Joffrey

52 3 0
                                    

Joffrey avait une tel joie de vivre à l'intérieur que personne ne pouvait le détesté. Tout le monde l'aimait complètement, comme s'ils étaient tous accro à lui. Pourtant il lui manquait quelque chose à ce jeune homme. Mais il ne savait quoi. Pourtant il avait tout pour lui, il avait beaucoup d'amis, personne ne le détestait et en plus de cela il n'était pas complètement laid. Il n'était pas rejeter par personne aussi. Enfaite il ne comprenait juste pas pourquoi. Vraiment tout allait bien. Mais il manquait un petit truc de rien du tout. Les émotions autre que cette joie, il lui fallait dû ressentit. Ressentir quelque chose de nouveau, de plus... vibrant! Il allait bientôt avoir 26 ans et rien de spécial ne lui avait jamais arrivé. Il voulait quelque chose de different, d'aventurier. Il s'acheta alors un seul billet. Pas deux, un. Signe qui n'allait pas revenir de si tôt. Il avait décidé de participer au Pacific Crest Trail.  Le Pacific Crest Trail était un sentier de grande randonnée de l'Ouest des Etats-Unis. Celui-ci était le plus long du monde. Il reliait la frontière mexicaine à la frontière canadienne, il était long de 4 240 km. Ce long périple commençait dans la petite ville d'El Campo en Californie et finissait à Manning Park en Colombie Britanique au Canada. Il traverse trois états américain: la Californie, l'Oregon et Washington. Le sentier parcourait des paysages très différents les uns des l'autres: Désert, haute montagne, Nation Forest, Nation Park et bien plus encore. Lors de cette randonnée, il ne fallait que marcher, aucun véhicule était autorisé. Mais Joffrey était décider. Il allait participer jusqu'au bout à cette randonnée. Pas seulement pour le plaisir, mais pour chercher. Mais chercher quoi? C'est simple, il est parti ce chercher lui même. Pendant se parcoure inimaginable, truffé de risque insoutenable, il ressentira colère, tristesse, joie, mépris, envie, goût et désire. Le désire le plus hardant de vouloir faire quelque chose de marquant pour la vie des autres. Le goût de tout ce qu'il n'avait plus en sa possession, Big Mac, poulet, saumon, sushi. L'envie de ce donné corps et âme à quelqu'un qu'il aimera réellement, que se soit une femme ou un homme ou même encore un animal, il ressentait le besoin d'acquérir une personne qu'il devait prendre soin. Le mépris pour toute les choses qu'il aurait du faire ou qu'il a vécu, parce qu'il aurait bien put changé quoi que se soit, mais qu'il ne l'a jamais fait. La joie parce qu'il avait comprit tout ce qui lui appartenait et que tout ça lui était affreusement chère à ses yeux et qu'il avait comprit ce qu'il lui manquait. La tristesse pour tout ce qu'il a ressentit au cours de sa vie, les quelques rare rejet de sa vie qui lui avait manqué, la mort de quelque un de ses précieux proche, le manque de temps. Et enfin, la colère. Cette colère qui ne savait pas ou se placer, qui était là, mais qui ne savait pas où se placer. La colère qu'il avait vécu pendant plusieurs années, mais que personne ne savait qu'elle existait, mais elle était toujours là, présente en lui. Comme tout ce qu'il ressent. Il avait enfin comprit. Le vide qui l'accablait, ce n'était pas parce que quelque chose lui manquait, au contraire. C'est la solitude de se fatidique parcoure qui lui fit ouvrir les yeux. Tout prenait sens. Il était tellement certain que quelque chose lui manquait que son cerveau lui fit naitre des doutes, mais son cerveau avait tord. C'est justement en étant dans ce vide immense qu'il comprit que pendant toute sa vie il n'avait jamais compris tout ce qu'il avait en sa possession, mais grâce au vide dans lequel il était, il avait enfin comprit.  Malgré toute les malheurs que sa vie avait pu engendré, il était toujours là, la tête haute et réalisa enfin.

Sa vie était parfaite.

MaïeutiqueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant