Recueil d'OS Dramione

21 Décembre : Bataille dans la neige.

OS écrit pour le concours de Nexine22

PDV Lizzy :

Je courrais dans le bois, cherchant une issu où une clairière pour pouvoir faire face à mes adversaire.

Car en ce moment même je suis poursuivi par 10 personnes qui m'ont surpris en train de prendre l'âme de leur employeur. Ils me poursuivent ainsi depuis 10 minutes, me tirant dessus pour pouvoir me tuer. La neige rendait mes mouvements plus difficiles, et je devais être plus attentive à là ou je mets les pieds.

J'arrive enfin dans une clairière, je fais face à mes adversaires, 10 hommes taillés comme des armoires à glaces...Super. Je dégaine mon katana et me prépare à les neutraliser. Ou plutôt les rendre hors d'état de nuire sans les tuer, puisque leurs noms ne sont pas dans mon carnet. Ils me tirent dessus, j'esquive les balles, leur infliges plusieurs petite coupures superficielles. Vous savez comme celle que l'ont se fait avec une feuille de papier. L'entaille est peu profonde mais elle fait très mal.

Le sang tâche le tapis de neige d'un blanc pur. Les hommes n'abandonnent pas et continu à me tirer dessus. Je leurs inflige donc des blessures plus grave et réussi à en mettre K.O 7 d'entre eux.

Sur les trois derniers, deux viennent au corps-à-corps, je leur brise chacun un bras. Ils se trouvant à terre. Je m'apprête à en finir avec le dernier quand une douleur aigue apparait au niveau de mon épaule. Je me laisse tomber à genou. La neige se retrouve tachée de rouge sang en moins d'une minutes. L'homme s'approche de moi, me mettant son arme sur la tempe.

L'homme : Une dernière parole jeune fille ?

Je lui lance un regard meurtrier. Il paru surpris.

Moi : Je peux bien te le dire à toi, vu que tu n'aura pas la chance de tes potes.

D'un mouvement brusque je lui retire son arme tout en lui faisant une clé de bras. Je me penche et lui dit à l'oreille :

Moi : Tu t'es attaqué à la déesse de la mort. Autant dire que même avec le meilleur flingue tu ne m'aurais pas tué. Au pire j'aurais mis beaucoup de temps à me régénérer.

L'homme : Tu bluff.

Moi : Ah oui ? Alors bats-moi.

Je lui tends mon katana et le laisse se remettre droit. Je me met en position de combat, me tenant l'épaule qui me faisait souffrir. Quelle connerie. Il s'élance vers moi, mon katana droit devant lui. Dans un dernier élan de puissance je m'élance aussi saisi ma dague cachée dans mes rangers et lui plante en plein cœur.

Je retire l'arme, reprend mon katana et le remet dans son fourreau. Je nettoie ma dague et la remet à sa place. Je regarde ensuite la clairière qui avait au-par-avant un beau tapis de neige immaculée et qui maintenant était taché de rouge. Ne voulant pas avoir du travail en plus, je récolte l'âme de l'homme que je venais de tuer, puis appelle les secours pour les 9 autres. Je pars ensuite, rebroussant chemin pour arriver à l'endroit où j'avais cachée ma moto. Je la démarrai et disparu dans la profondeur de la nuit.