Je ne pus rêver de meilleures idylles,
Qu'était cette nuit, à quatre heures pile.
Mon cœur ne cessait de battre,
Pour sœur avait prisé l'envie de t'embrasser.
Ce désir était déjà né de longue date,
Car ta personnalité ne cesse de croître,
Qui nous, hommes de goût, pousse à l'admiration.
Le désir profond de découvrir un être fragile,
Ne fait qu'accroître mon envie de redécouvrir cette idylle.
Souvent d'un aspect mutique,
Être en ta compagnie me délivre,
De ces pensées mystiques.
Et que tu puisses y lire comme dans un livre
Ces anecdotes adorées ne me font penser
Qu'à les aduler et ne ne point les rayer.
Tous ces secrets m'attirent,
Pour une raison loin du superficiel,
Car te connaître est le souhait de tout martyr
Dont toi seul pourrait les rendre au ciel
- Quelque chose de beau, quelque chose de nouveau, quelque chose de violent. -
La passion est toujours de mon côté,
Les regrets sont écartés,
Mon seul souhait est de t'embrasser,
Car ces effets, jamais ne m'ont quitté,
- Quelque chose de fou. Quelque chose qui en vaille le joul. Quelque chose de flou. -
Dont seule la foule n'aurait pour effet d'avoir du rose aux joues.
