Ethereal-Tradley Story Version Française

Chapitre 15 : " Retient ton souffle"

Point de vue de Bradley

James continue d'appuyer son entrejambe contre mon corps. Je sais que cela sera une cicatrice à vie. Les larmes, la peur et la tristesse sont en train de contrôler mon corps. Je pleurs, en vain pour avoir de l'aide, mais il n'y a personne.

-Oh Seigneur tu es tellement sexy Brad ! Je t'ai manqué hein ? Sois mon putain d'esclave encore !

James me murmure à l'oreille alors que les larmes continuent de tomber sur mes joues comme un flot ininterrompu  d'une rivière. Je souhaite que Tristan soit là pour me sauver.

-James s'il te plait lâche-moi ! Je t'en supplie ! crié-je alors qu'il tient mes bras serrés.

Je peux sentir que James est sur le point de mettre sa queue à l'intérieur de moi mais il entend le bruit d'une sirène de police. Il s'est rapidement retourné et tirer sur mes poignets. Deux policiers viennent à ma porte et toquent. James plaque ses mains sur ma bouche, me serrant alors que nous nous asseyons derrière la porte.

-Putain, sois calme ou je te tranche la gorge, me menace James.

J'essaie de retenir mes larmes à nouveau mais elles n'arrêtent pas de couler. C'est elle, l'aide que je cherche. Mon cœur se brise en un million de morceaux alors que les deux policiers continuent de toquer à ma porte. L'espoir de jeter James en prison est seulement séparer par ma porte.

-Bonjour, il y a quelqu'un à la maison ? C'est la police. Madame ? Monsieur ?  demande  un des flics .

-Il va y avoir une tempête de neige ce soir, s'il vous plait soyez prudent et restez à l'intérieur. Nous vous laissons un dépliant sur les prévisions météo. Soyez prudents ! s'écrie le policier en espérant qu'il y ait quelqu'un à la maison.

-Il n'y a personne dans cette maison, laisse juste le dépliant sur les prévisions météorologiques sur la porte, dit le policier à la voix rauque et profonde à son collègue.

James laisse déjà les policiers partir avant de se relever. Il s'approche de moi.

-Ne parle de ça à personne, en particulier aux flics. Je te tuerai, ta famille, tes proches si tu leur en parle. Tu me manque tellement chaton. Je serais de retour plut tôt que tu ne le pense pour finir ce que nous avons commencé.

James me pousse, me faisant frapper le sol. Il s'accroupit près de moi et laisse échapper un rire diabolique.

-Je vais défoncé ton si joli cul. Tellement que tu ne pourras plus marcher pendant des mois. À bientôt chaton, dit James alors qu'il se penche vers moi.

Je garde ma tête baissée alors que mes larmes mouillent la moquette. Je courbe mon dos, croissant mes bras contre ma poitrine en pensant à comment James m'a presque pénétré. Pensant à comment James profite de moi, encore une fois, pour son propre plaisir. Je frisonne de peur, sachant qu'il reviendra encore pour abuser de moi. Il a menacé de me tuer si je le dis aux flics ou quelqu'un d'autre. Il ne sait pas que je suis mourant à cause de mon cancer. Je préfère mourir à cause de ma maladie plutôt que de savoir que James blesse mes proches, en particulier Tristan.

Je me relève en tremblant et vais prendre une douche. Pour essayer d'effacer la salive de James de mon corps. Je me regarde dans le miroir de la salle de bain. Je retire mes vêtements, révélant les traces que James a laissé. Il m'a laissé des suçons et des ecchymoses. Mes yeux sont rouges et gonflés. Ma gorge est douloureuse. Et mon corps est faible. Je souhaite que Tristan soit à mes côtés. Je souhait que mon soldat soit ici, pour que tout aille bien.