Quesque..

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Je crois qu'il est derrière moi, je n'ose pas me retourner. Je vois enfin ma maison ; mais où sont mes clés, je ne les trouve pas. Je crois que je les ai oubliées dans ma voiture. Mais attends, il n'est plus derrière moi ! Où est-il ? J'ai peur... Je crois que je vais retourner chercher mes clés. Mais est-ce que je ne passerais pas au commissariat ? Bonne idée !

En attendant d'arriver là-bas je me présente, je m'appelle André, je sais c'est pas attirant... mais mon nom de famille n'est pas mieux : Bürger. Ouais je m'appelle André Bürger... j'ai 24 ans, je suis « ingénieur sons et lumières », depuis quelques semaines je travaille sur un nouveau film nommé « lui ». je viens de Charleroi.

Voilà je suis dans la rue du commissariat, je ne l'ai toujours pas vu. Mais où sont tous les autres habitants du quartier ? Bon je regarderai à ça plus tard. Hé ! Mais, il y a quelqu'un qui est assis devant le commissariat. Il faut que j'aille voir qui c'est.

Oh ! c'est encore lui ! Vite ! Il faut que je fasse demi-tour ! Bon ben je crois que vais aller voir un de mes potes.

Je crois que j'y suis. Je sonne, pas de réponse, je sonne encore, toujours pas de réponse, je crois que je vais passer par derrière. Je longe le mur quand j'entends un bruit. Il faut que je me cache. Je sursaute quand je sens une main froide et humide se poser sur mon épaule. C'est Tom, mon ami. Nous montons les escaliers et nous nous asseyons autour d'une table. Je lui raconte ce qu'il s'est passé :

« comme d'habitude je travaillais tranquillement dans mon bureau pour mon nouveau film quand j'ai entendu un bruit venant de 2 étages en dessous. Plus j'avançais dans le couloir et plus les bruits devenaient fort. Pendant je descendais les marches, j'ai entendu un nouveau bruit : un rire, un rire qui m'était étrangement familier. Plus j'avançais dans le couloir et plus le rire était fort. En descendant les escaliers j'entendais un autre bruit : un couinement comme ceux des jouets pour chiens. j'avançais dans le couloir. Je commençais à avoir la chair de poule. J'avançais dans le couloir jusqu'à tomber sur une porte. Le bruit venait de derrière cette porte. Je posais ma main sur la clinche, j'étais en sueur. Je poussais la porte. j'ai ouvert complètement la porte. Je l'ai vu. ce rire familier, ce couinement. C'était lui. »

Je réfléchis à son nom jusqu'à ce qu'on entend un bruit. La poubelle en métal de Juan était tombée. Pourtant il n'y avait que nous. Je crois que c'était lui. Son nom ne me revient pas. Voyant une ombre par la fenêtre, alors qu'on était au 4 ème, je dis « le clown » et juste à ce moment-là, il traverse la fenêtre et court vers nous. Tom a le réflexe de fermer la porte de la cuisine, qui séparait la fenêtre de la cuisine de la salle où nous étions. Mais elle ne tiendra pas longtemps, s'il a réussi à traverser la fenêtre du 4ème je crois qu'il peut défoncer une porte sans difficulté.

Nous descendons les escaliers en courant. Nous nous arrêtons 2 étages en dessous de, Tom prend mon sac et le lance, pourquoi ? Sans doute pour faire croire au clown que nous descendons plus bas. Je crois que ça fonctionne vu que des pas passent devant la porte. Nous entendons 20 minutes avant de sortir et de descendre. Pendant ce temps je lui raconte la fin de ce qui c'est passé.

c'était le clown qui était dans le film dont je m'occupe ! Il m'a regardé, s'est levé et a foncé sur moi. Je lui ai refermé la porte dessus. J'ai couru. Je suis sorti rapidement du bâtiment et il me suivait toujours. J'ai essayé de rentrer dans ma voiture. Mais elle était verrouillée, alors que je l'avais laissée ouverte. Je me suis remis à courir dans la direction de ma maison. Il me suivait toujours. Je courais toujours vers chez moi, à mon avis j'ai couru pendant 3 kilomètre avant de me rendre compte qu'il n'était plus derrière moi. Vous connaissez la suite.

quesque..Où les histoires vivent. Découvrez maintenant