Un ange déchu, qui ne peux plus supporter cette vie en Bas, dans un monde impure et sombre, peut-il trouver son soleil ? Celui qui l'éclairera jusqu'à la fin du mythe et des croyances ?
Je repose mon livre, toujours le même depuis 15 ans. A vrai dire, je ne suis pas sûr de pouvoir vouloir en lire un autre. Les centres d'intérêts des mortels sont, pour moi, des choses si futiles et insignifiantes que je ne me risquerais pas à y perdre du temps, surtout en lisant un livre qui, je le sais, ne pourra rien m'apporter.
Alors pourquoi est-ce que je lis celui-là ? Quelle drôle de question, quand j'y réfléchis... L'histoire de Dorian et de sa décadence, de son passage de l'ange au démon, est totalement mon histoire. Je m'étonne qu'un simple mortel est réussi à exprimer exactement les mêmes sentiments que ceux que moi, un ange, je ressens. J'imagine qu'il était un peu bizarre. Comme moi.
Ah, vous ai-je déjà perdus sur le mot "ange" ? Et oui, chers amis, je ne fais pas parti de votre monde. Du moins, je n'en suis pas originaire. Qu'est ce que je suis alors, hein ? Tout dépend de vous. Pour certains, je suis un ange, pour d'autres un djinn, une "simple" divinité, tout Je suis ce en quoi vous croyez. Pas mal, hein ?
Maintenant, ce que je fais ici. Ce monde froid et impure dans lequel chacun d'entre vous vit est loin d'être pour moi le paradis ou le jardin d'Eden que j'ai quitté. Là-bas, chaque chose était parfaite, plaisait à chacun. Les anges que je côtoyais étaient le reflet de Dieu, une partie de Dieu. Ils étaient vrais, ils étaient francs et justes.
A quoi ressemblent alors les humains, à côté de cette communauté, sans défaut et idéale ? Je tiens à vous dire, chers amis, que je n'ai rien contre vous en particulier; mais cependant, votre monde est mal foutu. Ah si si, sur ce coup le Tout-Puissant s'est foiré quelque part. Ce monde est froid, faux, menteur et on ne s'y sent en rien chez soi.
Toujours est-il que je suis là et qu'apparemment, je dois veiller sur chacun d'entre vous un long moment encore. Je rêve depuis longtemps de retourner chez moi, là-haut, mais je ne suis, en rien, celui qui décide ce qu'il adviendra de moi. Mes erreurs m'ont conduites dans ce monde et je ne peux rien y faire, malgré mon profonde envie de foutre le camp.
Mais maintenant, retour à la vie de tous les jours, voulez-vous ? Je me relève du fauteuil. 6h, déjà. Les fourmis d'en bas vont bientôt se mettre à travailler, et par la même occasion moi aussi. La nuit dernière, je n'ai pas dormi. Je ne dors presque jamais. Je marchais vers ma salle de bain, ignorant le luxe dans lequel mon appartement baignait. Comprenez-vous, je ne pouvais vivre dans un taudis. Si c'est pour vivre dans un monde sans joie ni relief, je préfère quand même être dans un peu de confort. L'argent n'est ce qui me manque de toute manière. Devant le miroir, je m'attarde quelques instants, j'ai le temps. Mes lèvres colorées contrastent, comme chaque jour d'hiver, avec ma peau blanche comme les neiges. Mes cheveux blonds me tombent un peu sur les yeux. Et mes yeux bleues accentuent les traits "angéliques". Je remercie, au fond de moi, cette beauté d'ange qui caractérise mon visage. En effet, elle me permet d'obtenir beaucoup de choses différentes, aussi bien des femmes que des hommes. Ils sont tout les deux très sensibles à la beauté, ce qui m'arrange. Une fois sous la douche, je me mis à penser à cette future journée, qui sera sans doute similaire à chaque autre. Cette morosité de la vie que je mène me tue à petit feu, je ne peux plus supporter faire les mêmes choses chaque jour. Mais seule cette routine pourrait me permettre, d'un jour, retourner là-haut. Alors je souffre en silence.
Je sors de la douche, et me rends dans mon dressing. La mode humaine me passionne, c'est l'une des seules choses qui pourrait rivaliser avec là-haut. Les vêtements des humains sont souvent improbables, colorés ou avec de formes inimaginables. Mais aujourd'hui, j'opte pour la simplicité et porte seulement un ensemble noir et blanc. Basique.
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Une fois habillé, coiffé et sublimé, j'attrape mon téléphone et regarde l'heure. Shit... J'étais censé commencer à surveiller ma cible il y a 10min. Les Plus-Hauts ne seront pas contents. Je me précipite donc directement dans mon garage et monte dans la première voiture qui se présente.
Cette journée commençait normalement, mais si j'avais su, j'aurais préféré qu'il pleuve.
Hello ! Alors, c'est pas trop shitty ? Nan parce que c'est ma première fanfic et honnêtement j'avais l'idée qui me trottait dans la tête depuis plusieurs mois et je ne savais pas trop comment mettre ça en place. J'ai donc décidé d'y aller en méthode balekouille, ce qui risque donc d'apporter de petites (ou grosses) incohérences dans cette histoire. Donc si vous en voyez, dites moi LOUL, ça me fera très plaisir. Ah vui et aussi, je préviens que je connais le début de ma fanfic, que je connais la fin de celle-ci; mais je n'ai absolument aucune idée de ce que je vais bien pouvoir mettre entre les 2. Donc ce qui veut dire que ça va forcément partir en couilles à un moment ou un autre LOUL. Je m'en excuse d'avance hein ! Vous découvrirez le personnage de V, au fur et à mesure de l'histoire. Il ne sera pas forcément proche du V réel mais peut être auront-ils des traits similaires. Je ne sais pas vraiment pour le moment. Vous découvrirez aussi mon délire d'anges et de mortels en même temps que moi, je ne sais toujours pas si je partirai loin '_'
Sinon merci beaucoup d'avoir lu ce chapitre très très court ! N'hésitez pas à commentez ou à faire des remarques, positives ou négatives, les deux me feront avancer ! Thanks ! Et à pluche !
P.S : N'attendez aucune régularité de ma part, je suis une teub pour faire les trucs #LaMeufALaFlemme. Donc shorry ! Mais je ferais de mon mieux !
P.S2 : Ne vous attendez pas à beaucoup d'humour, j'en ai pas LOUL. La tristesse c'est mieux. Le sadisme aussi c'est marrant. Allez, c'est bon cette fois j'ai fini ! Bye !
