De l'ombre à ma lumière

Céleste

Perdu dans une sombre forêt aux arbres si haut et dense que je ne peux pas apercevoir la lumière du ciel, j'ai froid et je ne vois que l'ombre des immenses troncs qui m'entourent. J'entend des pas qui se rapproche, je sais que je dois fuir ou me caché mais c'est impossible. Soudain, imperceptiblement, l'atmosphère chance, je sens mon corps se réchauffer et j'arrive à voir autour de moi comme si quelqu'un avait laisser entré le soleil. Mais il n'y a personne, les pas se rapproche mais ils sont encore trop loin pour que je vois la personne qui me poursuit. 
"Céleste, par ici... rejoint-moi..." sans chercher d'ou venaient cette appel je me tourne face à l'arbre immense sous lequel je me suis arrêté, comme si j'étais habituer à sa, je tend ma main pomme vers le haut au petit être devant moi, j'aurait put la décrire comme une fée pas plus grande que la taille de main, elle scintille et une lueur bleu s'émane d'elle, je sais que je peux lui faire confiance. Elle pose sa minuscule main sur le bout d'un de mes doigts et la lumière qui était apparue miraculeusement redouble d'intensité. Je ne connais toujours pas sa source, jusqu'à que je me rendent compte que c'est moi... 

Je me réveille en sueur ébloui par la lumière du jour qui baigne ma chambre, il me faut quelque minute pour me rendre compte que le soleil est déjà haut dans le ciel. Il est 11h45. Mince, je vais être en retard pour mon rendez-vous avec Elena, ma meilleure amie. Je dois la rejoindre à midi pour aller acheter une tenue digne d'une princesse pour fêté mes 18 ans.. Je n'ai absolument rien d'une princesse, et j'ai horreur d'être le centre d'attention, mais elle a insisté pour que je porte une robe pour cet événement majeur de ma vie, ce sont ses mots. Personnellement, un repas à la maison avec mes parents, ma petite sœur et elle me suffisait déjà amplement.. Mais je ne pouvez pas refuser sous peine de me retrouver sans meilleure amie le reste de ma vie.. Même si je doute qu'elle aurait mis a exécution sa menace, je voulais lui faire plaisir, et le shopping sa change toujours les idées. 

Je saute donc de mon lit et m'arrête devant mon armoire, j'attrape mon jean préféré, il est noir avec une lune et un soleil brodé en fille d'argent et d'or sur chaque poche, la lune à gauche et le soleil à droite, je prend un simple top noir et je file dans ma salle de bain. Je ne prend pas le temps de me regardais vraiment, je n'aime pas passer des heures devant le miroir, il met l'accent sur tout mes défauts, alors je prend ma brosse à dents et fils sous la douche. Un fois habiller je passe inévitablement devant le miroir pour mettre un trait de liner sur mes yeux et du mascara, je coiffe mes brosses mes cheveux et les laissent retomber en cascade dans mon dos, mes cheveux sont long jusqu'en bas de mon dos, ils sont blond presque blanc ou plutôt on pourrait dire qu'ils sont blanc avec des reflets or, je n'ai jamais fait de couleur, mes cheveux sont une énigme pour le commun des mortel. Je prend mon sac sur la chaise devant mon bureau et j'attrape mon téléphone sur ce dernier. Arrivé dans la cuisine je trouve ma mère et ma petite sœur dans la cuisine, elles me salut et je fils à toute vitesse, en manquent de tomber tête la première en enfilant mes basket noir. 

Je lance un :" Je file rejoindre Elena, je suis déjà en retard, à se soir" et je pars sans attendre de réponse. 

Sur le chemin j'appelle Elena :

"Ela ! Pardon je ne me suis pas réveiller, je suis en chemin!" 

"Tu ne changera jamais Cél, je t'attend à l'arrêt de bus devant cher moi." Me dit-elle de son ton moqueur. Elle me connais si bien.

"D'accord, je me dépêche, je serais là dans ... environs 5 minutes." Répondis-je en regardant ma montre. Puis je raccroche. Et je marche rapidement jusqu'à l'arrêt de bus. Nous sommes mi-juin et les température sont déjà bien chaude, il n'y a aucun nuage dans le ciel et les rayons du soleil chauffent mes vêtements noir, j'aime cette sensation. Elena et moi avons grandi ensemble, aussi longtemps que je me souviennent elle à toujours fait partie de ma vie, c'est d'ailleurs ma seul amie, mais je n'en veux pas d'autre. Je me sent trop différent des autres, ils ne se sentent pas a l'aise avec moi et je préfère de toute façon rester à l'écart. Je tourne dans une petite rue entre deux grande maison traditionnel, elle rejoint la route principal ou ce trouve Elena et l'arrêt de bus, nous habitons dans une résidence privé regroupent beaucoup de maison de luxe, comme un quartier riche en quelque sorte, nos familles sont aisé, sa mère est photographe et son père à sa propre entreprise d'informatique, quant à mes parents à moi, ma mère est créatrice d'événement et voyage beaucoup et mon père est avocat, lui aussi voyage pas mal, plus que ma mère qui essaie d'être la plus présente possible pour ma sœur et moi. Nous vivons dans une grande villa qui se trouve être la dernière habitation avant le vide de la falaise, de ma chambre j'ai une vu magnifique sur l'océan. Elena elle, habite dans un grande maison traditionnel basque plus en avant dans la résidence. 

Quand j'arrive dans la rue principal, je vois le bus arrivé au bout, je cours donc vers ma meilleure amie, morte de rire, de me voir courir comme une dérater. 

"Arrête de courir, tu ne va pas le raté.. Il est encore loin tu sais." Elle a du mal à parlait tellement elle ri, mais au lieu de me vexer, je ma regarde rire avant de lever les yeux au ciel au moment ou le bus arrive en même temps que moi à sa hauteur.

"Pas tant que ça, tu vois.. Tu es aussi rouge que moi a force de te moquer." Lui ai-je répondu en lui donnent un coups de coude dans le bras. 

Quand le bus ouvre ses portes nous montâmes e, saluent le chauffeur, puis nous nous sommes installer au fond du bus, nous en avons pour 30 min pour arriver au centre ville. 

Nous parlions de tout et de rien, puis imperceptiblement quelque chose à changer, je ne saurait dire quoi, je me suis sentie comme observer, mais nous étions seul dans le bus et le chauffeur, était concentré sur la route. C'est là que je l'ai entendu pour la première fois hors de mes rêves.. c'était comme un murmure, une voix de femme mélodieuse. 

"Céleste.. Rappel toi qui tu es... Nous avons tous besoin de toi"