Hérétiques (tom1)

Épilogue

Point de vue externe.

Derek avançait dans le couloir sans se presser. Il n'avait pas besoin de le faire de toute façon, il avait toute la vie devant lui. Et il en profiterait.

- Ha te voilà enfin! S'exclama t elle.

- Je suis partis il y a dix minutes! Rigola Derek.

- C'est déjà trop long. Répliqua t elle en se levant pour le rejoindre.

- C'est toi qui voulait un pain au chocolat pour le petit déjeuner je te signale. Dit il en souriant.

- Ce que je veux, c'est toi. Je t'aime Derek.

- Je t'aime aussi Elena.

Ils s'embrassèrent sous le gui qu'ils avaient accrochés dans le salon. C'était noël, et ils étaient ensemble.

Et c'était grâce à Izzia.

Au moment où les deux jumeaux allaient disparaître, le jour c'est levé, faisant fuir le noir. Ils ont tous les deux disparus en projetant une gerbe d'étincelle doré sur le sol. A leur contact, les arbres déracinés reprenaient racines, les blessures guérissaient, même celles de Stiles. Cette poudre de soleil embellissait tout ce qu'elle touchait. La meute regardait ébahis ce phénomène que malgré toutes leurs connaissances, ils ne pouvaient expliquer. Quelque chose c'est mis à descendre du ciel, inquiétant tout le monde. Cette chose n'était autre que Valentin et Alizée. Ils étaient habillé dans des vêtements blancs, sûrement en soie.
Personne ne parlait, et chacun attendaient des réponses que personne n'était en mesure de fournir.

-Nous ne sommes pas morts? Murmura Elena.

- Nous ne le sommes pas. Répondit Valentin en lui prenant la main.

- Je savais que vous réussiriez. Je vous aime, et je ne cesserais jamais. C'était mon destin de vous protégez, et j'ai accomplis ma mission, et vous la votre. Je suis fière de vous, soyez fières de mon sacrifice.

Tous le monde c'était retourné vers la grand mère des jumeaux qui venaient d'arriver de nulle part. Personne n'avait compris ce qu'elle voulait entendre par la, avec qu'elle ne s'effondre sur le sol, les yeux fixant un point qu'elle ne pouvait plus voir.

Ce sont les cris d'Elena qu'il l'ont accompagnés. Ses cris et ses pleurs. Ce qu'elle n'avait pas pu lui dire, ce qu'elle aurait du faire. Et ça faisait mal. Terriblement mal.

Dans le chaos qui régnait, seul Scott avait pris la peine de surveiller leurs arrières. C'est alors qu'il avait aperçus dans la neige un corps. Il n'était pas là avant. Il c'est approché et est resté figé devant la femme qui était allongé sur le sol, et qui grelotait.

- Qui es tu? Souffla Scott en proie à une terreur indescriptible.

- Je crois que je m'appelle Alison.