La folie, c’est de faire tout le temps la même chose et de s’attendre à un résultat différent Albert EINSTEIN La première étape pour maîtriser le pouvoir de l’attraction est d’apprendre à aller au-delà des apparences, au-delà de ce que nous connaissons ou croyons. La manière dont nous nous représentons le monde et son fonctionnement influence directement ce que nous croyons possible et la manière dont nous imaginons que les choses sont liées entre elles. Si nous désirons apprendre à utiliser délibérément le pouvoir de l’attraction, nous allons devoir modifier certains points de vue que nous avons dans certains domaines. Préparonsnous à accueillir avec enthousiasme une autre vision des choses… Qui est JE ? Lorsque nous disons Je n’arrive pas à faire ceci, je n’arrive pas à faire cela, c’est trop difficile, je suis trop bête, je ne suis pas quelqu’un de patient, etc…, de qui parlonsnous ? Qui est ce JE ? Qui est ce JE à qui nous nous référons pour décider de ce que nous sommes capables ou incapables de faire ? Cette question peut probablement vous paraître étrange, mais vous allez comprendre… Lorsque nous parlons de JE, nous faisons habituellement référence à ce qui se passe dans notre tête, à la partie de nous qui analyse le monde, ce qui nous entoure et ce qui est possible est défini suivant l’idée que nous nous en faisons. Depuis notre naissance, nous avons pris l’habitude d’observer ce qui nous entoure, de chercher à comprendre comment les choses fonctionnent. Nous sommes capables, aujourd’hui, de savoir si une chose est vraie ou fausse, si elle est possible ou non. Nos pensées et notre analyse du monde qui nous entoure nous renseignent sur le fonctionnement de ce monde, n’est-ce pas ?
Lorsque l’on prend cette phrase à l’envers, on obtient ceci : nous sommes limités dans notre perception du monde par notre analyse intellectuelle . Ce qui veut dire qu’inconsciemment, tout ce que nous ne comprenons pas n’existe pas. Pour notre cerveau qui réfléchit, tout ce que nous ne comprenons pas n’existe pas Les limites de notre partie qui analyse Nous nous sommes construit une représentation solide et rationnelle du monde qui nous entoure. Cette représentation est une prison de certitude. Une prison parce que nous ne pouvons plus en sortir et que pour nous, seul existe ce que nous avons compris intellectuellement. Si nous ne comprenons pas une chose, si après y avoir pensé et réfléchi un certain temps, nous n’en déduisons pas qu’elle doit exister selon tel ou tel critère intellectuel que nous avons, cette chose n’existe pas. Cette manière de faire serait parfaite si notre mental – notre partie analytique – pouvait comprendre l’intégralité de ce qui existe, mais ce n’est pas le cas. De la même manière que nos yeux ne peuvent pas voir les infrarouges ou les ultraviolets que certains animaux perçoivent, de la même manière que nos oreilles ne peuvent pas percevoir les ultrasons que certains animaux perçoivent également, notre mental ne peut pas comprendre certaines choses. Notre mental ne peut pas comprendre certaines choses La limite des mots Comprenez bien ceci : certaines choses ne peuvent pas s’expliquer par le raisonnement intellectuel, bien plus elles ne peuvent pas se définir avec des mots. Le langage qui est un peu le carburant des pensées, puisque nous pensons en mots, est limité. Par exemple, les esquimaux ont plusieurs dizaines de mots pour décrire les différents types de neiges, alors que tel n’est pas notre cas. Nous avons des mots qui ne sont pas dans les autres langues, et toutes les langues étrangères utilisent des mots pour décrire des émotions, des sensations, des sentiments pour lesquels nous n’avons pas d’équivalent en langue française.
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La Pensée Positive...
RandomDémontrer comment par la pensée positive on peut réussir dans tous les domaines.