Et voilà c'était mardi dernier le jour J ,c'était l'anniversaire de Simon, mon ami ne s'attendait pas à ça. Nous sortions des cours pour nous rendre à la sois disant "maison hantée", enfin faut dire qu'elle était flipante, bref, nous avions bandé les yeux de Simon pour l'emmener à sa petite surprise, arrivé à la maison nous lui enlevions le tissu qui lui bandait les yeux et entrions .La maison était poussiéreuse, les meubles étaient recouvert de drap blanc, le sol grinçait, la maison était franchement sinistre.
***
Nous avions installé des pièges un peu partout dans la maison pour lui faire peur, par exemple nous avions mis des enceintes pour faire des bruits lugubres ou des mécanismes pour faire tomber les objets .On pouvait entendre les branches se cogner contre les vitres. Le premier piège se trouvait dans le salon donc forcément on se dirigeait dans cet direction. Quand ont entra dans le salon on sentit tous une odeur nauséabonde, je cherchais d'où venait l'odeur et me retournais, je crus voir une silhouette fantomatique dans les escaliers .Bizarre...
Quelque instant passèrent, quand un cris strident retentit, ce cris s'éloignait de nous et allait en direction de la cuisine. Personne ne bougea, un silence de mort régnait jusqu'à ce qu'une voix brise le silence et dit :"Et de un". On hurla en cœur et on se dirigea tous vers la sortie. Nous y étions presque quand on vis la porte disparaître devant nos yeux. Mais dans le feu de l'action nous n'avions pas remarqué qu'un de nos ami avait disparu on le chercha, l'appela, rien, pas de réponse .Un autre cris retenti et semblait remonter l'escalier cette fois on le suivit jusque dans le couloir où il s'arrêta et on entendit :"Et de deux".
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Il ne restait plus que moi et Simon. On était en hiver il faisait très froid, je frissonnais, je repensais aux branche qui se cognaient au vitre des fenêtre ...Mais ...
-Les fenêtre !...On peut sortir part les fenêtre .
On se ruais vers la fenêtre la plus proche, mais un autre hurlement se fit entendre, je me retournais, mais je sus qu'il avait disparu. Je hurlait son nom a m'en casser la voix, pas de réponse, mis à par cet voix qui disait :"Et de trois tu est le dernier". Je me tournais vers le mur où la fenêtre de situait. Plus rien, plus de fenêtre.J'étais prisonnier, j'étais seul, je me réfugiais sous la table du salon et j'attendis, j'attendis encore et toujours et à l'heure ou j'écris ce texte j'y suis encore, j'ai trouvé du papier et un crayon dans mon sac je veux qu'on sache ce qui c'est passé. J'attends qu'il se passe qu'elle que chose mais rien le silence règne, j'ai la sensation que je ne pourrai plus jamais être heureux, que je ne sourirais plus jamais. Mais je serais courageux alors je me lève et me dirige vers l'entrée j'attends devant l'escalier et là ,stupeur une personne un peu trop pâle est dans les escaliers .
J'ai l'impression de reconnaître cet silhouette, je l'appelle. Mais ce n'est pas "elle" mais "il" c'est Simon. Je cours dans sa direction puis m'arrête et lui demande de qu'il s'est passé, mais il ne dit rien, il me regarde fixement. Une larme coule sur son visage, puis il se décide enfin a parlé:
-Tu devrais partir, il va te faire du mal .
-Il n'y a pas de sortit aide moi s'il te plaît, le suppliais-je
-Je ne peux rien pour toi, mais vois le bon côté des choses, tu vas nous rejoindre et tu ne vas pas trop souffrir ,enfin je crois, dit-il d'un ton mal assuré.Je relève la tête et le voit paralysé, la bouche grande ouverte et puis je sens une mais glaciale sur mon épaule. Le propriétaire de cette main me chuchote a l'oreille :"Et de quatre".
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Et de quatre ...
Short StoryMon ami est un petit blagueur, il aime bien nous faire des farce mais pour son anniversaire c'est nous qui allons l'avoir... Ou pas tout a fait