Chapitre 18

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Pdv Antoine

Ça fait maintenant quinze jours, quize jours que je n'ai plus de nouvelles d'elle. Sergio m'avait dit d'attendre un peu avant de lui envoyer un message. Ces quinze jours ont été insupportable pour moi.

Les gars étaient restés la première semaine à la maison, c'étais très dur, tout me rappelais Erika. Les souvenirs rapportés de nos voyage de vacances, les différentes photos repartis dans toute les pièces, même Sergio me la rappelais. J'étais seul à la maison, je m'installais sur le canapé et je pris mon téléphone. Je fis un rapide tour sur les réseaux sociaux avant d'aller par erreur dans mes photos. La première que je vis était une photo de nous tous en cosplay devant le studio Harry Potter. Je défilais les photos, Erika au musée Tussaud qui posait avec les Spices Girls, les photos au pied de la Tour Eiffel avec mes parents et ceux d'Erika.

Ses parents d'ailleurs, elle était la bas pour l'instant, je pourrais peu être les appeler. Je pourrais au moins prendre des nouvelles d' Adelina. Je composa le numéro et appela. Répondeur, très étonnant. Je composa le numéro de Juan. Répondeur aussi. C'est très étonnant qu'ils ne répondent pas, Sergio m'a dit qu'il leur avait racontés l'histoire et que eux aussi me croient. Mon téléphone sonna. C'était Sergio justement.

"Allo Antoine ? Il avait un ton inquièt on aurait dit que sa voix avait perdu son assurance habituelle.
-Oui, ça ne vas pas ?
-Je peu passer ?
-Oui, bien sur.
-Je suis la dans dix minutes."

Il racrocha. C'était vraiment de plus en plus bizarre. Déjà les parents Choperena qui ne repondent pas et maintenant Sergio qui n'a pas l'air très serain par rapport à d'habitude. C'est extrêmement louche. Dix minutes plus tard Sergio arrivait à la maison.

"Antoine je crois qu'il y a un problème.
-Qu'est ce qu'il se passe ?
-Ni mes parents, ni Erika ne répondent au téléphone.
-Tout à l'heure j'ai voulu appeler aussi et je suis tombé sur le répondeur.
-Il a du se passer quelques chose, il faut que j'aille à la maison.
-Je t'accompagne."

On pris donc rapidement la route pour se rendre chez ses parents. A la fin des vacances, Erika avait emmenagée avec moi, laissant leur appartement à Sergio. Et après l'histoire d'il y a quinze jours, elle est retournée vivre chez ses parents. On arriva à la maison, mais il n'y avais acune voitures. On s'approcha de la porte Sergio pris la clé sous le tapis [gros clishé] et deverouilla la porte. On rentra et on se dirigea vers la cuisine. Sur la table il y avais un fair-pars avec marqué "baptêmes Maria".

"Maria, c'est la fille de norte tante, me dit Sergio. Elle habite à une quinzaine de kilomètre d'ici, ils ont du partir ce matin, mais je ne comprend pas pourquoi ils ne repondent pas.
-Ils sont peu être dans l'église.
-Papa m'aurais répondu quand même, ou il m'aurait au moins envoyé un message, ils ont du avoir un problème, la dernière dois qu'ils n'ont pas répondu à mes appelles, c'etais quand Erika c'était cassé le poignet en les aidants à renter du bois.
-Nous n'avons qu'à aller la bas.
-D'accord allons y.
On pris la route. Après un quart d'heure de trajet on apperçu au loin au camion de pompier. Ils revenaient par l'autre côté.
-On dirai qu'ils reviennent de la salle du baptêmes."

J'étais de plus en plus inquiet, j'accélérais. Un kilomètre plus loin, il y avait des policiers autours d'une voiture, qui n'était maintenant plus qu'un tas de féraille. On se mit sur le bas côté et je descendis de la voiture. A mes pieds il y avait une plaque d'immatriculation, mais pas n'importe la quelle. C'était celle de la voiture de Juan et Adelina. Sergio me rejoint et rapidement on se dirigea vers les policiers.

"Que c'est il passer ?
-Nous ne pouvons rien vous dire, messieux.
-Nous sommes de la famille, c'est la plaque d'immatriculation de mes parents et lui c'est mon beau frère, répondit Sergio.
-Ils ont eu un accident, une voiture est arrivé et les a percuté de plein fouet. Une personne âgé était à bord, elle est vos deux parents, je présume, ont été emmené a l'hôpital. Votre soeur est partie avec les ambulanciers pour les accompagnés.
-A quel hôpital sont ils emmenés.
-A l'hôpital San Juan de Dios à San Sebastian.
-Merci beaucoup. On remontta dans la voiture et ont partis à l'hôpital.
-Sergio, à ton avis, qui était avec eux.
-J'ai bien peur que se soit Abuela Marta.
-Erika me parle souvent d'elle.
-Elles ont toujours été très proche, quelques moi avant que tu arrive dans nos vies, nous avions appris qu'Abuela avait une maladie très grave. Erika lui avais promis de toujours être la pour la protèger.
-En revanche elle ne m'avais jamais parler de ça. On est arrivé."

On rentra dans l'hôpital est on partis direction l'acceuil pour savoir où ils se trouvaient. On se rendis ensuite à l'étage indiquer par la dame de l'acceuil. Service d'urgence. On arriva dans le salle d'attente. Je tournais la tête de chaque côté de la pièce. Sergio l'avais vue. Elle étais seule, au fond de la pièce.

"Erika, ça va ? Sergio pris sa soeur dans ses bras, qu'est ce qu'il s'est passé ? Elle fondu en larme.
-J... j'étais au volant, on... allait, on allait au baptêmes, Abuela était devant à côté de moi, et quand la voiture nous à percuté, elle à tapée côté passager. A cause de moi, A...Abuela est sous coma atificiel, et papa s'est ouvert le crâne. Maman est avec lui.
-Arrête Erika, ce n'est pas de ta faute si cette voiture vous à percuté.
-J'ai promis à Abuela Marta de toujours la proteger, et aujourd'hui, c'est a cause de moi qu'elle se trouve dans cette hôpital, elle doit être reliée a une dixaine de machina actuellement.
-Tu l'a vue ? Elle me regarda, depuis notre arriver, je n'avais pas dit un mot.
-Pas encore, les medecins doivent venir me chercher pour que j'aille la voir.
Deux medecins arrivèrent.
-Vous pouvez desormais aller voir votre grand mère.
-Abuela... elle s'appelle Abuela. Comment va t'elle ?
-Abuela. Elle ne s'est toujours pas réveillée."

On entra dans la pièce. Les murs étaient revétues de peinture blanche. La pièce était éclairée par des grands spots. Abuela était sur un lit, les deux bras branchés à des perfusions de chaque côté et le nez relier à une machine qui devais probablement l'aidée à respiré.

una evidencia//A.G♡E.COù les histoires vivent. Découvrez maintenant