Le succube
Une nuit douce pour dormir, peut être que je n'étais pas sur un lit des plus confortable mais au moins pour une fois depuis très longtemps la nuit semblait paisible et agréable, une douce brise soufflait de temps à autre, enfin j'allais pouvoir dormir un petit moment afin de rattraper mon sommeil en retard. Ma fatigue accumulée commençait déjà à s'emparer de moi, mes paupières se faisaient tellement lourdes que je n'arrivais plus à les retenir, que le sommeil me fasse cligner des yeux un peu trop lentement à mon gout, j'ai de plus en plus de difficulté à les rouvrir, puis mais je n'ai même presque plus la force alors tant qu'a faire autant les laisser fermés. Puis une vague d'impuissance me submergea, mes muscles se faisaient de plus en plus lourds. Puis tout tourne et plus rien ...
Merde il y a une présence, je le sens ... ouvre les yeux, ouvre les yeux, réveille toi ... réveille toi putains .... Je réussi à entrouvrir les yeux après une grosse lutte contre moi-même ... Mais ? Mais ? Une femme ? Que me veut-elle ? Pourquoi me regarde-t-elle ainsi ? J'essayais d'articuler quelques mots pour connaitre la raison de sa présence mais bizarrement aucun mot ne sorti de ma bouche. En fait non c'était pire que ça ... J'essayais une seconde fois, puis encore une fois, et une dernière une fois ... Rien n'y fit, ma bouche, ma gorge, mes cordes vocales ... Elles étaient comme paralysées ... Cette femme, elle était toujours là, elle me fixait, elle ne détournait pas le regard. Mais que me voulais-t-elle à la fin ? J'essayais de me relever afin d'être à sa hauteur mais bizarrement, mes muscles ne répondaient pas, ni mes bras ni mes jambes, j'étais comme mort mais encore conscient avec mes cinq sens en activité et ma respiration pour ne pas véritablement mourir ... Mais en fait qu'est ce que j'en savais ? Peut être étais je mort ... ou en train de mourir ...
Voyant que je ne bougeais pas elle s'approcha de moi sans prononcer un seul mot ... elle était belle, même d'une beauté divine. Le charme qu'elle dégageait aurait envouté n'importe quel homme, même moi. Mais dans la situation actuelle et vu les regards aguicheurs qu'elle me lançait elle en devenait effrayante, elle le sentait ... Elle s'allongea près de moi et fit parcourir ses doigts le long de mon torse tout en remontant peu à peu mon T-shirt. Que cherchait-elle à faire ? Ses mains et ses longs doigts faisaient de s allés venues légers comme des caresses sensuelles, des passages de plus en plus longs qui allaient de plus en plus loin. Elles parcouraient mon corps tel une plume ou un léger tissus. Elle descendait ses mains de plus en plus bas jusqu'à aller dans les endroits les plus intimes, ses caresses réveillaient en moi des frissons qui me parcouraient la colonne vertébrale, me donnant ainsi des envies que je n'avais pas ressenti depuis longtemps. Bon dieu de merde cette femme était en train de me rendre dingue ! J'avais envie de lui faire comprendre qu'elle allait sentir passer ce qu'elle avait déclenché en moi, un besoin primaire mélangé à une attirance qui ne se soulagerait que par des pulsions bestiales, elle me cherchait, c'était clair, elle se frottait à moi cette salope, elle me faisait bander ... Soudain elle se dressa au dessus de moi, ses yeux étaient d'un rouge sang, elle me fixait tout en se trémoussant contre moi, elle eu alors un rictus ... beaucoup trop animale pour une humaine, elle dévoila alors des dents d'un blanc parfait, puis balança la tête en arrière et étendit de grandes ailes de dragons d'un noir charbon et de nature démoniaque ... Dites moi que je rêve .... Bien qu'entreprenante cette vision d'elle refroidit mes ardeurs en une seconde, mais à ma grande surprise je ne débandais pas. J'étais terrifiée ... alors cette légende ? ... Elles existent ... C'est un succube... Je nage en plein cauchemar, je ne suis plus maitre de mon corps, cette trainée en a pris la possession. Elle frottait longuement son sexe humide contre mon pénis plus dur que la lame d'acier de mon épée, elle voulait clairement arriver à ses fins, j'étais conscient que si je la suivais je mourrais, mais j'étais impuissant elle jouait avec moi, elle m'embrassait à pleine bouche, roulant sa langue autour de la mienne, tout en occupant sa main gauche sur son clitoris afin de donner encore plus de sensations. Elle faisait des va et vient sur mon pénis, les sensations étaient de plus en plus intenses. Elle se retourna et se mit à envoyer des lampées sur mon gland, elle y prenait un plaisir intense et se tortillait dans tous les sens. Elle frottait son sexe sur mon visage, tout en prenant un malin plaisir à gémir de plus en plus fort. Une fois son petit manège terminé elle reprit place au dessus de moi, face à moi m'embrassant à m'en étouffer. Elle continuait à me masturber telle une chienne en chaleur. J'étais conscient qu'une fois que je l'aurais pénétré il n'y aurait plus de retour en arrière, je serai condamné et mon âme sera la propriété des démons. Je ne pouvais rien contrôler, rien arrêter j'étais comme prisonnier d'un destin malheureux à cause d'une catin descendue tout droit des enfers. Elle brandit mon fifre et le frotta a son pubis si parfait en appuyant de plus en plus fort. Je comptais dans ma tête avec terreur ... Je serai banni dans ... 3 ... 2 ... 1 ... une grande claque frappa ma joue gauche me rendant ma possibilité de bouger.
- Debout mec ! On s'arrache. Me lança l'auteur de cette violente torgnole.
