16: Le vrai visage..

39 6 14
                                    

Papie Churros avait les yeux fixés sur la caméra de surveillance de la cellule de Mickel. Les nerfs lui montèrent à la tête. Il en avait marre de cet espion qui se prenait pour je ne sais quoi. Il se dirigea vers la cellule et entra brutalement en menaçant avec un revolver. Mickel ne fut même pas surpris.

-C'est un jouet très dangereux pour une si petite fille, dit Mickel.
-Fermez là !! Je vais vous exploser la cervelle Black !! Et personne pour m'en empêcher!
-Si, moi.

Churros se retourna et tomba nez à nez avec .... LockWood, le chef de l'agence de contre-espionnage anglaise. Mickel ne comprenais plus rien du tout. Pourquoi LockWood était-il ici ? Ça n'avait aucun sens.

-Suffit Papie! hurla t il

Churros lacha son arme et se rangea derrière LockWood.

-Pardonnez moi monsieur... Je ne voulais pas vous offensé, dit Churros un peu gêné.

Mickel était choquer. Son coeur s'arrêta subitement.

-Alors là, dit Mickel, époustouflé. Voyez, dans cette foutue histoire, j'en ai vu des trucs. Mon frère est mort, son fils caché, Richi, est mon disciple et une de nos agents nous a trahi. Mais alors là, Monsieur Lockwood, j'avoue ne plus rien comprendre.

LockWood eut un rire frénétique étrange et diabolique puis s'asseya en face de Mickel.

-Vous savez Mickel, j'en avais marre d'être toujours dans l'ombre de cet abrutis d'O'Connel. Il ne fait jamais ce qu'il faut !
-Dis celui qui employe des terroristes..
-Oui certe. Mais c'est pour mieux faire diversion. Vous croyez franchement que mon but est de faire exploser la lune ? Haha, vous êtes vraiment stupide. Mon vrai but est de détruire les États Unis, première puissance mondiale, et d'accuser la Russie.
-Vous êtes un vrai psychopathe!
-C'est ce que votre frère a dire avant que je ne le tue. Je ne voulais pas risquer qu'il parle. Alors, rien de plus radical qu'une balle dans la tête.

S'en était trop pour Mickel. Il commença à se débattre et à crier des jurons à tout va. Lockwood s'approcha de lui et commença à lui chuchoter à l'oreille.

-Je sais que vos amis sont la, quelque part dans le château. Et je les trouverais vous pouvez en être certain.

_______________________________

-Aide moi à ouvrir cette foutu porte ! s'écria Barbara.

Ils essayaient d'ouvrir la porte de la cellule, en vint. Ils s'asseyèrent, épuisés. Ils n'avaient plus aucune chance de sortir d'ici. Alors qu'ils commençaient à perdre espoir, la porte s'ouvrit brusquement et Darla et Larry apparurent. Barbara se leva d'un bon et se dirigea vers eux. Elle pris sa mère dans ses bras.

-Qu'est ce que tu fais là ? demanda t elle
-Nous sommes venu vous libérer, répondit elle
-"Nous" ?
-Oui, Ivosky, O'Connel et Richi sont venu eux aussi.

Barbara escissa un léger sourire en entendant le nom de Richi. Il fallait absolument qu'elle aille l'aider.

-Où sont ils ?
-Non, on ne doit pas aller les retrouver. Notre mission est de nous enfuir et ils nous reste encore des agents à libérer !
-Et bien libérez les pendant que moi je vais les aider.

Barbara alla s'en aller quand sa mère la retint du bras. Celle-ci se retourna brusquement.

-J'ai déjà perdu une fille, dit Darla. Je ne veux pas en perdre une autre.
-Ne t'inquiète pas, je reviendrai.

À ces mots, Darla lâcha le bras de sa fille qui s'en alla en courant à la recherche des autres.

________________________

O'Connel et Richi avançait prudemment. Soudain, O'Connel s'arrêta devant une porte.

-Que ce passe t il ? demanda Richi
-Il y a un piège...je le sens. C'est mon instant de Super Agent !
-Ha oui, suis je bête...

Il ouvrit lentement la porte. Il y avait une pièce gigantesque et vide. O'Connel sortit de sa poche une sorte de spray et aspergea la pièce avec. Des lasers rouge apparurent alors. Richi lança un regard impressionné à O'Connel. Celui, fier de lui, fit un large sourire.

-Faite pas trop le malin, vous! s'écria Richi. On est toujours pas passer de l'autre côté.
-Taisez vous et laissez faire le pro.

O'Connel se remonta les manches. Il commença alors à faire une sorte de spectacle gymnastique pour éviter les lasers. Richi restait béa devant cette scène presque surréaliste. Une fois qu'il eut fini, O'Connel s'approcha d'un enterupteur et l'actionna. Une alarme retentit soudain. Richi souffla bruyamment en levant les yeux au ciel.

-Mais vous êtes con ?!? hurla t il
-Je pensais que l'interrupteur pour enlever les rayons lasers ! Ça arrive à tout le monde de se tromper ! Bon venez vite !

Richi et O'Connel continuèrent leur chemin en courant pour quitter la zone. Ils contactèrent alors Ivosky.

-Vous êtes con O'Connel, dit celui-ci en décrochant
-On vous a pas appelé pour ça le bolchevique !
-J'imagine que c'est pourr que je déconnecte les alarrmes ?
-Oui et vite !
-Trrès bien..

Les alarmes saisèrent de sonner et le silence revint. Mais au moment où ils allaient remercier Ivosky, un coup de feu retenti.

-Ivosky vous êtes toujours là ? demanda Richi
-Richi c'est toi ? demanda une voix féminine.
-Bobie ?! Mais qu'est-ce... Pourquoi tu es là ?! Passe moi Ivosky !
-Il s'est fait tirer dessus et il était mort quand je suis arrivé.
-Mais c'est impossible on vient juste de lui parler !

Richi fut parcouru d'un frisson.

-Et toi tu n'es pas blessée ? demanda t il
-Je vais bien..
-Alors dépêche toi de nous dire comment aller à la salle de contrôle ! dit il d'un ton froid.

Il y eut un blanc. Richi se sentait un peu mal au fond de lui mais il savait qu'il avait des raisons de lui en vouloir.

-Prenez à droite puis à gauche et encore à droite.

Elle raccrocha avant même qu'il n'est pu dire quoi que ce soit d'autre. Il se tourna vers O'Connel qui le regardais bizarrement.

-Quoi ?!
-Vous ne savez vraiment pas parler aux femmes vous.
-Ho c'est bon, elle s'en remettra. Et puis c'est pas comme si elle... Et puis pourquoi on parle de ça ? On a une mission !
-Oui, une mission. Allons y.

_____________________

Au même moment.

-Vous m'avez beaucoup dessus Laure, vous avez mis trop de temps à nous donner les renseignements que ne cherchions.
-Pardonnez moi..
-Bon, je vous charge d'une chose: débarrassez vous des agents, tous autant qu'ils sont, avant le lancement des missiles. Sinon je dirais à Papie de s'occuper de votre cas. Est ce clair ?
-Oui monsieur...je les tuerais tous !

Hey !!! Désolé pour le retard mais à cause des devoirs g pas pu faire plus vite.. Donc les chapitres mettront plus de temps à sortir malheureusement. Mais vous inquiétez pas je ne basse pas les bras !!! Il faut plus qu'une dizaine d'interro pour m'arrêter !
J'espère que le chapitre vous a plus.
Bisous !!

The Secret ServiceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant