Arrivant devant ces grandes portes grises, Léo réprima un tremblement. Non qu'il ai peur de l'école. Qu'il soit stressé par les résultats.
Léo a un avenir tracé, dont réussir ou non l'importe peu. Ce qui l'effraye, loin des professeurs et de leurs commentaires, c'est la cour. Pas ceux auxquels les autres étudiant suivent comme une interminable boucle rébarbatif sans fin dans lesquels leurs esprits divaguent sur les lignes du tableau noir. Ces cours là, il a en a presque finis. Ce qui le rend pâle et tremblant c'est la cour, celle qui doit traversé chaque matin. Celle où il doit se frayé un chemin, entre chemises et joggings, pour arriver à l'intérieur du bâtiment, beaucoup trop grand. Il est un poulailler. et son extérieur la basse-cour. là où les coques et les canards se chamaillent, là où les oies, commères, crachent sur les autres animaux, là où les poules courent et crient sans vraiment de bute précis. Dans cet amas de vivant Léo est un petit verre, certes emplis de sentiments mais un petit verres tentant de se frayé un chemin dans une terre de misères. Et il se dit parfois sous la colère;"Je suis en danger, moi rien qu'un verre de terre, je risque de me faire bouffer sans jamais avoir existé."
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O C H L É O
Teen Fiction"Il a la peur irraisonnée des êtres Humains entassés, alors la vie courante devient une douleur écrasante" Léo. #FreeYourBody