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Fatima

Il n'y avait pas á réfléchir ma réponse  fut  non ,bien sur nos oncles ont tous fait pour convaincre mon père. Et oncle Bakary en a rajouter en rappelant à  mon père  le fait que la famille n'était pas pour son mariage avec maman mais malgré  cela ils ont cédé donc pour lui mon père les doit une dette et le remboursement  c'est de donner ma main à  son neveu. Mes frères  qui étaient restés  calme depuis lors l'ont carrément fait fuir avec leur menace.
Ma mère  n'était pas bien elle se fiche du comportement  d'oncle Bakary mais que son frère de sang participe à  ce genre de complot et les mots qui ont été  prononcé  en présence de son mari et ses enfants. Elle s'est enfermé  dans sa chambre je suis aller la rejoindre  pour  voir comment elle aller,elle était au téléphone  avec son frère  Moustapha ils ont été  toujours proche.
On a discuter j'en est profiter pour leur préparer  un dîner vite fait. J'ai aussi un peu discuter avec mes frères  et ma soeur.
Je quitte la maison un peu plus tard après que les frères m'ai raccompagné jusqu'à  ma voiture.
Arrivé chez ma tante elle a tenu à ce que je lui raconte ce qui s'est passé  chez mes parents malgré  qu'il se faisait tard.
Elle a sorti  tous les injures à  leur encontre elle m'a expliqué qu'elle voulait venir mais que oncle Marc l'a menacé si  elle mettait un pied dehors avec son gros ventre. J'ai tellement rigoler.
J'ai dormi chez ma tante les enfants étaient déjà endormi et les transports en voiture ce sera pas facile.
Le lendemain  je pars un peu plus tard au boulot pour profiter des enfants.
Je me dirige vers mon bureau après avoir passé au revu la garde de mes stagiaires mais je fus stopper par Safi qui m'informe d'une visite je n'ai pas le temps de la demander le nom de la personne que le son de sa voie fait naître en moi une colère.

Saïd

Comme à  mes nouveaux antirides je suis plongé sur le boulot. On a offert à Khadija sa voiture en avance vu ces horaires  on ne pense avoir le temps de lui servir de chauffeur et ce sera plus pratique  pour elle d'avoir sa propre voiture.
Je me dirige au Starbucks pour faire pour emporter un dîner.
En payant à la caissière  je tombe nez  à  nez sur Omar  le frère  à  Fatima.
On se  salue je lui demande  des nouvelles de sa femme il en fait pareil pour ma grand mère.
À un moment donné  nous sommes rejoins par trois autres types qu'il me présente comme ces petits frères c'est vrai qu'ils se ressembles.
Nous sommes rejoins quelques instants après par Djibril et il s'avère bien connaître les D un autres frères à Fatima.
En m'éloignant pour attendre  Djibril qui tape la causette j'entends les frères à fatima expliqué à un de leur pote qu'un de leurs oncles était venu demandé la main de leur soeur pour leur fils et que ça s'est terminé  en palabre.
Mon coeur a  failli rater un battement quand j'ai entendu le mot demande et mariage mais je me suis dit au calme il doivent savoir d'autre soeur peut être qu'il ne s'agit pas d'elle.
Mais quand l'un d'eux réplique que fatima a été catégorique sur son refus. Je ne peux plus faire un pas devant l'autre c'est comme si mon cerveau ingurgiter les informations  et cent était un peu trop pour moi.
Djibril ayant suprême y remarqué mon état de léthargie leur envoi un bonne fin de soirée et me pousse vers la sortie.
Je file vers ma voiture et demande à Djibril de me suivre comme il est venu avec le tien.
Arrivé en bas de mon immeuble je remarque la voiture de Zain  je suppose que Djibril  la demandé  de venir pour mon état d'urgence.
Je souffle et sort de ma voiture avant qu'il n'en place un je lui demande de monter à  l'appart.
Je balance ma clé après avoir ouvert le porte et me jette sur mon saufa je suis rejoins par mes cousins qui sont passés par mon réfrigérateur pour nous amener à boire.
Zain : alors

Je le regarde en mode comme si tu ne savait pas ce qui s'était passé.

