La vérité sur les premiers hommes sur la Lune

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Ce qui va suivre est un extrait des documents retrouvés chez Marc Kolson, journaliste américain, après son assassinat le 15 juillet 2012. J'étais son meilleur ami et il m'avait confié ces documents car « ils n'étaient plus en sécurité chez lui ». Il avait malheureusement raison. J'ignorais tout de leur contenu jusqu'au jour de sa mort où j'ai décidé d'en prendre connaissance. A présent, je me sais menacé, c'est pourquoi j'ai recopié au plus vite l'essentiel de ces documents dans un format .txt pour pouvoir les diffuser à grande échelle sur Internet. Vous excuserez donc la mise en page et le fait que je n'ai relevé que le plus important.
Ces documents concernent des observations faites lors de vols spatiaux ainsi que des interviews que Marc a lui-même mené. N'oubliez pas de partager ces documents. Mes notes personnelles sont surlignées

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Vol du 15 mai 1960 classé KOSMOS
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15 mai 1960 : <Nom de code> Spoutnik 4 (URSS)
Tentative de vol habité Echec total, mauvais allumage des rétrofusées : perte de la capsule à son retour
Mort du pilote.
Disparition de tous les documents le concernant.
Information classée TOP SECRET
Vol classé KOSMOS

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Vol du 22 décembre 1960 classé KOSMOS-2
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22 décembre 1960 : <Nom de code> Inconnu
Tentative de vol habité Echec. Explosion de la capsule à la sortie de l'atmosphère terrestre
Mort du pilote.
Disparition de tous les documents le concernant.
Information classée TOP SECRET
Vol classé KOSMOS-2

La suite des documents résume les autres échecs russes durant cette période. La liste s'allonge jusqu'à KOSMOS-9. Aucune trace des vols sur Internet et encore moins sur les pilotes. Rien ne semble exister officiellement après Spoutnik 4.



