| Chapitre 1 |

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"...les forces de l'ordre tentent de les repoussé hors de la ville depuis ce matin. Le procureur s'exprimera cette après-midi sur cette nouvelle attaque meurtrière "

Papa souffla fortement puis eteint la radio. Il tourna le volant et me jeta un petit coup d'oeil.

"Sa va Léa?"

"Oui oui"

Ses attaques, sa fait quatre mois qu'on les subis. Des extraterrestres d'après les scientifiques. Mais vous savez aussi bien que moi que sa n'existe pas. Ses " extraterrestres " s'attaques aux gens sans raison. Ils ont commencé part le centre commercial en juillet, un hotel en août, l'école maternelle en septembre, tuant ainsi Tao, mon petit frère de cinq ans puis octobre, la centrale électrique; nous privant d'électricité. Comme dit le président, ils cherchent a faire disparaître la race humaine. Les "extraterrestres " aurait installer leurs camps de base sur la frontière entre les États-Unis et le Mexique. Mais ce phénomène s'étend aussi en Europe, dans toutle sud de L'Afrique et a presque detruit toute la population chinoise. Les États-Unis sont la prochaine cible de destruction.

Papa regarda l'heure puis accéléra. Le couvre-feu de l'après-midi va débuter. Il est interdit d'être dans les rues de 15h a 18h puis de 21h a 8h du matin. C'est assez restreint mais c'est pour notre sécurité.
La voiture traversa la nationale a grande vitesse puis franchie la limite du quartier où mon père ralentit. Il s'arrêta et un officier de police arriva, venant se penché vers mon père.

"Bonjour monsieur. Je dois fouiller le véhicule "

"Allez-y."

Le policier passa derrière la voiture et ouvris le coffre, fouillant dans nos sacs de course. Le couvre-feu commence dans quelques minutes. Les doigts de mon père tapote le volant pendant que son pied gigota.

"Papa calme-toi, on va rentrée a temps"

Je souria pour le rassuré quand le coffre claqua.

"Vous pouvez y aller. Bonne journée "

Mon père redemarra la voiture et se dépêcha de rouler jusqu'à la maison. Il se gara dans l'allée et nous depechons a rentrer a la maison, les sacs de course plein les mains. Maman nous attendait sur le canapé et se leva quand elle entendit la porte d'entrée claqué.

"J'ai vraiment eu peur. J'ai cru que vous rentrerais pas a temps!"

Maman me debarassa des courses et partit dans la cuisine. Je me rua sur mon portable qui tronait sur la table basse, le dernier outils de communication qui marche. Je composa un numéro que je connaissais désormais part coeur et le porta a mon oreille. Après seulement deux tonalité, il décrocha. Je souria en entendant sa voix.

"Léa, tu va bien?!"

"Oh Farkle, je suis tellement contente de t'entendre ! Bien sûr que je vais bien et toi? Pas trop dur?"

"Je ne vie plus, je survie. Mais sa va, on s'adapte a la solitude."

"Mais tu sais que tu viens a la maison quand tu veux. J'en reviens pas de te savoir tout seul près de ses... créatures. J'ai peur pour toi"

"Sa va aller Léa. Si je vois que je suis vraiment en danger, je partirai "

"Tu aurais déjà dû partir Farkle et tu le sais"

"Oui Léa mais je ne veux pas abandonner ma maison"

"Je comprend. Et sinon, t'es au courant de l'attaque meurtrière ? Qu'est ce qu'il s'est passé ?"

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