Zain : ok Djibril m'a raconté votre rencontre  avec les frères de Fatma mais je voudrai savoir ce qui te dérange réellement

Moi : franchement le fais que quelqu'un est failli l'épouser mettrait la lumière sur cruel cherche à  cacher depuis lors et après  la discussion que j'ai eu avec sa mère je peut affirmer que leur famille est très à cheval sur ce certains traditions et me dire que je suis le seul unique responsable de ce qu'il devrait affronter avec sa famille du ça venait à se savoir me culpabilise encore plus

Zain :il fallait d'attendre à cela et ne pourra rester éternellement célibataire si ce n'est le regard des autres se sera dans sa famille qui se demanderont pourquoi elle n'est pas toujours marié et ils ne vont hésiter à vouloir la caser comme ce qui a failli se produire

Djibril : et je peux t'assurer qu'ils vont revenir à leur garde tu connais nos familles les arabes et les noirs aiment trop casés leur enfant comme si on avait l'air de déprimer de nos vies de célibat

On le regarde en mode tu parle de quoi.

Zain : tu pourras essayer d'arranger les choses d'une seul manière

Il jette un coup d'œil à Djibril pour voire s'ils sont sur la même longueur d'onde alors que moi je suis toute ouïe.

Zain et Djibril :l'épouser

J'ai pas pu me retenir j'ai éclaté de rire mais vu leur regard j'ai su qu'ils étaient sérieux.

Moi :non vous êtes naze je vous demande de me trouver une solution et vous voulez m'enfoncer ou me faire tuer cette fille peut déteste

Djibril :donc l'idée de l'épouser ne te déplaît pas

Je lui lance un regard noir.

Moi: vous ne m'aider pas vraiment

Zain: donc oubli cette histoire et oubli de te soucier de ce qui pourrais lui arriver

Moi :facile à dire

Zain: parle en à ta mère ou à  grand mère elles ont toujours étaient d'une oreille attentive.

Je hoche la tête  et nous continuons notre soirée à parler de tout et rien.
Le lendemain nous quittons ensemble l'appartement je décide de passer chez mes parents pour ne pas rester là journée à cogiter sur cet affaire.
Heureusement pour moi elles sont toutes seules à la maison.
Nous sommes au salon et je leur explique tout depuis que j'ai découvert que le médecin de ma grand mère est la femme que j'ai agressé jusqu'à ma discussion avec mes cousins.
Au fut et à mesure de mon récit leur visage se teint en différent émotion. Leur visage est immaculé  de larmes.

Ma mère : désolé mais à  chaque fois que je repense à cette histoire j'en peux m'empêche  d'imaginer la douleur de cette femme et sincèrement je ne s'est pas su j'aurais pu me maîtriser comme la fait sa mère  si j'étais  à sa place je sais que tu regrette  mais je dois aussi te dire mon ressentiment

Moi: je sais Ma

Ma grand mère ne dit rien quand à  elle et reste dans ces réflexions.

Grand mère : tu va demander sa main

Moi : quoi Ma tu sais que s'est impossible elle me déteste jamais elle n'acceptera

Ma mère : je sais que c'est difficile mais ta grand mère  a raison

Grand mère : tu a dit savoir où habiter  sa tante tu va nous donner l'adresse nous irons la voire et sa mère  aussi

Ma mère  : Saïd laisse nous régler cette affaire même si on sais que ça  va parler au sein de la famille est tu prêt

Moi: ma se sont mes erreurs et c'est à moi d'en payer les  conséquences et ils n'ont pas intérêt à s'en mêler

Elles comprennent que je parle des cousins et cousines de mon père ainsi que leur enfants. Ils osent trop parler de la vie des autres.

Après qu'ils m'ai donné  quelques conseils je la prend la route direction min bureau. Je me demande comment obtenir le numéro de téléphone de la mère  à  Fatima sans aller chez sa tante au risque de la croiser j'appelle Djibril  et lui demande s'il peut trouver le numéro  de chez la mère à Omar.
Une demi heure après il m'a trouvé le numéro je lui demande comment il a fait il me dit que la mère d'un pote s'avère être une amie à  la maman.
Avant d'aller en réunion j'appelle ma mère pour lui donner les coordonnées elle me dit qu'elles me tiendront au courant.

Ils Nous Opposent Et Nous Unissent Où les histoires vivent. Découvrez maintenant