Chapitre 20

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Il était 9 heures, je me réveillais difficilement. Sergio et moi nous étions endormi devant la télé hier soir. Je monta à l'étage me préparer. Je pris ma douche et m'habilla simplement.

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Aujourd'hui je devais me rendre à l'hôpital pour voir Abuela une dernière fois, avant la fin. Je voulais y aller seule, Sergio, maman et papa aurais été encore plus mal à cause de moi. Je pris la porte et démarra la voiture pour prendre la route. Une fois arrivé je remarqua garée sur le parking, la voiture d'Antoine. Que pouvait il bien faire la ? Peut être qu'il a eu un souci ? Après tout, qu'est ce que j'en ai à faire. Je suis venue pour Abuela. Je m'occuperai d'Antoine plus tard.

Je rentrai dans l'hôpital et je me dirigeai vers sa chambre. Une infirmière était près d'elle pour lui remplacer sa perfusion. 

"Bonjour, je suppose que c'est pour la décision ?
-Oui, c'est ça.
-Je vais aller chercher le docteur.
-Est ce que se serait possible que je reste encore un peu seule avec s'il vous plais ?
-Bien sur que oui, me répondis l'infirmière avec un sourire réconfortant, j'irai chercher le médecin quand vous serez prête, vous appuierez sur ce bouton et je l'appellerai.
-Merci.
-De rien. Elle sorti de la chambre. Je pris une chaise et je me mis près d'Abuela.
-Abuela, je suis désolé. Tu ne devrais pas être la. Je ne peux m'empêcher de me sentir coupable en te voyant ici. J'ai toujours promis de te protéger et maintenant me voila avec toi dans cette chambre à devoir annoncé à des médecins qu'on va devoir te débrancher. Si ça ne tenais qu'à moi, je te ferais rester en vie, mais les médecins ont dit que tu souffrirai beaucoup si tu restais en vie, je ne veux plus que tu souffre à cause de moi. On se retrouvera un jour, de l'autre côté, je te l'assure. Espero que todo estará bien para usted a dónde va. Lo siento. serás siempre conmigo, hasta nunca en mi corazón. Te amo, te amaré simepre.*
Une larme coula le long de ma joue. J'appuya sur le bouton sur l'infirmière m'avais indiqué et cinq minutes plus tard le médecins entra dans la chambre.
-Bonjour, mademoiselle Choporena, vous avez pris votre décision ?
-Oui, je renifla, ma famille et moi nous sommes mis d'accord, et nous voulons la débrancher. Je ne veux pas qu'elle souffre.
-Elle ne souffrira plus. Je vais vous demander de reculer un peu s'il vous plais. Je m'exécuta. Il fit les réglages de la machine et le bip régulier qui indiquait les battements de son cœur fit résonner un bruit sourd. Et le médecin annonça.
-Heure du décès 11h26. Nous allons avoir quelques papiers à remplir.
-Pour les papiers appelé mon père, il s'occupera de ça."

Des larmes commencèrent à couler le long de mes joues. Il emmena ma grand mère dans une salle, certainement pour que les services funéraires viennent la chercher. C'était mes parents qui s'occupaient du côté enterrement. Il avait prévenu l'hôpital la veille, leur demandant de prévenir de mon arrivée, pour qu'il puisse contacter le funérarium.

Je sorti de la chambre et de l'hôpital en lui même. Je fondis en larme, littéralement. Je me laissa tomber assise les long d'un mur.

Pendant de longue minutes j'étais rester la, je regardais les gens faire des vas et viens, qui rentraient et sortait de l'hôpital.

Je regardais au loin la voiture d'Antoine et je le vis arriver avec une femme. Elle tenait un bébé qui devais avoir à peine 1 ans. Et si il avais retrouvé quelqu'un et qu'il avais déjà refait sa vie autrement. Avec quelqu'un qui avais un enfant en plus. Il avais tournée la page, je devais faire de même.

Je décida de rentrée voir mes parents. Je rentrais à peine dans la cuisine que ma mère me pris immédiatement dans ses bras.

"Ça va mieux chérie ?
-Je sais pas si on peux dire mieux mais bon, je vais prendre quelques affaires je vais rester chez Sergio jusqu'à la reprise, dans une semaine.
-D'accord, ça ne peux que te faire du bien. Au faite l'enterrement a lieux demain.
-Ok.
-J'ai dit à Antoine de venir, après tout ce qu'il a fait pour nous.
-Oui...
-Et qui sais, vous pourriez peu être vous réconcilier...
-Maman, il est passé à autre chose. Je l'ai vue sortir de l'hôpital avec une femme et un bébé.
-Çe n'est probablement pas le sien. Erika il t'aime.
-Je n'en sais rien maman, on verra ça demain."

Je monta dans ma chambre chercher mes affaires avant de redescendre pour dire au revoir à mes parents. Puis je repris la route. J'arriva chez Sergio mais il n'y avais personne. Je rentra et je me m'allongea sur le canapé. J'étais à peine installé qu'on sonna à la porte. Je partis ouvrir.

"Salut Erika, je pensait pas te voir ici heu... Sergio est la ?
-Salut Antoine, non je ne sais pas où il est mais rentre.
-Je ne veux pas te déranger plus longtemps, je suis venu rapporter la manette que m'avais prêter ton frère.
-Ha, d'accord.
-Tu sais si jamais tu as besoin, je suis la malgré tout, tu sais que je t'aime.
-Je ne veux pas m'immiscer dans ta nouvelle vie de famille.
-Quelle vie de famille ?
-C'est moi ! Sergio rentra dans la pièce. Qu'est-ce qu'il se passe ici ?
-Rien, Antoine est venu te rapporter ta manette. Je vous laisse je vais me coucher. On se voit demain. Bonne nuit."

Pdv Antoine

"Ça va pas mieux vous deux ? Me questionna Sergio.
-Elle ma dit qu'elle ne voulais pas s'immiscer dans ma nouvelle vie de famille, mais de quelle vie de famille parle t-elle ?
-Je sais pas. Mais la, il faut la laisser avec la journée épouvantable qu'elle a passer elle doit être partie se coucher.
-A quatre heure de l'après midi ?
-Oui, c'est normal.
-Je vais y aller à demain."






* J'espère que tout ira bien pour toi là où tu vas. Je suis désolée. Tu sera toujours avec moi, a jamais dans mon cœur. Je t'aime, je t'aimerai toujours.

una evidencia//A.G♡E.COù les histoires vivent. Découvrez maintenant