignonne quand tu rougis.
- Tu ne vas pas arrangé la situation si tu continu tu sais.
- Je le sais. me dit-il avec un grand sourire. Tu me trouve comment ?
- Comment de quoi ?
- Comment tu me trouve physiquement ?
- Euh... Ba... Tu es... Beau.
- Et ?
- Musclé.
- Et ?
- hen.... Tu es très beau, gentil, attentionné, drôle, mignon et généreux sa te vas ?
- Oui c'est parfait !
- Et moi alors ?
- Tu es moche, colante, quand tu rougis on dirait un cochon d'Inde, tu pu et tu es un peu trop grosse a mon goût mais je t'aime quand même.

Je reste choqué de ce que je viens d'entendre. Il est sérieux là ? Il se met alors a rire comme un idiot à sa connerie et à ma tête sûrement.

- Tu es sérieux ?
- Mais non mon amour je rigole !
- Moi j'avais oublié de précisé que tu n'es qu'un con !
- Si tu l'as oublié c'est que ce n'était pas important.
- Si si je suis juste trop gentille.
- Trop bon trop con.
- Tout a fais !
- Bon mangeons.

Je déguste ma pizza sans pensé à ma ligne et sans regardé une seconde Max. Je vais essayé de lui faire la tête sa lui apprendra.

- Bon tu veux faire quoi demain ? me demande Maxou.

Je ne répond pas.

- Oh oh Jadounette !

Toujours pas de réponse.

- Sa y ai tu me fais la tête non mais je rêve tu es vraiment une gamine !
- Ah non je suis pas une gamine c'est toi le gamin ! Je te rappel mon chère que je suis plus grand que toi!
- Et alors tu crois qu'avec 5 minutes déclare tu es plus mature ? Laisse moi rire !
- Mais tu es vraiment méchant avec moi ! Je ne pense pas que je vais resté avec toi bien longtemps si sa continu.

Il baisse la tête, je crois que je l'ai vraiment blessé... Mince il m'aime vraiment pour réagir de cette manière...

- Bon on y va ?
- Euh... Oui mais... Mais attend !

Il paye et part sans même m'attendre. Je ne comprend vraiment pas sa réaction.

- Maxime attend ! S'il te plait arrête toi.
- Laisse moi tranquille je rentre au camping.
- Mais dis moi ce qui va pas j'ai rien dis de mal.

Il se retourne d'un coup et je lui fonce dedant par accident.

- Tu as rien dis de mal ? Tu as rien dis de mal ? Tu as juste dis que tu me quittais pour ce que j'étais.
- Mais c'était pour rire pardon...
- Non il y a pas de pardon la vraiment tu m'as fais mal !

Il part sans m'attendre et je reste bouche B sans bougé.