J'espère que tous les chapitre postés vous ferons plaisir 😘
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Je regardais les vitres du bus d'un air absent depuis quelques minutes en pensant à l'inconnu. Théo. Un prénom très commun, j'en avais deux uniquement dans ma classe. Il était vraiment beau ...
Calme-toi, tu ne le reverra peut-être jamais.
Je soupira, tout d'un coup déprimée....
Je posa lourdement mon sac sur mon lit et en sortis mes affaires. Je m'assis devant mon bureau et plongea dans mes exercices.
Je mâchouillais mon crayon déjà bien abîmé quand la porte de ma chambre s'ouvrit en grinçant, laissant apparaître Catherine.
- Vas faire à manger. M'ordonna-t-elle froidement en se dirigeant jusque dans son bureau, faisant craquer le plancher en bois et s'enfermant en deux tour de clé.
J'avais déjà pensée à tout balancer et partir, fuir ma vie et cette " famille " qui était la mienne.
Noël approchait à grand pas, l'hiver aussi, et je savais qu'une fois de plus je passerais cette soirée seule dans ma chambre à finir les restes de la veille.
J'aurais voulu faire des études d'art mais mes merveilleuses demies-sœurs voulant faire dans le scientifique, aucun lycée du coin ne proposant ces deux filières, je me retrouvais dans le même établissement que celles ci pour éviter une " fatigue inutile " à Catherine au niveau des papiers ou autre ... Je la soupçonnais de tout simplement savourer le fait de briser mes rêves un à un.Le lendemain je me leva difficilement. J'avais passé une mauvaise nuit, remplie de cauchemars et de rêves dont je ne me rappelais plus nettement. Il me semble me rappeler d'une scène où le Théo d'hier soir et l'homme en noir se serraient la main comme pour conclure un marché.
Des fois je me demande qui invente mes rêves sérieux.
...Au lycée la matinée passa rapidement, Amélia et moi parlant pour passer le temps lors des cours ennuyeux à mourir.
En cours de sciences physiques, ma meilleure amie et moi étions séparée. Je passais donc mon temps à griffonner des petits dessins dans la marge de mon cahier quand, cherchant une gomme dans ma trousse, je tomba sur un bout de papier déchiré.
Intriguée, je le tourna entre mes doigts et le déplia.
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Do what you love
Romantizm- Non, tu n'iras pas ! Haussa-t-elle le ton. - Et pourquoi pas ? Répliquais-je. Mes demi-soeurs nous regardaient depuis la cuisine, curieuses. Pendant que Catherine devenait rouge de colère, proférant des menaces. Et apparemment elle n'avait pas de...