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Entretient avec Neil Armstrong daté du 14 février 2004
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Marc : Donc le 21 juillet 1969, vous posez le pied sur la Lune. Rien à signaler ?
Neil : Non RAS. Tout semble nous sourire. Mais quelque chose me dit que vous avez une idée derrière la tête ... Vous n'allez quand même pas me reparler de Gorsky ?
M : Neil, mon temps est précieux et le vôtre aussi. Je ne vais pas y aller par quatre chemins. Avez-vous vu quelque chose d'anormal ce jour-là ?
N : Disons qu'il est très difficile de qualifier quelque chose d' «anormal » quand on vit quelque chose comme ça. Expliquez-vous.
M : Avez-vous vu quelque chose ... qui n'avait rien à faire là ? Quelque chose de ... surnaturel ?
N : Voyons c'est ridicule. Qu'est-ce que vous vous imaginez ? Qu'E.T est venu nous serrer la main en disant : « bon boulot les gars, ça fait un paquet de temps que j'attends de rentrer à la maison. Y'a d'la place pour moi ? ».
M : Ils vous ont menacé ? Menacé votre famille pour garantir votre silence ?
N : Personne n'a jamais rien obtenu de moi. Peut-être qu'il ne s'est justement rien passé. Vous regardiez la télé comme tout le monde ce jour-là non ? Vous avez tout vu. Que voulez-vous de plus ?
M : Vous entendre dire ce que je sais déjà. Les fantômes.
N : Oh Seigneur ... mais comment ?
M : De longues recherches. Et Aldrin s'est montré plus enclin à partager sa petite expérience.
N : Alors il vous a tout dit ?
M : Tout ? Non. C'est bien pour ça que je viens vous voir. Vous ne souhaitez pas rétablir la vérité à ce sujet ?
N : VOUS CROYEZ VRAIMENT QUE CA NE DEPEND QUE DE MOI ? CE QUE NOUS AVONS VU AURAIT RENDU FOU N'IMPORTE QUI. N'IMPORTE QUI VOUS M'ENTENDEZ ? SANS COMPTER QUE DEPUIS CETTE DATE JE DOIS SUPPORTER DES HORDES DE CONNARDS DE JOURNALISTES A LONGUEUR DE JOURNEE. ALORS NEIL C'EST COMMENT LA-HAUT ? ALORS NEIL VOUS VOULEZ REPARTIR ? ALORS NEIL VOUS AVEZ VU DES ALIENS ? FOUTEZ-MOI LA PAIX !
M : Du calme, du calme. Vous savez pourquoi je viens, éclairez donc ma lanterne. Dites-moi Neil, qu'est-ce qu'ils ont essayé de vous dire ?
N : De jamais retourner là-haut. Qu'il ne fallait jamais essayer de remettre un putain de pied dans l'espace. Pourquoi ? J'en sais foutrement rien, je vous avouerais qu'on n'a pas essayé de comprendre sur le moment.
M : A quoi il ressemblait ? Il n'y en avait qu'un ?
N : Un cosmonaute. Enfin ce qu'il en restait. Complètement décomposé, ce qui est pourtant impossible. C'était pas franchement beau à voir. Et puis il semblait souffrir horriblement. Il s'est exprimé directement par ... télépathie je crois. On a entendu dans nos têtes « Ne revenez jamais. Certaines portes ne peuvent être ouvertes ». Et il est partit.
N : Il flottait ?
M : Oui, il était en apesanteur. Mais il semblait pouvoir se diriger ... Enfin encore une fois, ce n'est pas le genre de détails qui nous a frappé sur le moment.
N : Vous vous êtes finalement posés ?
M : Evidemment.
M : Et comment la NASA a eu vent de l'histoire ? Vous avez parlé ?
N : On a tout raconté. On n'allait pas garder ça pour nous et puis ... personne n'avait envie d'y retourner. Ils nous ont fait jurer de ne jamais ébruiter l'affaire et je dois avouer que je n'y ai jamais trop repensé jusqu'à ce jour. Enfin, je n'ai jamais eu envie d'y repenser pour être exact.
M : Ca peut se comprendre. Et vous avez idée de qui était ce type ?
N : On en a reparlé entre nous, et on en est arrivé à la conclusion que c'était un Russe qui avait mal fini : nos gars ont jamais eu de combinaisons comme ça. Comment et pourquoi il était là, seul Dieu le sait.
M : J'ai comme l'impression que vous avez vu juste. Mais vous n'êtes pas les seuls à avoir été sur la Lune. Il y a eu plusieurs autres missions Apollo après vous. Leur est-il arrivé quelque chose de semblable ?
N : Il y avait beaucoup de bruits de couloir à la NASA à l'époque. Beaucoup de gars sont revenu qu'à moitié et se sont mis à cogner sur leur femme. D'autres se sont foutu en l'air ou ont fini en hôpital psychiatrique. Mais vous vous doutez bien qu'en pleine guerre froide, personne ne voulait en entendre parler. Nous étions le premier pays à mettre le pied sur la Lune, point barre. On avait rien vu, rien entendu.
M : Et Apollo 13 ?
N : Apollo 13 a failli mal finir, ils ont eu beaucoup de chance ce jour-là. Inutile de vous expliquer ce qui avait provoqué le petit problème dont ils ont été victimes ... C'est à partir de là que la NASA a commencé à s'intéresser réellement à ce qu'on avait bien pu voir là-haut. Enfin eux, ce qu'ils ont surtout vu, c'est la déferlante médiatique qu'aurait provoqué un crash. Donc ils ont bouclés les dernières missions en cours, et bye bye. D'ailleurs, vous ne vous êtes jamais demandé pourquoi personne n'était retourné sur la Lune ?
M : Disons qu'il y avait d'autres bonnes raisons à l'époque. Mais celle-là semble bien plus crédible surtout que personne ne semble vouloir y retourner avant longtemps. Mais dites-moi, quelqu'un a-t-il essayé de filmer le « fantôme » ?
N : Jim Lovell de Apollo 13 a essayé, oui.
M : Et ?
N : Il n'y avait rien sur la vidéo. Absolument rien. Que du noir. La cassette avait ... fondu de l'intérieur en quelque sorte.
M : De mieux en mieux ... Je crois que j'en ai fini, mon cerveau ne supportera rien de plus aujourd'hui. Merci beaucoup Neil.
N : Ho c'est une sorte de cadeau empoisonné. Faites attention, vous ne serez pas le premier qu'ils « vaporisent ». Des gens ont intérêt à ce que ça ne s'ébruite pas. Des gens très puissants.
M : Soyez sans crainte.
N : Une dernière chose Marc ...
M : Neil ?
N : Vous n'avez jamais parlé à Aldrin n'est-ce pas ?
M : Exact.


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Extraits de documents concernant le crash de la Navette Columbia
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< > Selon le rapport d'enquête externe, la faille du bouclier thermique lors du retour en atmosphère a été provoquée. Les éléments en présence permettent d'affirmer que le crash n'était pas un accident. Il s'agissait donc d'un assassinat. Cette faille avait une chance nulle de résister à la première sortie de l'atmosphère terrestre. La faille a donc été provoquée en orbite. Aucune manipulation technique n'ayant été effectuée sur la navette pendant le vol, force est de constater que « quelque chose » a provoqué le crash. Un document classé Top Secret révèle la conversation qu'a eue Rick D. Husband avec un contrôleur au sol quelques minutes avant l'entrée dans l'atmosphère.

« Nous avons un problème ici. Il a brisé le bouclier, nous ne pouvons pas rentrer c'est du suicide »
« De qui parlez-vous ? Vous devez atterrir maintenant Columbia»
« Dieu puisse avoir pitié de nos âmes. Il est là. »


La conversation s'arrête ici. Immédiatement après l'accident, une contingence est déclarée. D'après Marc, toutes les preuves ont été falsifiées à ce moment-là.
Il dit avoir su être "très persuasif" avec le contrôleur de vol.
Le dossier s'arrête ici.

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